"Confession" de Jean-Jacques Rousseau, résumé Automatique traduire
La Confession de Rousseau, publiée pour la première fois en 1782, est une sorte de synthèse de l’autobiographie et du roman. Son sujet est la vie de Rousseau lui-même, une personne spécifique, une personnalité spécifique. L’auteur comprend et clarifie, généralise artistiquement son parcours de vie, son histoire. Il révèle dans ses traits qui sont caractéristiques non seulement pour une personne donnée, mais aussi pour une personne en général. C’est ainsi que l’autobiographie aborde le roman.
Jean-Jacques Rousseau est le représentant le plus brillant de l’aile radicale des Lumières françaises, l’un des fondateurs du sentimentalisme européen. Ses divergences idéologiques avec les personnalités marquantes de l’époque prennent souvent la forme de conflits ouverts.
Voltaire a ridiculisé les idées démocratiques de Rousseau ; Rousseau, à son tour, a implacablement condamné Voltaire pour, comme il le croyait, des concessions aux vues aristocratiques. Rousseau n’acceptait pas le matérialisme des encyclopédistes ; il opposait les sentiments au rationalisme de Voltaire et de Diderot. Alors que la plupart des éclaireurs voyaient la chaire et la tribune dans le théâtre, Rousseau accusait le théâtre de dégradation morale ; à cause de cela, il se querella avec d’Alembert et refusa de participer à "l’Encyclopédie".
"Confession", selon les critiques, n’a pas perdu sa pertinence brillante, contrairement à un certain nombre d’autres œuvres bien connues de Rousseau. La "Confession" de Rousseau est une anticipation toujours vivante et étonnante de la prose analytique. La confession est presque toujours une littérature qui offre au lecteur dans le futur ou dans le présent une intrigue particulière de l’humeur de l’image de la réalité et de l’image d’une personne. La dynamique directe est remplacée par une dynamique rétrospective. Le lecteur traverse la vie d’un personnage, dans laquelle les personnages de l’auteur et du héros du livre sont presque inextricablement liés.
L’image de l’auteur, comme on le sait, ne consiste pas nécessairement en des caractéristiques personnelles d’événements biographiques; dans la fiction, le matériel est le général, historique, mais nécessairement le fait de l’expérience spirituelle personnelle. Sans cette authenticité de l’expérience intérieure, la spiritualité ne peut exister, mais il n’y a qu’une enveloppe verbale morte. Une attitude consciente face aux problèmes de modélisation de la personnalité a commencé avec le romantisme et a été conditionnée par sa compréhension romantique.
Ce livre, bien sûr, est allé au-delà de la biographie. Conçu comme une analyse de l’âme humaine, il a également ouvert la voie au roman socio-psychologique du XIXe siècle. "Confession" raconte les véritables événements spirituels de Rousseau, mais quelque chose peut arriver à son héros qui n’est pas arrivé à Rousseau. De plus, c’est l’auteur âgé, et non le héros, qui analyse ses actions. L’auteur et le héros sont l’image centrale de la "Confession", sur laquelle se concentre la mémoire créatrice de Rousseau, il a lui-même déclaré son image unique - dans les premières et si célèbres lignes de ses mémoires.
Pour Rousseau, une personne est un mécanisme complexe à plusieurs composants qui répond en permanence à divers stimuli externes, s’adapte constamment à son environnement et s’efforce de satisfaire ses besoins et ses désirs. Une personne est simultanément soumise à diverses influences, de purement physiologiques à purement spirituelles, car les idéaux et les valeurs morales sont inhérents à une personne aussi inaliénablement que le désir de manger et de boire. La vie mentale représente donc pour Rousseau une combinaison synchrone de différents niveaux, ce qui donne lieu à tant de paradoxes imaginaires qui l’ont occupé. Cette conception de l’homme a conduit Rousseau à la découverte originale du mécanisme psychique.
Terrain
En 1712, Jean-Jacques naît de ses parents à Genève. Enfant, il a eu du mal : sa mère et son père sont morts respectivement en couches et en prison. Rousseau grandit sous la garde de son oncle Bernard. Malgré le fait que l’oncle Bernard est prêt à être le tuteur du garçon et apprécie la communication avec son fils, Bernard Jr., il ne veut pas tout mettre en œuvre pour subvenir aux besoins de son neveu. Ainsi, adolescent, Rousseau cherche un apprenti pour apprendre un métier, gagner de l’argent pour se nourrir et se loger. Il est laissé à lui-même. Travaillant pour un maître graveur, Rousseau déchante rapidement de ce métier. Il n’a ni la patience ni la passion pour devenir graveur, alors il commence à déconner.
Heureusement pour Rousseau, son ami Pontwerre le couvre et l’installe avec une riche aristocrate âgée nommée Madame de Warens. Elle tombe amoureuse de Rousseau et flirte constamment avec lui. Elle lui offre une bourse et vit avec elle s’il ne lui donne que ce qu’elle veut. Rousseau, cependant, n’est pas convaincu qu’il doive recourir à un tel traité pour subvenir à ses besoins. Il s’enfuit à Turin, où il réussit une arnaque avec la communauté catholique locale. Bien qu’il ne soit pas catholique, il laisse les dirigeants de la communauté lui faire traverser le difficile processus de "conversion" afin d’être accepté par tous. Ils le traitent comme le leur, prenant soin de lui pour qu’il puisse secrètement s’amuser et s’amuser pendant son temps libre. En fait, Rousseau ne se convertit pas au catholicisme, mais fait seulement semblant de l’avoir.
A Turin, Rousseau se fait embaucher par la comtesse de Vercellis. Il lui traduit des lettres en français. Ils ont un accord légal, mais il est de courte durée, car la vieille comtesse meurt bientôt. Désespéré à nouveau, Rousseau retourne chez Madame de Warens, reconsidérant sa proposition. Une relation amoureuse se noue entre eux. Au bout d’un certain temps, Rousseau apprend que Madame de Warens a déjà un autre prétendant nommé Claude Anet (c’était un type gentil et peu de temps après, il meurt tragiquement). Voulant garder ses liens doux, Rousseau accepte d’avoir des relations sexuelles avec Madame de Warens afin de la séduire. Madame de Warens confie à Rousseau le soin de ses finances, et ce travail demande beaucoup d’attention et de déplacements. Au retour d’un voyage particulièrement long, Rousseau découvre que Mademoiselle l’a remplacé par un autre jeune homme.
A cette époque, Rousseau a acquis quelques compétences et s’est fait un modeste nom, il prend donc un emploi chez le comte à Venise. Il apprend bientôt que cet homme est instable. Le comte l’accuse de diverses choses, jusqu’au vol. Frustré, Rousseau s’installe en France. Presque immédiatement, il épouse une belle fille nommée Teresa. Il est follement attiré par elle, mais c’est un caprice. Après l’avoir épousée, il ne change rien à ses habitudes personnelles et continue de se lancer dans de nombreux romans. C’est à cette époque qu’il se tourne vers l’art. Il écrit un opéra intitulé Le Devin du village, si bien accueilli que le roi de France lui-même souhaite rencontrer le dramaturge. Ne voulant pas s’associer à nouveau avec des aristocrates gâtés, Rousseau décline la demande et part impulsivement en vacances à l’étranger.
De retour en France, Rousseau commence à vivre avec une riche vieille femme nommée Madame d’Epinay. À ce stade, son mariage est presque terminé, mais il doit maintenir sa réputation en faisant semblant de tenir ses vœux matrimoniaux. Alors qu’il commence à courtiser Madame d’Udeteau, Rousseau dénonce publiquement son bienfaiteur d’Epinay. Elle découvre l’affaire et s’indigne, car les deux sont déjà mariés. Après avoir appris la vérité sur les affaires de Rousseau, presque tous ses amis quittent la maison. Il est contraint de quitter la maison de Madame d’Epinay et de reprendre son chemin.
Rousseau, voulant continuer à travailler comme artiste, est engagé par de nouveaux mécènes - le Luxembourg. Il n’a pas encore appris à contrôler ses impulsions, alors il a de nouveau des ennuis. Les Luxembourgeois ne sont pas du genre à plaisanter, et Rousseau s’en rend vite compte. Il publie plusieurs livres les diffamant.
"Emilia" est le deuxième livre, qui attire beaucoup plus l’attention que le premier. Rousseau reçoit une citation à comparaître dans une affaire de blasphème, mais il s’enfuit dans son pays natal, la Suisse. À cette époque, on écrit tellement sur lui dans la presse que même en Suisse, les gens le reconnaissent et le détestent. Des citoyens en colère l’attaquent dans sa maison. Rousseau tente de s’échapper vers une île au nord du pays, mais le gouverneur lui-même informe Rousseau qu’il est expulsé de Suisse. Ayant fui en Angleterre, Rousseau décide finalement d’y établir une résidence permanente. Il se fait plusieurs amis, à qui il lit sa "Confession" - ce livre - auquel il est accueilli avec un léger plaisir. Personne ne croit ses exploits sauvages.
Liste des personnages
Jean-Jacques Rousseau
Le protagoniste et narrateur, Russo est un gars ingénieux et impulsif. Il a grandi orphelin et apprend à prendre soin de lui dès son plus jeune âge. À l’âge adulte, il a constamment des ennuis dans la société en raison de son incapacité à contrôler ses pulsions sexuelles. Il négocie avec plusieurs riches vieilles femmes aristocratiques pour devenir leur garçon-jouet en échange de provisions.
Chaque fois qu’il a des ennuis, sa solution est de s’enfuir. Il ne sait pas prendre ses responsabilités ni résoudre ses problèmes. D’autre part, il devient un écrivain hors pair et un artiste à succès. Ses nombreuses aventures ont fait de lui une personne terriblement intéressante, et il ne manque jamais d’amis.
Oncle Bernard
Il élève Russo après que le père du garçon ait été contraint de se cacher de la loi. Bernard ne tolère pas les désagréments pour subvenir aux besoins de Rousseau, il complique donc la vie de l’enfant. Cependant, il permet à son fils Bernard de développer une forte amitié avec son cousin.
pontwerre
Alors que Rousseau travaille comme apprenti, il est ami avec Pontwerre. C’est un méchant qui complote le mal. Bien qu’il obtienne un nouvel emploi pour Russo, mais avec une vieille femme riche comme sa "mère de sucre".
Mme de Warens
Un aristocrate riche et âgé qui aime les jeunes hommes. A la première rencontre, elle tombe amoureuse de Rousseau. C’est une vieille femme sauvage et sale qui rend ses intentions évidentes. Après le séjour de Rousseau à Turin, elle le reprend. À ce stade, elle s’est trouvé un nouveau petit ami, mais l’utilise pour rendre Rousseau jaloux. Après avoir obtenu ce qu’elle veut de lui, elle le récompense avec le poste de chef de toutes ses énormes finances, qu’il remplit docilement jusqu’au jour où, revenant d’un voyage, il découvre qu’il a été remplacé par un homme encore plus jeune.
Claude Anet
C’est un charmant et beau jeune homme qui devient l’amant de Madame de Warens lors de la première absence de Rousseau. Bien qu’il n’aime pas sa position dans la société, Ané se soucie sincèrement de Mademoiselle. Il meurt tragiquement juste au moment où Rousseau communique à nouveau avec la vieille dame.
Graphique
Cet homme engage Rousseau à Venise pour s’occuper de son domaine. Malheureusement, il a un tempérament terrible et n’aime pas Russo depuis le début, alors il lui crée toutes sortes de problèmes. Il accuse finalement Rousseau de vol et le chasse de la maison.
Il y a un
Rousseau tombe amoureux d’elle au premier regard et l’épouse. Cependant, ne voulant pas s’engager pleinement envers elle, il continue d’avoir de nombreuses liaisons tout au long de leur mariage. En deuxième année, Thérèse vit seule dans la maison de Rousseau, et il vit avec sa nouvelle bienfaitrice, Madame d’Epinay.
Madame d’Epinay
Elle possède un domaine coûteux appelé l’Ermitage. Après avoir vu une pièce à succès de Rousseau, elle l’invite à vivre avec elle. Rousseau, habitué à de telles conditions, accepte. Elle profite de son état mental instable à la lumière de son mariage raté. C’est Madame d’Epinay qui met Rousseau dans l’embarras en bavardant sur sa liaison avec Madame d’Oudeteau.
Madame d’Udeto
Bien qu’elle soit fiancée à Saint-Lambert, elle entame une liaison avec Rousseau. Elle est fascinée par ses paroles passionnées et le danger de l’affaire.
Luxembourg
Le couple engage Rousseau pour créer de l’art pour eux. Cependant, il ne les aime pas et il les ridiculise avec ses livres. Après que des rumeurs se sont répandues sur le contenu honteux des livres, les Luxembourgeois s’emportent et organisent un procès de Rousseau pour blasphème.
Les sujets
manque de scrupules
Que ce soit à cause de sa jeunesse ou de son manque de responsabilités, Russo s’avère être un type assez impulsif. Il suit chacune de ses impulsions, mais ne veut pas accepter les conséquences de ses actes. Dès le début du livre, le lecteur est sensibilisé à la nature volage de Rousseau qui abandonne son apprentissage, entreprise difficile et quelque peu illégale. Il ne peut pas rassembler la patience qu’il faut pour être un graveur à succès, alors Russo fait ses valises et s’en va. Il accepte assez calmement la charité des autres, les trompe même, comme il le fait avec les catholiques de Turin.
Lorsque Rousseau a des ennuis à cause d’un mauvais contrôle de ses impulsions, il préfère fuir. Par exemple, il a une liaison avec Madame d’Epinay alors qu’elle et lui sont mariés à d’autres personnes. Après la disgrâce publique pour cette connexion, Rousseau fait ses valises et déménage dans un autre pays, se réincarnant à nouveau, espérant que sa réputation ne l’a pas devancé. Ce manque de respect apparent pour la cause et l’effet le conduit à brûler la plupart de ses connaissances et même des pays entiers où il n’est plus le bienvenu.
Réputation
Encore une fois, Rousseau attache une grande importance à la réputation. L’époque sociale à laquelle il appartient est une époque de classes sociales distinctes et rigides. Peut-être qu’après avoir grandi en tant qu’orphelin, Rousseau sent qu’il doit prouver sa valeur à la société. Il n’a pas l’impression qu’il devrait être considéré comme une sous-classe, mais ses erreurs constantes l’empêchent d’en convaincre qui que ce soit. Il se voit offrir opportunité après opportunité d’obtenir un travail décent et de gagner le respect de ses pairs et de ses aînés, mais il est incapable de résister à l’envie de se comporter mal.
A la fin, Rousseau se rend compte qu’il ne réussira pas sur la voie actuelle. Ne voulant pas contrôler ses pulsions, il décide de s’exprimer d’une manière différente - à travers l’art. Il devient un artiste extraordinairement réussi, s’attendant à ce que les gens le traitent différemment en conséquence. Cependant, il ne traite pas très bien ses clients et ses fans, et bientôt ils le quittent un par un.
Désespéré de satisfaction, Rousseau écrit ce livre pour prouver à sa nouvelle vie sociale en Angleterre qu’il mérite le respect après une vie aussi mouvementée et pleine de ressources.
Manque d’influence maternelle
La mère de Rousseau meurt pendant sa naissance. Élevé sans mère et avec une figure paternelle absente, il est dépourvu de l’influence féminine dont il avait tant besoin dans son enfance. À l’âge adulte, cela se traduit par une promiscuité sexuelle prononcée et exigeante. Rousseau entre dans des dizaines de romans avec des femmes variées, mais à chaque fois il cherche une sorte de confirmation. Il veut que ces femmes soient sa mère, prennent soin de lui et le soutiennent. En cas d’échec, les femmes sont écartées et humiliées par Rousseau.
Ce n’est pas une personne gentille, ce qui est encore une fois probablement dû à un manque d’influence maternelle précoce. Cela devient douloureusement évident lorsque Russo commence à sortir avec des femmes plus âgées. Il a trois affaires distinctes avec des femmes plus âgées qui l’invitent chez elles pendant de longues périodes. Bien que ces relations soient faciles à entretenir pour lui, Rousseau ne s’en soucie manifestement pas. Il quitte chaque fois qu’un autre poste lui semble plus attrayant ou plus facile. Il espérait que ces dames plus âgées le traiteraient comme un fils, mais elles voulaient du sexe et se sentir à nouveau jeunes et désirables.
Évasion
Dans ce texte, Rousseau est presque troublé par l’absence totale de responsabilité personnelle. Bien que Rousseau ait écrit ce livre lui-même, il ne se montre pas très bien. Il ne semble pas se rendre compte que ses actions démontrent un déni complet de responsabilité pour ses échecs. Pour un gars comme Russo, désireux de découvrir tout ce que la vie a à offrir, il ne gère pas les conséquences de ses actes avec grâce. Chaque fois qu’il fait une erreur - comme tromper sa femme - il s’enfuit, déménage dans une autre ville ou même un pays.
Au lieu de s’enraciner et de régler ses problèmes, Rousseau mène une vie transitoire et temporaire. Cependant, il ne peut pas échapper à ses problèmes pour toujours. Au moment où il retourne dans sa ville natale en Suisse, il est recherché par les autorités et le public le reconnaît comme un tricheur et un menteur.
L’autobiographie de Jean-Jacques Rousseau, sous son propre titre, Confessions (Confessions), est publiée quatre ans après sa mort. La légitimité des informations contenues dans le livre n’est pas vérifiable, bien qu’elle soit généralement acceptée comme vraie.
Élevé sans parents, Russo apprend à être ingénieux. Il aborde la vie de manière non conventionnelle. Après avoir échoué à son apprentissage, il se retrouve avec une vieille femme riche qui en fait son jouet de garçon, ce à quoi il revient à plusieurs reprises. Il bouge constamment, fuyant ses problèmes.
En France, il publie un opéra qui rencontre un tel succès que le roi lui-même demande à le voir, mais Rousseau s’enfuit à nouveau. Il ne veut pas être le centre d’attention sachant combien de squelettes il cache dans son placard. Après un mariage terriblement infructueux et hâtif avec une Française nommée Teresa, Rousseau continue de poursuivre son art. Il travaille principalement pour des clients, jusqu’à ce qu’ils soient tous frustrés par son tempérament colérique. Avec les derniers mécènes, un couple marié, Rousseau écrit deux livres dans lesquels il leur fait soigneusement honte.
Fuyant son procès, il se rend dans sa ville natale en Suisse, mais cette fois il ne peut échapper à ses ennuis car sa réputation le précède. Du coup, Rousseau se réfugie en Angleterre, où il achève la rédaction de ce manuscrit.
Bien que les Confessions n’aient jamais été publiées de son vivant, elles étaient importantes pour lui. On sait qu’il a interprété des fragments de ce document lors d’événements publics. Il semble avoir été constamment préoccupé par la réputation, voulant être respecté pour qui il est. Malheureusement pour Rousseau, ses choix de vie n’étaient tout simplement pas socialement acceptables à l’époque.
Plutôt que d’abandonner tout espoir de succès, Rousseau décide de continuer à progresser par l’art. Parce que son opéra a reçu une si large réponse, il se sent motivé pour poursuivre une créativité plus audacieuse, mais il apprend vite que les gens respectent plus un artiste pour son histoire que pour son travail.
Une fois de plus, Rousseau échoue à éviter les erreurs de son passé. Néanmoins, il écrit cette autobiographie fascinante. Enfin, il peut parler de ce qu’il a fait et pourquoi. Il essaie de se racheter de la société en publiant une histoire favorable, espérant devenir une sensation. Inutile de dire que ses diverses aventures sont divertissantes, même si le personnage de Rousseau s’avère décevant.
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