Une nouvelle version scénique de la pièce de théâtre Gorky "Petty Bourgeois" à Nijni Novgorod Automatique traduire

NIJNI NOVGOROD. Le 31 janvier, le théâtre académique théâtral présente en avant-première une nouvelle version scénique de la pièce de Maxim Gorky, "Petty Bourgeois". Pour le théâtre de Nijni-Novgorod au cours des cent années écoulées depuis la première production de la pièce, il s’agit de la huitième incarnation de "Philistins" sur sa scène.

Pour le metteur en scène de théâtre moscovite Vadim Danziger invité à monter la pièce, ce travail constituait le premier appel au travail de Maxim Gorki. Selon le réalisateur, le conflit décrit dans la célèbre pièce n’a pas perdu de sa pertinence. Comme il y a cent ans, dans les familles, les idéaux des pères ne sont pas perçus par une génération d’enfants, mais seulement aujourd’hui, cela se produit dans de nouvelles réalités.

Si, dans la plupart des productions, le concept de "philistinisme" était mal perçu et que les personnages étaient divisés en deux camps, alors Danziger réagissait différemment au contenu de la pièce. Le réalisateur ne considère pas les héros de la pièce comme des héros ou des canailles. Chacune d’elles a sa propre vérité, car l’espace de la pièce est rempli de personnages de personnages différents, chacun ayant une opinion personnelle, son propre idéal.

Le concepteur de la production était le moscovite Andrei Klimov, qui n’est pas le premier à collaborer avec le théâtre dramatique de Nijni Novgorod. Bien que l’artiste connaisse bien la mode des siècles passés, il a décidé d’habiller les personnages non pas avec des "costumes historiques", mais avec une certaine stylisation de ceux-ci.

Les costumes symboliques vous permettent de révéler plus complètement les personnages des personnages. Le personnage de Teterev, que Danziger considère comme le responsable des conflits au sein de la famille Bessemenov, est vêtu d’une redingote qui ressemble à une affaire et Tatyana, qui s’est suicidée, est vêtue d’une robe noire qui ressemble à un vêtement moderne des filles prêtes à l’emploi.

Des décors originaux, des images inhabituelles, une nouvelle vision du réalisateur sur les événements de la performance - tout cela promet au public une première intéressante.

Ludmila Trautmane