Dans "Illusion" et "Cinq étoiles sur Paveletskaya" s’achève le festival du cinéma polonais "Wisla" Automatique traduire

MOSCOU. Distribution des «éléphants» et matérialisation de nouveaux films lors de la traditionnelle Semaine du cinéma polonais.

La semaine du cinéma polonais, dont la neuvième saison s’est achevée dans le cinéma métropolitain "Five Stars on Paveletskaya", est un événement toujours attendu. Surtout en tenant compte de la longue absence de peintures polonaises au box-office russe, à l’exception peut-être de quelques coproductions mettant en vedette des stars occidentales. Dans la situation politique actuelle, la préservation des liens culturels entre les pays revêt une grande importance.

L’Institut polonais de la cinématographie finance volontiers non seulement des projets potentiellement couronnés de succès, mais également des bandes magnétiques. La semaine propose traditionnellement un large éventail d’innovations actuelles de films d’auteurs, de films commerciaux et d’étudiants. Une note chaleureuse et nostalgique est faite par les rétrospectives. L’année dernière, ils se sont souvenus des meilleurs films du populaire Jerzy Oskar Stuhr. En 2016, les organisateurs ont présenté un compte-rendu du travail des maîtres - le génie Krzysztof Kieślowski, décédé vingt ans plus tôt, et Andrzej Żuławski, qui est parti en février de cette année.

Le prix principal du festival IX - “Elephant” du jury de la guilde des critiques de cinéma et critiques de cinéma est allé au récit tragique et léger “Mes filles d’une vache” (Moje Córki Krowy) Kinga Dębska sur l’opportunité de pardonner et frapper un être cher en cas de perte imminente. La sympathie du public et le prix qui le symbolise ont été attribués à l’enregistrement de Planja Singli sur Mitja Okorn à propos de la recherche de l’homme idéal, ce qui peut donner des résultats inattendus. Le franc «États-Unis d’amour» (Zjednoczone Stany Miłosci) à propos de trois héroïnes en l’absence d’amour et de vie intime a reçu un diplôme à la fin de la semaine du 26 mai.

Elena Tanakova © Gallerix.ru