Exposition "LA VICTOIRE COMME UN NOUVEL EPIC. DÉDIÉ AU 70ÈME ANNIVERSAIRE DE LA VICTOIRE" Automatique traduire
с 27 Мая
по 12 ИюляГалерея искусств Зураба Церетели
ул. Пречистенка, 19
Москва
26 mai 2015, l’Académie des arts de Russie et la galerie Krokin dans les salles de la galerie d’art Zurab Tsereteli à l’adresse: st. Prechistenka, 19 ans présente le projet d’exposition «VICTOIRE COMME UN NOUVEL ÉPIC. DÉDIÉ AU 70ÈME ANNIVERSAIRE DE LA VICTOIRE. ”
Vladimir Anselm, Ilshat Askari, Tatiana Badanin, Konstantin Batynkov, Alexei Belyaev-Gintovt, ALEXANDER Djikia, ALEKSEY Dyakov, PLATON Infante, ANDREW IRYSHKOV & ANASTASIYA Mikhailovskaya, Sergey & TATIANA Kostrikova, DARYA taupe, BOHDAN Mamonov, VLADIMIR Nasedkin NICHOLAS Nasedkin ALEXANDER PANKIN, ALEXANDER PONOMARYOV, SERGEY SONIN ET ELENA SAMORODOVA («LEAD AND COBALT»), MIKHAIL ROZANOV, LEONID TISHKOV, GOR CHAHAL, ANDREI PHILIPPOV, SERGEY CHUTREIRE BREIER, LEI.
Cette exposition porte sur la victoire de l’Union soviétique dans la Grande Guerre patriotique, sur le phénomène à grande échelle de l’histoire récente, sur la formation d’une nouvelle épopée héroïque.
L’exposition présente plus de 50 œuvres de ces artistes: peintures, graphiques, objets, installations, vidéos.
L’exposition est ouverte aux visiteurs du 27 mai au 5 juillet 2015.
L’idée principale de l’exposition, son plan de fond, est centrée sur la victoire en tant que phénomène de cette épopée qui résonne dans l’espace de la culture moderne. Le moment principal de l’exposition ne sera pas tant un trait de la perception de la victoire par des personnes qui en sont séparées depuis plusieurs décennies, mais bien le format de la propriété. Ceci n’est pas une illustration d’une histoire spécifique, mais plutôt un regard de loin et un appel direct à la mémoire en quête d’identité, c’est une nostalgie du Grand, une tentative de reconstruire ce qui semblerait être perdu pendant les années de la défaite et perte. C’est ici, dans cet espace sémantique, qu’une nouvelle perspective se dégage de la lecture de Victory dans la Grande Guerre patriotique et de la percée ultérieure dans la formation d’une superpuissance, qui a déjà ouvert une "fenêtre" dans l’espace.
Soixante-dix ans ont passé et la victoire est perçue comme un phénomène prédéterminé, dont le sens et la signification sont lus d’un point de vue historique. D’autre part, la qualité de l’événement lui-même, sa signification trouve des analogies régulières avec l’histoire sacrée. D’où l’association inattendue de la phrase biblique à Belshazzar «Mene, mene, tekel, uparsin» (Dan. 5: 25-28) avec le verdict de la 45ème, gravé par nos baïonnettes sur les ruines du Reichstag.
Beaucoup de choses sont restées derrière le «cadre» des preuves, mais il n’ya aucun doute sur le lien entre les 45e et 61e avec leurs paramètres rigides - «Comprenez-le!» Et «Allons-y!». Ce sont ces slogans qui ont expliqué et défini le cosmos de notre civilisation, sa motivation, son orbite historique, son contenu épique. L’exploration spatiale et Gagarine sont devenus le développement logique du point culminant de la 45e édition avec Egorov et Kantaria. Les Gagarins du quarante et unième au quarante-cinquième étaient des millions. Des millions de personnes enthousiastes qui ont soulevé le pays sur une orbite inaccessible et ont secoué les "eaux babyloniennes" de l’ambition millénaire d’un nouvel ordre mondial.
Le thème de la grande victoire est complexe dans l’interprétation de notre génération. Par rapport à ce projet, il est plus raisonnable de parler non pas du sujet, mais de l’intonation de la Grande Victoire, sa lumière brille à travers la vanité des fabrications et des spéculations, s’effritant sous la "pression de l’acier et du feu" à la pied de son monument inébranlable, enraciné dans les paysages de l’histoire mondiale.
Cette exposition traite de la Grande Victoire, d’une autre tentative d’essayer le «manteau du père» dans le contexte actuel - en langage moderne et en forces nouvelles.