Gravure française du "siècle galant" lors d’une exposition au musée des Beaux-Arts Pouchkine Automatique traduire

MOSCOU. Dans le bâtiment principal du musée Pouchkine. À partir du 14 mars, la Fondation Pushkin du graphisme français présentera au public des gravures créées à l’époque rococo à partir de sa collection. La collection de ce fonds est l’une des plus riches collections du musée Pouchkine. Il contient des eaux-fortes, des gravures au crayon et de l’aquatinte colorée.

Ces œuvres uniques de maîtres français font partie de la collection du musée, parmi les célèbres collections de collectionneurs russes - Bobrinsky, Baryatinsky et d’autres, non moins célèbres. L’exposition comprend 60 gravures, apparues pour la première fois dans la salle d’exposition. Les gravures étant extrêmement sensibles aux effets de la température et de la lumière, elles quittent rarement la chapelle du musée.

Par conséquent, le crépuscule règne dans la salle d’exposition, où des gravures d’une incroyable beauté représentent le monde de l’époque, appelé le "siècle galant". Selon Natalia Vedeneyeva, commissaire de l’exposition, il ne faut pas chercher de véritables événements sur les gravures. Très probablement, ceci est une idée de la façon dont les gens qui vivaient à l’âge «galant» se voyaient.

Tout d’abord, le terme «galanterie» fait référence aux relations entre hommes et femmes, puis il a rempli d’autres sphères de la société. Gallant ne pouvait être qu’un homme dont le discours, les manières et l’apparence étaient impeccables. Les représentants de la haute société française au 18ème siècle en France, ont même habillé leurs chiens de telle manière qu’ils cherchent à correspondre à leurs propriétaires.

Peut-être parce que «l’âge galant» n’a pas affecté la Russie, les aristocrates russes ont volontiers acquis une gravure française illustrant la vie européenne, qui ressemble à un conte de fées. Lors de l’exposition, des gravures ont été combinées en sections représentant des lieux où des représentants de la noblesse française passaient leur temps.

Des expositions uniques peuvent être vues jusqu’au 1er juin.

Ludmila Trautmane © Gallerix.ru