Les oeuvres de l’artiste Peter Dick au palais Stroganov du Musée russe Automatique traduire

Le 22 novembre, le Musée russe de Saint-Pétersbourg inaugure une exposition personnelle de Peter Gergardovich Dick. Les œuvres de l’artiste national de Russie sont exposées pour la deuxième fois au Musée russe. La première exposition a eu lieu pendant la vie de l’artiste, en 1977.

L’exposition de cette année, intitulée Territoire du silence, présente une centaine d’œuvres écrites selon la technique du pastel. La plupart des pastels se trouvaient dans la collection du Musée russe, les œuvres de l’artiste provenant de la collection de sa famille leur ont été ajoutées.

Peter Dick, artiste russe d’origine allemande, né dans le territoire de l’Altaï depuis 1973, a vécu et travaillé dans la ville de Vladimir. Vivre sur la terre de Vladimir a donné à l’artiste l’occasion de se familiariser avec l’art russe ancien, source d’inspiration pour lui.

L’exposition de l’exposition du Musée russe était composée des œuvres de l’artiste écrites par lui au cours des dernières années de sa vie, qui sont devenues l’apogée du talent du maître. Dans l’œuvre de Peter Dick, il existe des œuvres de différents genres, mais l’héritage de ses dernières années est constitué de peintures réalisées selon une technique inhabituelle: elles sont écrites au fusain et pastel sur du papier de verre.

Les œuvres de l’artiste sont devenues sa confession. Les images des héros de ses œuvres sont expressives, elles contiennent de l’amertume et de la tristesse causées par le manque de compassion pour les peuples du monde, des problèmes de solitude. Ils semblent se figer, écoutant leur âme aspirer à des idéaux.

Pendant ses études à Stroganovka, Peter Dick était spécialisé dans le traitement artistique du métal. Parmi ses grandes œuvres figurent des reliefs pour le mémorial des soldats morts de blessures dans les hôpitaux de Vladimir. Cependant, des problèmes de santé ont obligé l’artiste à commencer à travailler avec le graphisme, qui constituait l’exposition de l’exposition, qui peut être visitée jusqu’au 11 février.

Ludmila Trautmane