Charlotte Salomon - talent tué dans la chambre à gaz Automatique traduire

MOSCOU. Un livre sur l’artiste Charlotte Salomon, décédée à Auschwitz, a été publié à la maison d’édition ABC-Atticus.

Charlotte est l’un des derniers livres de David Foenkinos, pour lequel il a reçu le prestigieux prix Goncourt Lyceum (Prix Goncourt des lycéens) et le Prix Renaudot moins connu de Russie. Plusieurs centaines d’œuvres conservées miraculeusement - c’est tout ce que la talentueuse artiste Charlotte Salomon a réussi à laisser à ce monde. L’enfant, qui devait naître quelques mois plus tard, est décédé avec elle dans la chambre à gaz d’Auschwitz. Par conséquent, la demande de préservation des dessins dans lesquels toute sa vie est traitée, adressée au Dr Georges Moridis, ne semble pas exagérée. Une série de dessins réunis sous le nom «Life? ou au théâtre? ”(Leben? Oder Theater?), Le journal de sa vie est-il lumineux et triste? La valeur artistique de ses œuvres, liée au genre de l’expressionnisme et à leur manière très en avance sur leur temps, est indéniable. L’idée du livre sur Charlotte Fonkinos est née il ya environ 10 ans. Son incarnation a été précédée de longues recherches, "fouilles" dans les archives. L’implication émotionnelle dans les circonstances tragiques de la vie de l’héroïne était très forte et, selon l’auteur, le dévastait. Son désir de raconter à la génération actuelle un artiste incroyablement talentueux tombé dans le hachoir à viande de la guerre était si grand. Un désir passionné d’écrire des livres, un intérêt pour la peinture et la musique sont venus spontanément à Fonkinos pendant la période de rééducation après une opération du coeur. Après la sortie du premier roman “Inside Out”, l’écrivain, musicien et réalisateur Fonkinos s’est non seulement réveillé, mais il est aussi rapidement passé à l’Olympe littéraire. de la Ve République. Le succès incontestable du film réside dans l’adaptation cinématographique de La Délicatesse avec Audrey Tautou dans le rôle principal. Un introverti qui adore Dostoevsky, Gogol et Kunder est l’un des rares écrivains français à recevoir des dividendes dignes de leur métier préféré.

Elena Tanakova © Gallerix.ru