Impressionniste Claude Monet Automatique traduire
❶ Origines et influences
❷ Histoire ancienne
❸ Impressionniste Edouard Manet
❹ Claude Monet impressionniste
❺ Impressionnistes Renoir, Sisley, Pissarro, Degas, Cézanne
❻ Monet & Pissarro à Londres
(sept) Evolution de la peinture impressionniste
❽ Expositions impressionnistes
❾ Division de groupe (dix) Héritage
Dédié à la représentation de la nature
En 1862, le futur dirigeant de Impressionnisme, Claude Monet, de retour du Havre, rencontre le peintre hollandais Johan Barthold Jongkind (1819-1891) et finit par le considérer comme son véritable maître. "C’est à lui que je dois l’entraînement définitif de mon œil…"
Il est frappé par l’impétuosité de son toucher, la concision de ses suggestions, le dynamisme de ses traits, cet homme qui, aidé par son âge et son expérience et sans préparation ni révision, pouvait aussi bien exprimer le volume et l’idée de la couleur un pinceau comme avec un crayon ou une gravure. Monet peint à ses côtés et, à son exemple, donne plus de corps à sa peinture, multiplie les accents de couleurs et utilise des traits ronds (plus insistants que la fine hachure de Boudin) pour donner plus d’animation à sa composition.
Cependant, lorsque Monet arrive à Paris, il rejoint le studio Gleyre sur l’insistance de sa famille. Le fait qu’il y apprenne peu est compensé par les visites de musées et l’atmosphère parisienne. À propos du seul avantage positif du studio est de répondre Sisley, Bazille et Renoir. Leur amitié devient très proche et ces trois tyros doivent désormais constituer autour de lui une sphère de rayonnement et un véritable groupe. Son expérience avec Jongkind, son intuition audacieuse et la connaissance des possibilités qui s’offrent à lui ont déjà fait de Monet un leader dynamique de la force. Il est très important que ses idées trouvent un écho et que quelqu’un y réponde.
À partir de 1863, il emmène ses compagnons dans la forêt de Fontainebleau (maison des École de peinture de paysage de Barbizon) d’expérimenter la technique qu’il a déjà mise au point sur la côte normande. Ils ne font aucun effort pour suivre leurs prédécesseurs immédiats, les peintres de Barbizon, qui fréquentent encore la forêt mais dont ils rejettent les formules. Renoir rencontre par hasard Diaz qui, pendant plusieurs années, l’aide généreusement en lui permettant de stocker des couleurs pour son compte. Le peintre de cette génération pour qui Monet a le plus grand respect est Charles Daubigny, qui préfère travailler au nord de Paris, notamment dans l’Oise, sur une petite embarcation aménagée en atelier flottant et prise en charge par son fils. Monet admire l’ouverture de sa technique, la clarté de ses esquisses réalisées à partir du sujet. De son côté, Daubigny ne cesse d’encourager les futurs impressionnistes, notamment lorsqu’il devient membre du jury du Salon.
En 1864, l’atelier de Gleyre est fermé et les peintres ont tout leur temps pour eux-mêmes. Après de nouvelles visites à Chailly-en-Bière, Monet emmène Bazille à Honfleur pendant l’été et les deux amis travaillent à la ferme Saint-Simeon. Boudin et Jongkind vont bientôt se joindre à eux. Au début de 1865, Monet partage l’atelier de Bazille, rue Furstenberg à Paris. Pissarro et Cézanne rendez leur visite. Mais Monet est pressé de rentrer à Chailly pour mener à bien un vaste projet qu’il a en tête. Il s’agit de peindre un tableau immense – environ 15 pieds sur 20 pieds – directement à l’air libre, regroupant une dizaine de personnes et intitulé également "Déjeuner sur l’Herbe". Monet n’est pas encore au courant Manet mais a été profondément impressionné par l’exposition de ce dernier à la galerie Martinet et n’est pas resté indifférent aux outrages proférés " Déjeuner sur l’Herbe " au Salon des Refuses. En reprenant le thème et le titre de Manet, a-t-il voulu rivaliser avec son aîné? Il est plus probable qu’il ait voulu prendre le relais et réussir là où l’autre semblait être tombé. Monet a l’intention de jouer le jeu le plus fidèlement possible. Pour éviter tout risque d’atelier en studio (Manet ne s’y était pas encore échappé), il essaie de peindre sa toile complètement à l’air libre. Lorsqu’il trouve que les dimensions gigantesques de la toile la rendent trop grande pour la placer dans la forêt à sa guise, il la pose près de l’auberge et va vérifier auprès de la nature tous les motifs qu’il souhaite mettre en valeur. En ce qui concerne les chiffres, il fait appel à Camille, qui est récemment devenue sa compagne, et à Bazille, qui posent tous deux pour plusieurs personnages. Monet utilise également des photographies qu’il a prises dans différentes positions.
Une telle entreprise ne peut démarrer sans une curiosité, une surprise et des doutes exaltants, car de nombreux risques et beaucoup de dépenses sont impliqués. Courbet vient à Chailly pour conseiller Monet mais apparemment seulement réussit à le contrarier. Monet avait compté exposer son travail à la Salon de 1866 et obligeant ainsi un public à suivre pour lui-même, mais le malheur l’a poursuivi. Déjà pris dans des difficultés financières inextricables, il doit cesser de travailler sur le projet et laisser le tableau en gage au responsable des services impayé. Plus tard, il récupère sa peinture, mais celle-ci gît dans le coin d’une pièce, malmenée à cause du fait qu’il doit la couper en morceaux pour conserver les meilleures parties. À la hâte, il peint le grand portrait "Camille en robe verte" qui lui vaut un certain succès.
Néanmoins, nous avons une bonne idée de l’œuvre abandonnée, pas tant par une version réduite ultérieure que par les fragments qui restent et qui sont d’une qualité exceptionnelle. La pièce centrale (98 x 75 po) montre quatre personnes et la nature morte somptueuse du déjeuner étalée sur un drap devant elles; la pièce de gauche (164 x 59 po), découverte il y a quelques années dans le studio de Giverny et donnée au Persienne en 1957 par Georges Wildenstein, montre quatre figures. La peinture est d’une qualité exceptionnelle, avec une ampleur de touche que Monet n’a pas osé essayer à nouveau dans ses tableaux de chevalet, souvent un peu trop scrupuleusement réalisés. Et n’oubliez pas que le travail est resté inachevé. Les plans de couleur importants sont soulagés par des tranches décisives de tons purs et ces vastes surfaces offrent la possibilité de fortes variations de la lumière du soleil pénétrant à travers les arbres. Les personnages sont vraiment complètement intégrés à la nature, que leurs caractéristiques dominantes se confondent avec le feuillage ou qu’ils soient traités d’une manière plus marquée à la lumière.
NOTE: Pour voir comment le soi-disant «naturalisme» de Monet a conduit paradoxalement à l’abstraction, voir: Réalisme à impressionnisme (1830-1900).
Il est fort probable que cet ouvrage, s’il avait pu être achevé, aurait pu marquer, par rapport à celui de Manet, un pas en avant décisif qui aurait pu orienter l’évolution ultime de l’impressionnisme, et de Monet en particulier, dans une direction tout à fait différente.. Même si c’était le cas, cela a profondément impressionné les amis de Monet. Ce qui est resté le plus digne de l’œuvre de Bazille, le grand "Family Reeunion", peint en 1867 entièrement à l’air libre sous les marronniers sur la terrasse de la maison familiale du peintre en Languedoc, fait évidemment partie de ce cycle. Monet lui-même produit bientôt une nouvelle toile dans le même esprit, bien que moins ambitieux et pas si vaste, Femmes dans le jardin (1867).
L’oeuvre est peinte directement dans le jardin de la Ville d’Avray où il passe l’été 1866. Une tranchée a été creusée afin de pouvoir abaisser la toile de plus de huit pieds de hauteur sur une poulie lorsque l’artiste souhaite atteindre la parties supérieures. La composition est beaucoup moins riche que celle de "Déjeuner sur l’Herbe", avec seulement quatre figures féminines placées à des angles suffisamment artificiels, tirant leur lumière de la végétation. Camille avait posé pour les quatre personnages qui se présentaient sous forme de variations légèrement uniformes. Le travail se rapproche davantage de celui de Manet, en particulier dans le traitement des visages en coups et des taches noires simplifiées. Le travail a également été sauvé par miracle lorsque Monet, une fois de plus dans une situation financière difficile, a dû fuir au Havre et a laissé derrière lui plus de 200 toiles, dont il a défiguré beaucoup pour que les huissiers ne les vendent pas.
C’est ainsi que Monet a eu l’idée de peindre l’homme à son échelle naturelle et dans son environnement, et il était capable d’y parvenir. Mais il dut y renoncer à cause d’une incroyable série de déceptions personnelles qui, au cours des années précédant la guerre de 1870, l’amenèrent au point de tenter de se suicider. Cet échec le réduit à de petits tableaux de chevalet et à l’abandon de la forme qui, dans ces dimensions, ne lui semble plus une base suffisante pour traiter les problèmes de lumière et de couleur. Il se penche vers une analyse géniale des fragments de la nature et ce n’est qu’à la fin de sa vie qu’il parvient à revenir à cette analyse aux proportions monumentales. Nous ne pouvons qu’imaginer ce qu’il aurait pu accomplir s’il avait continué sur la voie qu’il avait choisie en premier.
Ainsi, à partir de 1865, Monet est contraint de privilégier les paysages plus modestes dans ses entrées pour le Salon: paysages marins ou paysages forestiers. Ces œuvres sont d’une grande netteté, libres, concentrées et bien nourries, légères et nouvelles. Au début, ils sont bien reçus. Au salon de 1865, Manet est surpris de trouver à côté de lui le peintre qui est presque son homonyme, avec lequel il ne connaît toujours pas et à qui il éprouve encore une certaine amertume en réalisant le succès de ses paysages marins alors que tout le monde s’oppose à "Olympia. " Mais peu après, quand il fait la connaissance de l’artiste, ses préjugés disparaissent et lui donnent une amitié indéniable.
Mais au fil des années, Monet devra affronter la même haine, les mêmes injustices que le vieil homme. Au Salon de 1866, il est de nouveau accepté avec "Route de Fontainebleau" et "Portrait de Camille". Mais en 1867, sa "Femme au jardin" est rejetée et il en va de même pour les merveilleux paysages de La Grenouillère en 1869. Pourtant, quelle variété dans son élégance étudiée et dans ses propositions; quelle riche invention dans des œuvres où Monet s’applique toujours à la solution d’un nouveau problème! En 1865, imitant Jongkind qui avait peint l’abside de Cathédrale Notre Dame du même endroit à différents moments de l’année, Monet entreprend de peindre le chemin de la ferme de Saint-Siméon pendant l’été, puis sous la neige. En 1866, il peint les premières vues panoramiques de Paris depuis le toit du Louvre, en face de Saint-Germain-l’Auxerrois. Bien que ces peintures aient des titres rigides tels que "Saint-Germain l’Auxerrois", "Le Jardin de l’Infante" et "Le Quai du Louvre", elles présentent un vaste tableau de la ville avec plusieurs plans de la façade des quais et la place Dauphine, maintenant illuminée, maintenant teintée d’ombres claires, dominée par les coupoles du Panthéon, du Val-de-Grâce et de la tour Clovis, qui se détachent sous de grands cieux tachetés. Les masses de vert ou les touffes de feuillages légers créent un espace en profondeur, toujours transparent: au premier plan se détachent les silhouettes animées de fiacres (taxis) et de promeneurs. Ce sont les premiers de ces paysages urbains, de ces vues panoramiques sur les boulevards et le Pont-Neuf qui inspirent plus tard les recherches si intenses de tous les impressionnistes jusqu’à la fin du siècle.
Le même été, ses paysages marins peints au Havre offrent des combinaisons de plans très variées, se déroulant en bandes parallèles ou s’insérant dans la diagonale. L’artiste ne cherche plus à fusionner terre, mer et ciel mais compose sa toile de plusieurs éléments définis avec bonheur: jardins fleuris, divers groupes de personnes, silhouettes de bateaux, voiles et autres objets marins. Certains sont pris en pleine lumière, généralement au premier rang des compositions; d’autres vont à contre-jour dans des nuances de bleu ou de mauve habilement nuancées. La souplesse, la fluidité de son toucher évoquent l’atmosphère d’une brise de mer et, si l’on compare ces œuvres aux grandes variations monochromes claires Whistler réalise au même endroit et au même moment avec une poésie inégalée, Monet détient toujours l’avantage dans l’animation et dans la vie. Pour plus d’informations à ce sujet, voir: Caractéristiques de la peinture impressionniste (1870-1910).
En 1868, Monet a un bref répit de ses soucis matériels. Après avoir réussi à l’inviter, avec Courbet et Manet, à une exposition maritime internationale au Havre, il voit son portrait de Camille acheté par Arsene Houssaye, venu à l’exposition en tant qu’inspecteur des beaux-arts, et rencontre un riche amoureux, M. Gaudibert, qui le charge de peindre un portrait de sa femme et l’aide à plusieurs reprises par la suite. Ce portrait, qui semble sacrifier quelque chose au type mondain d’Alfred Stevens, ami de Manet et visiteur occasionnel au Café Guerbois, est en réalité, dans son traitement et sa composition très proche des portraits contemporains de Manet lui-même, dans lesquels l’individualité du modèle disparaît derrière une multiplicité de symboles et une richesse de décor. Par exemple, dans le célèbre portrait de Zola, le profil est un élément presque mineur comparé à la nature morte constituée par le puits d’encre, le livre ouvert, les brochures colorées sur le bureau, ou par comparaison avec l’écran japonais ou les gravures montées dans un cadre. Dans le portrait de Duret, le visage, inerte comme un manchon ou un chapeau, est presque réduit à néant par rapport à l’énorme silhouette gonflée. L’animation revient aux mains et l’intensité de la nature morte au premier plan, du citron et de la carafe: des sphères lumineuses qui permettent d’équilibrer la lourde masse verticale du corps. Dans le portrait de Madame Gaudibert par Monet, la tête est presque complètement tournée et ce qui compte, c’est l’élégance de la robe en soie à puce, le mouvement du châle, le bouquet de fleurs, les rideaux peints à grande brosse et soulagés de noirs profonds.. Mais Manet, mieux que Monet, sait se débarrasser des accessoires inutiles. S’inspirant des peintres espagnols, dont l’opposition entre le noir et les couleurs vives est magnifiée par leur contraste avec les fonds neutres d’ocres claires et nuageuses, il place ses personnages dans un tel décor. L’exemple le plus frappant avant le portrait de Duret est son "Fifer", si concret et saisissant dans les couleurs éclatantes de l’uniforme, mais suspendu dans un vide.
Fin 1868, Monet est à Bougival avec sa famille, une fois de plus sans argent et faisant appel à ses amis. Renoir, qui vit avec sa mère à Ville-d’Avray, vient travailler à ses côtés mais est tout aussi mal loti et doit souvent arrêter de travailler faute de peintures. Cependant, ils sentent qu’au bout de leurs pinceaux se trouvent des idées de merveilleuses toiles.
Leurs impressions sont complémentaires et, travaillant sur le même sujet, ils vont produire pour la première fois des visions parallèles d’un immense intérêt, chacune conservant ses traits caractéristiques et cherchant toutes deux à créer une méthode de peinture. Tout d’abord, c’est le thème du bateau et de l’eau qui reflète les maisons et les arbres sur la rive. Suivez ensuite les peintures inoubliables de La Grenouillère. À partir de là, on peut facilement dater la naissance de l’impressionnisme en tant que nouvelle technique d’application générale possible. Ce lieu célèbre sur la Seine près du restaurant Fournaise, décrit par De Maupassant, a présenté une scène extraordinaire de vivacité qui a fasciné les deux amis. Le débarcadère, une petite île avec un seul arbre, fournit un point central pour la composition dans lequel ils montrent les promeneurs et l’élégant va-et-vient. Dans les œuvres de ces deux Peintres impressionnistes, différents mais à la fois proches les uns des autres, seul le traitement de l’eau est presque identique, avec des traits allongés produisant une alternance de lumière et d’ombre en fonction du fait que l’eau reçoit toute la lumière et la réfléchit, ou des ondulations de l’ombre côté. Dans le cas de Renoir, les figures se fondent dans le feuillage en surplomb, coagulation presque indistincte de la végétation. Les gens perdent toute individualité, enveloppés dans des nuances délicates et des reflets de lumière. Dans le travail de Monet, au contraire, les contrastes sont beaucoup plus marqués. La magie existe aussi dans ses toiles mais la composition est toujours claire avec les blancs parfaitement divisés. Le décor des arbres se déploie comme une frise parfaitement nette, créant ainsi une profondeur devant laquelle se détachent la silhouette de l’île et, à droite, la partie avant du restaurant. Il y a des détails d’une audace prodigieuse comme les baigneurs de gauche qui semblent être striés par les légères taches sur l’eau. Ce chef-d’œuvre a été rejeté par le jury du Salon en 1870 malgré l’insistance de Daubigny, qui a démissionné pour l’affaire. À partir de ce moment également, les importantes études sur la neige dans lesquelles Monet et Renoir ont étudié le reflet de la lumière du soleil sur la neige, teintée de rose ou de jaune et produisant des ombres bleuâtres ou mauves. Voir: Meilleures peintures impressionnistes.
Faut-il voir dans le manque de compréhension qui a salué Monet une mesure de l’érosion de la société de cette époque? Dans cette fin du Second Empire, il y a une indifférence générale et l’inquiétude; plus personne ne croit plus rien. Les forces du futur existent déjà. Ils se préparent, se regroupent et vont bientôt éclater. Mais pour l’instant, il n’y a pour eux que l’ignorance et le mépris. Ce qui est pathétique dans la lutte de Monet contre l’adversité, c’est le fait qu’un peu plus de compréhension de la part de sa famille l’aurait rendue inutile. Ses parents ne manquent pas d’argent et ils auraient pu céder, sinon aux qualités déjà assurées de leur fils, du moins à son courage et à sa persévérance.
Sa position devient presque intenable lorsque, en 1867, sa compagne Camille, qu’il ne put épouser avant 1870, lui donne un fils. Il y a des moments où Monet est sans feu ni pain. Sa famille ne consentira à l’aider que s’il mange une tourte humble et qu’il revient sous leur aile. On lui offre nourriture et abri, mais uniquement pour lui-même et non pour Camille et leur enfant. Il endure presque le martyre pour essayer de produire, sous tant de difficultés, le travail en lequel il croit. Son seul soutien est Bazille, qui ne se lasse pas de demander de l’aide, dans le studio duquel Monet se réfugie parfois pendant de longues périodes, et qui cherche tous les moyens de trouver des acheteurs pour les peintures de Monet et, lorsqu’il échoue, achète parfois lui-même une oeuvre rejetée. versements. (Mais lisez à propos du prochain client de Monet, le marchand d’art Paul Durand-Ruel.)
Articles Liés
Les œuvres ultérieures de Monet incluent:
SUIVANT:
❺ Impressionnistes Renoir, Sisley, Pissarro, Degas, Cézanne.
- Impressionist Triumph at New York Auction
- Nach 83 Jahren kehrte Schostakowitschs mysteriöse Oper über die Kreuzung von Mann und Affe nach St. Petersburg zurück
- «Saint Joan» by George Bernard Shaw
- "The Adventures of Huckleberry Finn", summary and analysis
- Architektur des 19. Jahrhunderts: Merkmale, Geschichte
- Fontainebleau School of Mannerist Art (c.1528-1610)
Si vous remarquez une erreur grammaticale ou sémantique dans le texte, veuillez la spécifier dans le commentaire. Merci!
Vous ne pouvez pas commenter Pourquoi?