À Orenbourg, publications des œuvres de Lutsik et Samoryadov Automatique traduire

ORENBURG. La maison d’édition nommée d’après Donkovtsev a publié "Collected Works" des scénaristes Lutsik et Samoryadov.

La liste des nouveautés littéraires de l’année écoulée qui méritent une attention inconditionnelle comprend les œuvres rassemblées de Pyotr Lutsik et Alexei Samoryadov. Leur travail peut être comparé à l’héritage d’autres célèbres duos littéraires: Ilf et Petrov, Pierre Boileau et Tom Narcezhak, Yuri Weinert et Jacob Charon. Leurs scénarios sont un diagnostic précis du 90ème avec leur philosophie rigide et une histoire difficile. L’ère du grand tournant, absurde, impitoyable, a brisé beaucoup de destins; pour beaucoup, elle est devenue une excellente rampe de lancement, a donné des millions à quelqu’un et l’a enlevée à quelqu’un. Samoryadov et Lutsik sont devenus ses porte-parole et le massacre.

Les films selon leurs scénarios - «Gongofer», «Duba-Duba», «Savoy», «Limit», «Les enfants de dieux en fonte" - ont remporté de nombreux prix "Nicks" et "Golden Aries" dans des festivals à Chicago, Karlovy Vary, Minsk et Sochi n’ont pas atteint le niveau de principe littéraire. Selon de nombreux critiques et téléspectateurs, les meilleures incarnations de leurs scripts à l’écran étaient deux peintures - "Outskirts" et "Wild Field". Le premier film, The Protest Western, est le premier film de Peter Lutsik. Il renferme des références à l’image culte de Barnet, des personnages du folklore, un mélange talentueux d’absurdité et de parodie. Il a pris une photo quelques années après la mort absurde et tragique de son ami et associé Alexei Samoryadov. Le digne Wild Field de Mikhail Kalatozoshvili est apparu quelques années après le décès soudain de Peter Lutsik, décédé dans un rêve d’une crise cardiaque à l’âge de 40 ans. Une grande partie de ce qui avait été créé par le tandem créatif restait sur le papier, dans l’attente d’une incarnation. c’était suffisant en termes de talent. Le volume volumétrique peut éventuellement devenir une rareté bibliographique, car l’intérêt des synéphiles est très grand.

Elena Tanakova © Gallerix.ru