"Pour avoir rappelé l’esprit après avoir erré sur la terre dans ses pieds humains" par Joy Harjo Automatique traduire
Joy Harjo est la première poétesse amérindienne à être nommée poète lauréate des États-Unis. Son poème «For Calling the Spirit Back from Wandering the Earth in Its Human Feet» apparaît dans le recueil «Conflict Resolution for Holy Beings» (Norton & Co., 2015). L’orateur du poème combine humour, langage moderne et concepts mythologiques et archétypaux. Ils conseillent le lecteur sur la manière de rappeler son esprit de l’errance. Comme beaucoup de poèmes de Harjo, l’orateur s’adresse directement au lecteur, s’adressant à un large public sur des sujets universels qui affectent tout le monde. Ils font référence à des concepts spirituels qui font partie de l’héritage de Harjo en tant que membre de la nation Muscogee (Creek), en les combinant avec des images reconnaissables par tous. Le poème conseille aux gens d’abandonner la honte, de prendre la force de la nature,
Poète Biographie Joy Harjo est née le 9 mai 1951 à Tulsa, Oklahoma, où elle a grandi en tant que membre de la nation Muscogee (Creek). Son nom d’origine était Joy Foster. Elle a adopté le nom de famille de sa grand-mère, «Harjo», qui signifie «Tellement courageux qu’il semble fou». Harjo a écrit un mémoire sur ses expériences de croissance intitulé «Crazy Brave» (2012, WW Norton & Co). La mère et le père de Harjo ont divorcé quand elle était jeune. Son beau-père autoritaire et abusif l’a chassée de la maison quand elle avait seize ans. Harjo a fréquenté l’Institut des arts amérindiens du Nouveau-Mexique, où elle a appris à la fois l’art et la discipline. Au départ, Harjo s’est tournée vers la musique et la peinture, et ce n’est que plus tard qu’elle est devenue poète. Harjo a obtenu ses diplômes de l’Université du Nouveau-Mexique et une maîtrise en création littéraire de l’Iowa State University tout en élevant des enfants. Elle est une écrivaine prolifique, une musicienne, une militante et une voix pour les Amérindiens, attirant l’attention sur diverses causes. Elle a écrit neuf livres de poésie, deux livres pour enfants, ses mémoires et a sorti sept albums. Poème Texte Harjo, Joie. «Pour avoir rappelé l’esprit d’errer sur la terre dans ses pieds humains». 2015. « Poètes.org ». Ce poème est une liste de conseils pour le lecteur. L’orateur commence par donner des conseils simples. Ils mentionnent des objets et des activités ordinaires de la vie quotidienne : «Pose ce sac de chips, ce pain blanc, cette bouteille de boisson gazeuse. Éteignez ce téléphone portable, cet ordinateur et cette télécommande» (Lignes 1-2). Le poème passe alors à l’imaginaire, à l’abstrait, et métaphysique. L’orateur propose au lecteur «[d]’ouvrir la porte, puis de la refermer derrière [eux]». Le vent apportera «l’essence des plantes» et nettoiera le lecteur. Le lecteur doit « [d]onner en retour avec gratitude ». Le locuteur signifie que le lecteur doit expirer, revenant souffle de l’univers. L’orateur conseille au lecteur de chanter; leur voix s’élèvera jusqu’aux «oreilles des étoiles» (Lignes 8-9). L’orateur attire l’attention du lecteur sur la terre et sa philosophie à son sujet. Ils croient que «cette terre […] a pris soin de vous» avant la naissance. Il y a des «gardiens» immortels qui ont pris soin de nous depuis la nuit des temps, qui sont assis autour d’un feu «sans temps». L’orateur dit au lecteur de laisser ces gardiens s’occuper d’eux. On dit ça aux lecteurs qui ont des «pieds de mocassin», ce qui implique qu’ils s’adressent à d’autres Amérindiens. La ligne suivante fait référence à la «frousse postcoloniale peu sûre» du lecteur, ce qui suggère également que le public visé par Harjo est amérindien. « Postcolonial » fait référence à la période qui a suivi la conquête de l’Amérique du Nord par les Européens et l’oppression des Amérindiens. L’orateur conseille au lecteur de « demander […] pardon » et « d’être respectueux » envers les créatures auxquelles ils ont pu faire du mal. Ils assurent au lecteur que «[l]e cœur connaît le chemin», même si son voyage peut être armé par des gens qui détestent les autres parce qu’ils se détestent. L’orateur prévient que le voyage risque d’être long, que «votre esprit» risque de «s’enfuir et de quitter votre cœur» pour suivre toutes les distractions dictées par les «voleurs de temps». L’orateur conseille au lecteur de se libérer le regret. Finalement, le lecteur arrivera au feu «entretenu par les gardiens de ton âme» ; ces gardiens accueilleront l’orateur. Le lecteur doit nettoyer «avec du cèdre, de la sauge ou une autre plante médicinale». En plus d’abandonner les regrets, il faut libérer les sentiments d’«échec et de honte». Il faut regarder vers l’avenir, «[a]sk for pardon», et implorer l’aide de ses proches. L’orateur prend soin de préciser que les êtres chers peuvent être plus que de simples humains; ils peuvent aussi être des animaux, des éléments, des oiseaux et des anges. et demander de l’aide à ses proches. L’orateur prend soin de préciser que les êtres chers peuvent être plus que de simples humains ; ils peuvent aussi être des animaux, des éléments, des oiseaux et des anges. et demander de l’aide à ses proches. L’orateur prend soin de préciser que les êtres chers peuvent être plus que de simples humains ; ils peuvent aussi être des animaux, des éléments, des oiseaux et des anges.
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