Recherche photo d’Anatoly Taranenko "Bien là où nous ne sommes pas" Automatique traduire

Le 6 novembre, à la galerie municipale de la ville ukrainienne de Kharkov, a été inaugurée une exposition personnelle du jeune photographe Anatoly Taranenko, consacrée au problème psychologique le plus problématique de notre époque: la perception humaine du monde.

L’exposition fait partie du programme culturel "Nouveaux noms" et vous permet de découvrir le travail de nouveaux talents qui n’ont pas encore eu le temps d’acquérir une autorité dans les cercles de l’élite créative.

Jusqu’au 17 novembre, les habitants de Kharkiv ont la possibilité de repenser leur attitude face à la réalité, grâce à une série de photographies remplies d’un esprit languissant et d’une évaluation subjective du spectateur.

L’ensemble du projet est une sorte d’illustration de la manière dont les ténèbres de l’âme se propagent tout autour de nous. En tant que personne, porteuse de négativité, d’irritabilité, de nostalgie, de haine, ces émotions colorent tout ce qui se présente sur son chemin: les gens, les animaux et même la nature. Une personne plongée dans la dépression, même dans un coin de pure beauté divine et vierge, trouvera la saleté, l’imperfection et ne pourra pas absorber le pouvoir guérisseur de la nature!

L’évaluation de la réalité étant faite subjectivement par chacun, la première partie des photographies montre des histoires dans lesquelles nous avons déjà réussi à amener le mal dans nos propres âmes. Et le second, au contraire, montre comment les choses se passent réellement dans la nature lorsque nous n’y sommes pas. Le monde lui-même n’est pas mauvais. Notre évaluation est souvent mauvaise, la perception est déformée. Mais une personne éternellement mécontente ne pourrait pas être heureuse même au paradis. Par conséquent, le moyen le plus efficace de transformer le monde est de changer son point de vue sur le monde. L’exposition de photos d’Anatoly Taranenko en rappelle l’art.

Eve Istr