Science Cinema Festival ou une chance d’aimer les mathématiques
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MOSCOU. Le 13 octobre, dans les universités russes, la première de "Géométrie littérale" a débuté la projection de films scientifiques dans le cadre du festival FANK.
L’enthousiasme pour son travail est toujours contagieux. En ce qui concerne le rationnel et l’éternel - en particulier. Le festival de cinéma scientifique contemporain qui a débuté peut être considéré comme une tentative réussie d’initier la génération de selfies à une activité intellectuelle riche. Les créateurs de plusieurs dizaines de films scientifiques n’ont pas voulu charger de lourdes découvertes et destins d’autrui sur les esprits fragiles des futurs Landau et Lomonosov. Pour commencer, il suffit de montrer à quel point le processus de résolution d’un problème complexe peut être un jeu d’argent. Les scientifiques brillants du film «Literal Geometry» de Ekaterina Eremenko sont des êtres vivants aux émotions, rêves et ambitions ordinaires, passionnés par le problème de la discrétion. Le monde qu’ils perçoivent à travers le prisme des formules mathématiques est harmonieux et rempli de sentiments tout autant que celui qui entoure les gens «normaux». Et les recluses déchirées de la vie réelle avec un regard étranger sont un mythe commun pour les paresseux peu attrayants. La voltige aérienne démontrée par Eremenko dans «Mathématiques sensuelles» a été répétée dans la nouvelle image. L’expérience d’une excellente étudiante de l’Université d’État Mechmath de Moscou dans une présentatrice affamée de mannequins et de réalisatrice des années 90, diplômée de l’école du film documentaire de Munich, a dirigé intuitivement la direction de sa propre entreprise cinématographique dans le choix du cinéma scientifique, pour lequel l’avenir se trouve.
Chacun des films présentés dans le programme parle de science, d’amour, de vie, de connaissance. La palette d’intrigue vous permet d’oublier la solitude à l’aide du robot d’Alice, de réfléchir aux secrets de l’univers, à la nature, dont le lien est plus étroit qu’il ne semble aimer les sciences exactes.
Elena Tanakova © Gallerix.ru
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