Le Garage Museum présente pour la première fois en Russie le travail de Takashi Murakami, célèbre artiste japonais Automatique traduire

MOSCOU. Depuis le 29 septembre, le Garage, le musée d’art moderne de la capitale, attend les visiteurs de la première exposition de grande envergure, représentant l’art russe de l’artiste Takashi Murakami.

Le travail inhabituel de Takashi Murakami est tellement spectaculaire que le château de Versailles a été aménagé il y a sept ans pour son exposition personnelle à Paris. Une équipe du personnel de musées et d’ateliers de Takashi Murakami a travaillé à la création de l’exposition, ouverte dans le garage sous le nom «Ce sera une pluie douce».

Plus d’une centaine de personnes ont participé à la mise en place d’une exposition dans l’espace d’exposition du garage, ce qui a pris environ deux ans pour préparer l’exposition. Pour une meilleure perception par le public des œuvres de célébrités japonaises, l’exposition a été divisée en cinq sections. Chacun d’eux est dédié à l’un des phénomènes de la culture japonaise, que Muraki a en quelque sorte utilisé dans ses œuvres.

Le parcours de l’exposition commence par une introduction au chapitre "Geijutsu", révélant le lien de l’artiste avec les traditions japonaises. Les œuvres rassemblées dans le chapitre suivant sont consacrées aux événements tragiques de l’histoire japonaise. "Baby" et "Fat Man" - tel était le nom des bombes nucléaires larguées sur les villes japonaises par les Américains.

“Kawaii” - ce chapitre met en évidence le lien entre le travail de Murakami et la culture de masse du Japon. Dans la même section de l’exposition, les visiteurs peuvent voir le film «L’Œil de la méduse», écrit par Murakami.

Le chapitre «Sutadzio» permettra aux visiteurs de visiter l’atelier de l’artiste, qui fait désormais partie du musée. Le reste de l’espace du musée est devenu la cinquième partie de l’exposition, appelée «Asobi et Kazari». Il révèle l’essence du jeu du travail de Takashi Murakami, son amour de la décoration.

La connaissance du travail du maître japonais se poursuivra jusqu’au 4 février.

Ludmila Trautmane © Gallerix.ru