La magie du dessin et des aquarelles russes de la seconde moitié du XIXe siècle - début du XXe siècle dans la galerie Tretyakov Automatique traduire

À partir du 23 novembre, pendant 3 mois, les Moscovites, qui visitent la galerie Tretiakov, ont eu l’occasion de faire connaissance avec la belle exposition, créée sur la base des fonds du Musée d’art Pouchkine. Pour laquelle cette exposition sera l’un des derniers événements à compléter la célébration de son centenaire.

L’exposition est composée de peintures peu connues, dont beaucoup ont un pouvoir d’influence incroyable. Parmi lesquels, par exemple, il y a l’œuvre la plus puissante et la plus sombre de MA Vroubel - «Demon Downed» et la charmante «Odalisque», peinte par Zinaida Serebryakova.

La collection présentée a vu le jour au début du XXe siècle, lorsque le Musée des beaux-arts a reçu une collection du Musée Rumyantsev dissous, ainsi que de nombreuses collections de marchands et de nobles. Le résultat fut une collection grandiose de feuilles graphiques et d’aquarelles créées à une époque cruciale.

Cette période de l’histoire de la peinture se distingue par une variété particulière de styles, de techniques, de complots, d’idées fondamentales et de principes généraux. Les tendances et les préférences ont changé si rapidement dans l’environnement artistique que l’écart entre le dessin académique et la «créativité du cœur» s’est creusé rapidement. Et il a créé, puis des chimères laides, puis des incarnations divines…

Les maîtres du dessin académique se sont opposés et ont complété les Wanderers, les participants du cercle Abramtsevo ont chanté la spiritualité et l’antiquité russes, des personnalités du Monde des arts ont créé la norme pour la décoration d’illustrations de livres. Les auteurs de la Rose bleue ont développé l’esthétique du symbolisme et du surréalisme. Ils ont cherché à exprimer des catégories insaisissables - émotions, conscience tourmentée, angoisse émotionnelle - ce qui a conduit à l’avenir à la création d’un phénomène aussi extraordinaire que l’avant-garde russe.

Eve Istr