L’exposition "Il y avait une ville ..." Automatique traduire
с 14 по 26 Марта
Alpert Gallery
Красноказарменная ул., д. 3
Москва
La galerie Alpert présente l’exposition "Il y avait une ville…". Le passé du poème de Brodsky, auquel le nom est emprunté, n’est pas littéral, il n’est que le signe d’une aberration de la perception, une image multiforme de la ville capturée dans l’âme. C’est à un rythme si rythmé, fractionné, que se construit l’exposition, qui comprend des œuvres unies par des thèmes urbains.
Les mémoires de Vladimir Paroshin de la série «Yards of Our Childhood» renvoient littéralement au passé - à l’atmosphère unique des cours de Moscou, dont beaucoup, hélas, n’existent plus.
Paroshin Vladimir. Grotte de Lefortovo
Paroshin Vladir. Maison de moscou
L’hiver brumeux de Venise à Elena Gagarina est semblable à l’image de la ville créée par Brodsky dans l’essai «Fondamenta degli incurabili»: la splendeur d’une promenade humide illuminée par une lanterne éteinte, une jetée avec des gondoles endormies, un café… Un portail vers le passé - une porte noire d’un modeste canal perdu dans un labyrinthe de canaux, conservant le contact des mains de plusieurs générations de ses propriétaires.
Les œuvres d’Irina Bogdanova sont parfois laconiques, au bord de l’abstraction, et peuvent être perçues comme une paraphrase d’une déclaration suprématiste qui peut être transformée en une image réaliste: qu’il s’agisse du carré d’un puits de cour ou des bandes de couleur de Rio les façades. Les compositions frontales de la série «Facades» ressemblent aux histoires sur la vie des maisons. Souvent complétés par des effectifs, ils acquièrent une couleur de genre et se transforment en histoires pleines de vie.
L’esthétique urbaine d’Inna Volvak dépasse l’architecture habituelle. Ici, on peut voir le paysage urbain à la fois dans le dédouanement des wagons de marchandises, derrière les portes rouillées de la gare de fret de Moscou - Paveletskaya - et sur les murs recouverts de graffitis des bâtiments industriels à la périphérie de Milan.
Volvak Inna. Objectif. Moscou Commodity-Paveletskaya. 70x100
Volvak Inna. Wagons. Moscou Commodity-Paveletskaya. 100x70
Les histoires de la ville d’Andrei Shatilov ne sont pas banales, parfois absurdes et souvent dramatiques. Des cubicules bleus de toilettes citadines racontant leur dur gardien; un tuyau de chauffage surplombant le magnifique panorama de la ville ressemble au berceau d’un sans-abri; le contenu de la corbeille à papier comme cadeau de Noël pour les travailleurs invités… Et à côté de ces histoires presque dickensiennes, se trouve un kaléidoscope urbain de style appli. Art, dans lequel, au lieu de couleurs - des coupures de magazines et de journaux colorés, la dynamique des lettres et des textes.
Shatilov Andrey. Toilette, triptyque, 150x80, huile sur toile, 2012
Les auteurs ne sont pas pressés de "se précipiter après" de "rater quelque chose"… Et le spectateur, une fois dans l’espace d’exposition, a aujourd’hui une occasion rare d’explorer soigneusement et tranquillement la diversité et la profondeur de ce "théâtre aérien". des temps "- la ville qui est là était.
- "In search of Aurea mediocritas."
- "Rock Interieur". Ausstellung von Inna Volvak
- Exposición "Dialéctica y metafísica de la ciudad" (6+)