Film original de Natalia Savras à propos d’un rêve sans frontières Automatique traduire

YEKATERINBURG. Le Center for Contemporary Art a organisé une autre exposition-débat sur le documentaire de l’auteur.

Depuis le 23 janvier, au Centre pour l’art contemporain, dans le cadre d’un nouveau projet, le Centre d’État pour les sciences et la technologie, des projections de documentaires sur le droit d’auteur ont commencé, suivies d’une discussion. La première soirée a été consacrée à la peinture de Lyubov Rigolbosh «Underline the Necessary» sur les musiciens underground et l’atmosphère particulière d’Ekaterinbourg propice au développement du potentiel créatif de personnes talentueuses. Le 20 février a eu lieu la projection du premier film de Natalia Savras "Le bonheur n’est pas loin". Savras n’a pas immédiatement déterminé sa véritable vocation. Elle a combiné avec succès ses études à la faculté de philosophie de l’Université de l’Oural avec des travaux dans des organisations créatives de sa ville natale. L’obtention d’un diplôme de maîtrise n’incitait pas à faire de la science et n’annulait pas le désir d’essayer soi-même de diriger.

Depuis 2014, le scientifique en échec collabore avec la société de films Ekaterinbourg Snega pour la création de films de fiction, de documentaires et d’animation. La participation à la société d’application annoncée par le ministère de la Culture a été un succès. Le ministère a alloué des fonds à la mise en œuvre du projet du premier film documentaire Savras "Little Swan", qui s’appelait dans la finale "Le bonheur est à nos portes".

Le «test de la plume» de cet aspirant cinéaste-philosophe a été un succès. La bande a participé à plusieurs projections de films internationaux, a remporté le Grand Prix du V Festival International Bereginya et le prix du meilleur premier film au festival-atelier de Kinoproba. Le personnage principal du nouveau film sur la réalisation de rêves et d’intrépidité est une jeune ballerine japonaise. Yuko Fukudo, admirée par le savoir-faire des danseurs russes, était impatiente d’entrer dans l’école de ballet russe et l’a fait. Ni une barrière linguistique, ni une culture différente, ni l’absence de proches ne sont devenus un obstacle.

Elena Tanakova © Gallerix.ru