Quelle heure - tels "résidents d’été". Résultats du festival "Mouvement" d’Omsk Automatique traduire

OMSK. Le premier festival "Movement" a donné la préférence au thriller "Summer Residents".

La saison IV a une nouvelle fois confirmé la pénurie de longs métrages de qualité. Les petits-enfants qui ont reçu le Grand Prix n’avaient pratiquement aucune alternative. Tout est réuni: un scénario solide, sans pitié pour le public, un jeu d’acteur convaincant et le travail de l’opérateur primé. L’horreur ethnique à petit budget "Ferrum" Prokopiy Burtsev, intéressante et novatrice pour le cinéma yakoute, au fond d’une histoire sanglante d’Alexander Vartanov, semblait être un reportage d’une matinée pour enfants. "Résidents d’été". L’histoire d’un couple amoureux qui élimine quiconque veut ou est supposé capable de lui faire du mal de la route fait involontairement référence aux Natural Born Killers d’Oliver Stone. L’élément déclencheur de ces deux histoires est une tentative à courte vue d’empiéter sur l’espace personnel de l’héroïne, menant à des affrontements sanglants inconcevables dans la cruauté. Le mot «choc» a résonné dans la foule des cinéphiles d’Omsk et l’épithète «téméraire» du président du jury, Valery Todorovsky, peut être considérée comme le principal compliment de cette image triomphale.

Une histoire de copines en quête d’amour et d’aventure «City Bird a remporté le titre de meilleur réalisateur, le prix de la meilleure actrice qui a remporté le trio féminin et le prix du public pour Yulia Belaya, qui a appris les secrets de la production cinématographique en Russie. et la France. Certains critiques ont considéré ces résultats comme une grande avancée pour une image parrainée par le ministère de la Culture. Le tableau «Summer of Frozen Fountains» de Vano Burduli avec des vues nostalgiques de la belle Tbilissi et une mosaïque de tristes histoires d’amour a été récompensé par le prix du meilleur scénario. La belle, mais détachée sur le plan émotionnel, «Sea Grass Gatherers» de Maria Murashova, a été reconnue comme le meilleur documentaire, écartant les cassettes «One such» et «This is mon papa» accrochées à mon âme. Un très puissant court métrage “About Football and About Angels” de Aksigny Gog a été laissé sans “pain d’épice”, lui préférant le “Firefly” mignon mais pas exceptionnel de Natalia Nazarova.

Elena Tanakova © Gallerix.ru