La Méditerranée à Ekaterinbourg. Festival international "Eurasia" - un puzzle qui s’est développé Automatique traduire
YEKATERINBURG. Le festival de musique "Eurasia" est terminé. La frontière invisible de la tolérance: de Batagov à Al-Tariq al-Ghazuliya
L’histoire connue de la Russie - une exacerbation du besoin d’art en une année difficile - a rempli les salles de réunion quotidiennement avec un public reconnaissant. Le thème «Méditerranée» a permis de réunir des musiciens intéressants et variés d’Europe, d’Asie et d’Afrique dans le cadre du forum de la musique. L’intérêt manifesté pour les vedettes inconditionnelles - Batagov, Debarg et Bashmet - n’est pas en contradiction avec l’accueil enthousiaste d’un groupe non professionnel du Caire, Al-Tariqa Al-Gazoulia, qui a introduit les chants soufis. Les applaudissements généreux et l’enthousiasme du public ont accompagné les improvisations méditerranéennes de L’Arpeggiata, qui ont matérialisé l’idée du festival sur la tolérance et l’unité. Le format du programme off-programme pouvait accueillir des classes de maître, des retransmissions en direct de concerts et même le projet artistique d’avant-garde «The Shining World».
Chaque jour du festival est devenu une pièce du puzzle, ce qui a finalement permis de constituer une belle image d’un seul espace musical. Orchestres symphoniques de Hong Kong et d’Italie, un quatuor britannique, un violoniste tchèque, une pépite française. Obtenir Debarg après un triomphe au concours Tchaïkovski est un conte de Noël en octobre. Il est impossible de prédire avec une certitude absolue comment se déroulera l’histoire d’un gars extraordinaire. S’il attend un décollage vertigineux, s’il se cache inopinément dans une tour d’ivoire. Mais alors que la rencontre avec le miracle est réelle.
Les mêmes associations sont dues à la possibilité d’assister aux concerts d’Anton Batagov, l’un des compositeurs les plus extraordinaires, venu de New York après 15 ans de solitude. Pratiques bouddhistes, repense innovante de Rachmaninoff, comparaisons avec Gould, importance révolutionnaire du travail pour le cinéma et la télévision - un mouvement inspiré qui avance sans attachement orthodoxe à aucun style. Il se souvient de Shpalikovskiy «ne retournez jamais dans vos anciens lieux».
Elena Tanakova © Gallerix.ru
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