L’avènement de la typographie en Russie 
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La victoire du peuple russe à la bataille de Koulikovo sur le développement de la littérature a été grande. Elle a inspiré de nombreux écrivains - Épiphane le Sage, Grégoire le Théologien, Pachomius Serbe, qui a créé une énorme couche de littérature de la vie, ainsi que divers messages.
À la fin du XV-XVI siècles. avec l’achèvement de la formation de la nationalité russe, la langue russe prend également forme. C’était très différent du slave de l’église. Le dialecte Rostov-Suzdal est devenu dominant. Milieu du XVIe siècle marqué par un événement très important: le début de la typographie à Moscou. Ivan le Terrible et le métropolitain Macarius sont les initiateurs de l’imprimerie russe. Ce dernier a commencé à collecter du matériel pour les Grands Fours-Mineas (Grandes Lectures Mensuelles). Il a encouragé la création du code métropolitain annalistique, était l’auteur de nombreuses lettres et lettres. En outre, Macarius était également l’éditeur de plusieurs ouvrages généralisés, alors surnommés les "encyclopédies" du XVIe siècle.
L’impression a commencé en Russie en 1563. Elle a été introduite pour rendre uniforme la littérature de l’église. L’ancien diacre de l’une des églises de Moscou, Ivan Fedorov (Moskvitin), et son assistant, Pyotr Mstislavets, étaient dirigés par l’imprimerie officielle. Parmi les livres publiés par I. Fedorov, on citera «L’apôtre», «Sablier», «L’enseignement de l’Évangile», «Alphabet», «Le psautier et le Nouveau Testament», ainsi que la première Bible complète slave connue sous le nom d’Ostroh. Dans les notes et les postérieurs qui abondaient dans les œuvres imprimées par I. Fedorov, l’influence de Maxim le Grec (Mikhail Trivolis), qui était traducteur, publiciste et écrivain, était retracée. Environ 350 de ses œuvres sont connues.
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Des images pittoresques apparaissent à l’ère de la Russie païenne. Mais la peinture ne culmine qu’avec l’adoption du christianisme. Les types de peintures monumentales proviennent de Byzance en Russie: mosaïques et fresques, ainsi que peintures de chevalets - peintures d’icônes. Byzance a donné et canon iconographique. La mosaïque n’était pas omniprésente. Il y avait peu de smalt et, de plus, les églises étaient principalement en bois et il est impossible de coller une mosaïque sur les surfaces en bois. Ce n’était pas dans les églises et les fresques en bois.