Norshteyn, Bronzit et la meilleure animation mondiale. L’éducation du goût et la joie d’apprendre Automatique traduire
MOSCOU. Le neuvième Big Cartoon Festival a diverti, éclairé, ravi.
Le fait que les dessins animés puissent être différents: intelligents, avant-gardistes, chefs-d’œuvre, le spectateur n’apprend parfois que lors de prestigieuses projections. Et s’habitue aux masscult de second ordre. Mais l’eau détruit la pierre et les festivals insufflent progressivement le goût du bon cinéma, stimulant ainsi le désir de la voir plus souvent. Le programme de dix jours du prochain BFM s’est avéré très vaste, diversifié et quelque peu sensationnel. Il comprend tous les meilleurs et les plus réussis des films créés au cours de la dernière année dans l’animation nationale et étrangère, des programmes spéciaux, des conférences, des master class, des réunions, des bilans rétrospectifs de programmes de célèbres forums multilingues: Stuttgart, Suzdal, Polish O! PLA.
Dans le bloc des enfants du programme principal, le 65e anniversaire des Moomins a été célébré avec de nouveaux films à leur sujet. Petrushevskaya, Rybnikov, Gerdt, Shorina ont participé à la création de dessins soviétiques. Le plus intéressant était de les comparer aux œuvres de Maria Lindberg (Maria Lindberg) et de Xavier Picard (Xavier Picard), tournées dans les années 2000.
La section "Noms" a été dédiée cette fois à Konstantin Bronzit. Dans sa filmographie, outre les films commerciaux Alyosha Popovich, Luntik et Dwarf Nose, il y a aussi le compteur court de l’auteur, auquel le réalisateur a récemment attiré l’attention: «Au bord de la terre», «Déité». Le dernier vol consacré au cosmos en un an seulement a remporté plus de 50 récompenses. Membre des académies de cinéma française et américaine Bronzit, ses professeurs considèrent Mark Baker, Mikel Dudock de Vit et le génie Norshtein. La conférence de ce dernier sur la musicalité de l’image avec des illustrations de films des années passées a été l’un des meilleurs moments du festival. La musique est devenue un ornement du programme polonais. La visualisation d’images nées sous l’impression de la musique de Grieg, Mozart, Chopin, a constitué la base de merveilleux courts métrages. Des artistes polonais célèbres leur ont donné leur talent et leur inspiration.
Une des sensations du BFM était le programme de l’avant-garde allemande animée des 20-30 ans du siècle dernier. Films Silhouette de Lotte Reiniger, figures géométriques du dadaiste Hans Richter, parabole de Bertold Bartosch, symphonie diagonale de Viking Eggeling (Viking Eggeling).
Elena Tanakova © Gallerix.ru
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