Un chef-d’œuvre qui vaut la peine d’attendre depuis tant d’années. Le film de Jacques Rivett en Russie Automatique traduire

MOSCOU. Les premières projections du film Out 1: Don’t Touch Me de Jacques Rivett ont été présentées au Stanislavsky Electrical Theatre.

L’enregistrement légendaire de l’un des dirigeants de la "Nouvelle vague" française Jacques Rivette (Jacques Rivette), décédé l’année dernière, a finalement atteint la Russie en 46 ans. L’électrothéâtre Stanislavsky a offert aux cinéphiles un cadeau sur la petite scène duquel toutes les parties du film de 13 heures ont été montrées au cours de la semaine. Le dernier jour des spectacles, le public a pu voir sa version réduite. Le choix de l’emplacement pour la première russe n’était pas accidentel.

Après la nomination de Boris Yukhananov, étudiant à Vasiliev et à Efros, en tant que directeur artistique du théâtre, une reconstruction à grande échelle des locaux a été réalisée et la politique en matière de répertoire a subi de profonds changements. Le nouveau concept impliquait la création d’un espace ouvert pour les expérimentations, les productions d’avant-garde, l’incarnation d’idées intéressantes sans équivalent sur la scène moderne. Ces projets incluent également des performances multimédias: l’opéra «Sverlitsy», le «Blue Bird» en trois parties, «l’âne d’or» de huit heures. Un espace de travail ouvert ", le roman vidéo" Le Prince Fou ".

Il était difficile de trouver la meilleure plateforme pour explorer le projet de film à grande échelle Out 1: Noli me tangere. Références à l’histoire de Balzac sur les conspirations et le mystérieux «Groupe des treize», qui n’a pas conduit à la fin logique de la répétition des pièces d’Eschyle, Paris, qui a survécu au «Mai rouge» de 1968, les personnages se reflétant l’un dans l’autre, s’échappant, puis évoluer vers un puzzle compréhensible. Et l’impossibilité de détourner le regard, d’échanger, de rater quelque chose dans le tissu de la narration à grande échelle. Le résultat fut un chef-d’œuvre qui valait la peine d’attendre pendant tant d’années.

Elena Tanakova © Gallerix.ru