Réalité et fantasmes dans le "Labyrinth of Dreams" de Stanislav Dymov Automatique traduire

L’exposition «Labyrinthes des rêves», qui a débuté ses travaux le 29 octobre à l’Université technique d’État biélorusse de Choukhov dans la ville de Belgorod, poursuit les manifestations consacrées au soixantième anniversaire du peintre Belgorod, membre de l’Union des artistes russes Stanislav Fedorovich Dymov. La nouvelle présentation des œuvres de Dymov s’inscrivait dans la continuité d’une exposition plus volumineuse de l’exposition, qui s’est tenue dans la salle d’exposition de Rodina, dont l’artiste travaille depuis 2010 en tant que directeur.

L’exposition, qui s’est tenue au BSTU, comprenait une vingtaine d’œuvres du peintre, dans lesquelles la réalité est mélangée à un motif fantaisie et à un monde de conte de fées créé par l’imagination de l’artiste. Le travail de Stanislav Dymov n’appartient pas à un certain style de peinture. De même que, dans ses œuvres, réalité et fiction se mêlent harmonieusement, chaque œuvre du peintre associe à la perfection les traits du symbolisme et du réalisme fantastique à une petite fraction du primitivisme.

Même dans les images des vues des vieilles rues de Belgorod, l’objectif principal de l’artiste n’est pas de transmettre les détails exacts, mais de refléter l’ambiance et les pensées qui ont amené le peintre à prêter attention à un lieu spécifique de la ville.. Les paysages sont à la fois réels et fantastiques, pleins de nostalgie et de tristesse face à une vie qui passe vite.

Ces dernières années, Dymov s’est de plus en plus tourné vers des récits tirés de la Bible, des créatures mythologiques apparaissent dans sa peinture, créatures d’un sommeil troublant, un monde où tous les fantasmes sont possibles. Les peintures, écrites par un artiste qui est constamment à la recherche du chemin et de la compréhension de la réalité, forcent le spectateur à partager avec le maître son désir de connaître le monde.

Vous pouvez rejoindre le monde insolite de la peinture «Dymkovo» jusqu’à la fin du mois de novembre.

Ludmila Trautmane