L’art sous l’attaque:
une histoire de l’iconoclasme britannique Automatique traduire
LONDRES. «Arts Under Attack : A History of British Iconoclasm», la première exposition sur l’histoire des attaques physiques contre les œuvres d’art en Grande-Bretagne, du XVIe siècle à nos jours, se tiendra dans l’espace d’exposition de la Tate Britain à Londres.
L’iconoclasme, dans ce cas, signifie la détérioration délibérée d’œuvres d’art. L’exposition explore 500 ans d’attaques contre l’art et comprend des peintures, des sculptures et des documents d’archives. L’exposition vise à explorer comment et pourquoi les objets d’art ont été attaqués pour des raisons religieuses, politiques ou esthétiques.
L’exposition présente un grand nombre des plus beaux exemples de sculpture médiévale en Grande-Bretagne. Toutes ces œuvres remarquables ont réussi à survivre à l’époque de la Réforme, lorsque le pays a perdu plus de 90 % des œuvres des maîtres médiévaux. Par exemple, la statue «du Christ mort», datant de 1500-1520, a été découverte en 1954 sous une chapelle de Mercers’ Hall. La sculpture a été gravement endommagée lors de l’iconoclasme religieux des XVIe et XVIIe siècles. L’exposition comprend également un grand nombre de livres sacrés anciens fournis par la British Library, qui ont également été mutilés par des iconoclastes fanatiques.
Des tessons de vitraux médiévaux provenant de Christ Church, Oxford, et de la cathédrale de Canterbury, brisés des fenêtres et rassemblés en morceaux, sont exposés pour la première fois, ainsi qu’une peinture de Thomas Johnson de 1657 montrant la décoration avant sa profanation.
L’exposition présente également l’un des portraits achetés par les artistes Jake et Dinos Chapman’s (Jake et Dinos Chapman) pour mutiler le Go au point de le rendre méconnaissable. Les artistes conceptuels ont ajouté des marques sanglantes sur le visage du personnage de la peinture, ont rendu sa bouche laide et ses yeux fous. Ils ont probablement pensé que c’était amusant.
Des fragments de la statue de Guillaume III et de l’amiral Nelson, détruits par des bombardements à Dublin en 1928 et 1966 en signe de lutte contre les autorités britanniques, et des fragments de la statue de Georges III, dynamitée pendant la guerre d’indépendance américaine, seront exposés pour la première fois en Grande-Bretagne.
L’exposition présente de nombreuses œuvres d’art qui ont été victimes des attaques des suffragettes à la fin du 18e et au début du 19e siècle. L’exposition présente également une vaste documentation d’archives sur les attaques, accompagnant les œuvres, les dossiers de la police et les photographies des agresseurs.
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