Confessionnal sur roues, inventeurs du cinéma, modèle sur le ring Automatique traduire
NOVOSIBIRSK. À l’ouverture du festival «Victoire. Doc ”du film“ siège réservé ”de Rodion Ismailov.
Le cinéma Pobeda, membre d’honneur de l’association Eurimages, constitue un matériau novateur dans la coque d’un monument architectural. Le bâtiment est né en 1926 avec un portique à huit colonnes qui a préservé non seulement l’aspect néoclassique, mais aussi son objectif fonctionnel. Un répertoire diversifié, doté des équipements de projection les plus récents, de l’indispensable Dolby Digital Surround, de la 3D et du 4K, a permis à Pobeda de résister à l’assaut des multiplex ultramodernes. Le «menu» d’un vétéran de sept membres avec une âme jeune inclut un ensemble de divertissement standard avec pop-corn, des créations vedettes, une «cuisine d’auteur» pour les cinéphiles: une maison d’art, des semaines du cinéma national, des productions d’opéra sensationnelles, des programmes pour les amateurs d’art, concerts d’été.
"Victory. Doc" est l’un des nombreux festivals du centre culturel. Le film documentaire est un miroir dans lequel notre vie se reflète dans une beauté immaculée et une laideur indescriptible. Impitoyable, parfois tordu, miséricordieux, révélateur et inspirant. Intérêt pour les événements L’équipe créative de Victory, l’un des plus anciens cinémas de Novossibirsk, en fait partie.
13 juillet à l’ouverture de «Victory. "Dock" du film "siège réservé". Deux mois plus tard, il participera au concours principal de Perm Flahertiana. C’est la dernière fois qu’un diplômé de l’Académie de la culture et des arts de Saint-Pétersbourg, l’ancien directeur de Deboshir Film Studios, l’ancien président de la Fondation du cinéma indépendant, Rodion Ismailov. Les héros de la bande sont des passagers sur le siège réservé d’un train qui suit la route sans fin Moscou-Vladivostok. Ils célèbrent le Nouvel An dans un cadre inhabituel, rencontrent leurs camarades de classe, font une pause, oublient la routine quotidienne, confessent au hasard des voyageurs. L’initiative de l’ancien patron des chemins de fer russes, qui envisageait d’envoyer prochainement ces wagons au site d’enfouissement de l’histoire, n’a pas trouvé de soutien parmi les masses. Chers amis du cœur et de la poche de la population pauvre, ils maintiendront encore longtemps le statut de principal moyen de transport abordable sur de longues distances.
Ces auberges sur roues sont en cours de modernisation et sont équipées de points de vente, de placards secs, de systèmes modernes d’extinction d’incendie et de climatisation. L’essentiel restera inchangé. Une forme collective d’être sans droit à la solitude, un fragment nostalgique de la vie antérieure, une forme de socialisation confessionnelle, forcée et efficace.
Dans un mois et demi, les invités du festival se familiariseront avec les secrets de la "Cité perdue" (Chili), l’histoire des pionniers du film "Lumières!" (France), seront émerveillés par les métamorphoses fantastiques de l’ancienne mannequin Chantal Oughi, qui a réussi à panser ses blessures émotionnelles dans le ring de boxe (coproduction internationale «Chao, chérie, je vais me battre.»)
Elena Tanakova © Gallerix.ru
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