NADEZHDA FOMICHEVA "QUELQUE CHOSE" Automatique traduire

Galerie "À l’escalier d’or", 4ème étage.

Le 8 décembre, Nadezhda Fomicheva invite chacun à réfléchir sur le plus intime, à ce qu’il ne montre pas et à essayer de cacher de toutes les manières possibles - sur les complexes.

A noter qu’il s’agit de la première exposition personnelle de l’artiste à Saint-Pétersbourg.

Pour la première fois, l’auteur a fait face, bien entendu, à ses complexes. Après cela, elle a commencé à faire attention aux complexes de ses amis. Mais l’artiste était vraiment profondément imprégnée de cette problématique lorsqu’elle a commencé à dessiner le corps humain de la nature.

Quand les modèles ont regardé les croquis et les œuvres que les artistes ont réalisés, Nadya a vu de l’embarras: "Quel ventre j’ai, j’ai besoin de perdre du poids", "j’ai des plis, un cauchemar!", "Quelles jambes pleines j’ai!" Tout cela a influencé le comportement et la posture qu’ils ont adopté. Ils sont devenus plus renfermés et timides. Cela a semblé très intéressant pour l’artiste, car dans la vie, les complexes contrôlent également les gens. Ils ne nous permettent pas de faire ce que nous voulons, de nous comporter comme nous le voulons. Ils sont également souvent le personnage principal d’une mauvaise humeur, ce qui affecte négativement le bien-être. Les complexes sont un problème assez important.

«Dans mes œuvres, j’essaie de trouver des combinaisons de couleurs agréables et des nuances attrayantes pour les yeux et les sensations. Le choix des matériaux graphiques me dit toujours l’idée générale de la série que je vais créer. Pour plus d’expressivité du travail avec l’image du corps humain, j’ai utilisé de la semoule. C’est elle qui a créé une telle base chaude de velours de la surface et ajouté de la texture si nécessaire. Les peintures épaisses et opaques empêchent les formes de se répandre, créant des taches de couleur claires, que la semoule a absorbées uniformément sans déformer les nuances. C’est ainsi que la série «Something» est apparue», explique l’auteur.

L’exposition se déroulera jusqu’au 2 février. Entrée gratuite. 16 +