Le nouveau chef-d’œuvre du cinéma d’auteur de Kristi Puyu nominé aux Oscars Automatique traduire

BUCAREST. Le film roumain "Cieranevada" figurait sur la longue liste des Oscars.

Cristi Puiu Sieranevada n’a rien reçu au dernier Festival de Cannes. Cependant, c’est parmi les critiques et les spectateurs qui se sont retrouvés sans récompense. Avec «Tony Erdmann» de Maren Ada, «Paterson» de Jim Jarmusch, le thriller «She» de Paul Verhoeven. La longue liste d’Oscar dans la catégorie "Meilleur film étranger" est une autre compagnie digne et dont les perspectives restent incertaines.

La naissance de Sieranevada a été précédée par un triste événement: le décès du père du directeur. L’atmosphère du dîner commémoratif, emplie de bavardages vides et quotidiens, sans souvenirs chaleureux du défunt, le dernier «pardonner» qui lui était adressé le frappa. En conséquence, "Sieranevada" est apparu. Étrange, impliquant hypnotiquement dans un «brassage» verbal infini. Espace claustrophobe multiplié par trois heures de temps à l’écran. Une foule hétéroclite de parents dans un appartement encombré de vieilles ordures. Il est encombré de gens rassemblés au quarantième, il n’ya pas de place pour des souvenirs chaleureux du défunt. Un repas commémoratif devient une occasion de régler certaines choses, une occasion de discuter, de discuter, de résoudre les peurs et les irritations accumulées. Et seulement alors aller plus loin.

«Cieranevada» semble faire écho à l’histoire racontée dans le premier chef-d’œuvre de Puyu - «La mort de M. Lazarescu» (Moartea domnului Lăzărescu), qui a remporté des dizaines de prix dans divers festivals. Dans ce document, un vieil homme mourant tente sans succès de s’attacher à certaines institutions médicales, privant ainsi la procrastination d’une chance de vivre. La plate-forme principale du nouveau film était un appartement vide après le décès de son propriétaire, M. Kotescu. Comme Lazarescu, il vivait seul avec ses chats. Dans le cadre il y a une quantité considérable de ses effets personnels, livres, peintures. Le jour de la location de l’appartement pour la durée de la fusillade, les parents ont célébré 40 jours après le décès de M. Kotescu.

Pendant le tournage du film, un autre quarantième s’est produit, l’un des acteurs y jouant le rôle principal - Sorin Medeleni, est décédé. Coïncidences mystiques qui s’inscrivent dans l’atmosphère pénible du film Puyu.

Elena Tanakova © Gallerix.ru