"Hélène" d’Euripide Automatique traduire
«Hélène» est une pièce d’Euripide (480-406 avant notre ère), réalisée dans le cadre de son entrée théâtrale au festival de Dionysie en 412 avant notre ère. C’est l’une des au moins 90 pièces qu’Euripide a écrites de son vivant, dont près de 20 survivent intactes (il reste également des fragments de la plupart des autres). «Helen», qui se concentre sur la célèbre figure mythologique grecque Hélène de Troie des années après les événements de la guerre de Troie, est l’une de ses dernières pièces, et il était déjà un dramaturge bien établi lors de sa présentation. Ce guide fait référence à l’édition 1992 d’Oxford University Press de sa série «Greek Tragedy in New Translations», traduite par James Michie et Colin Leach.
Pour les besoins de la discussion, cette pièce a été divisée en quatre parties, mais ces divisions ne sont précisées dans le texte que par les arrivées et les sorties des personnages principaux. Les pièces d’Euripide ne comportaient pas de divisions en scènes ou en actes. Les numéros de ligne inclus dans ce guide font référence à la traduction anglaise telle que fournie dans l’édition d’Oxford, mais d’autres éditions peuvent utiliser leur propre système de numérotation ou faire référence aux numéros de ligne dans l’original grec. L’orthographe des noms propres suit également l’édition d’Oxford, qui a choisi de rendre de nombreux noms plus fidèlement aux originaux grecs que les versions latinisées que l’on pourrait trouver dans d’autres sources. Cette édition choisit également de mettre en majuscule certaines références au divin («Dieu») et pas d’autres («dieu»), selon qu’il s’agit d’un seul, puissance providentielle globale ou un dieu spécifique est en vue. La pièce s’ouvre sur Hélène en Égypte, sept ans après la fin de la guerre de Troie. Helen a vécu en Égypte pendant toute la durée de cette guerre, et non, comme ses contemporains le supposaient, à Troie même. Il s’avère que la vraie Helen n’a jamais été à Troie. Au contraire, la déesse Héra, tentant de saper les projets d’Aphrodite, avait substitué une Hélène fantôme à la vraie, et Hermès avait emmené la véritable Hélène dans le royaume du roi Protée en Égypte. L’Hélène qui était partie avec Paris à Troie n’était rien de plus qu’un imposteur, bien qu’un imposteur très convaincant. Ainsi, Hélène elle-même n’était jamais partie avec Paris, n’avait jamais été infidèle à Ménélas et ne méritait pas la honte et le reproche de ses compatriotes grecs pour le carnage qui s’ensuivit à Troie. La vraie Hélène, qui a pris connaissance de ces événements, est néanmoins impuissante à les changer et reste incertaine du sort de son mari. La détresse de cette incertitude est amplifiée par le fait que le fils du défunt roi Protée, Theoklymenos, est maintenant monté sur le trône d’Égypte et se prépare à forcer Hélène à l’épouser. Alors qu’Helen se tient devant le palais royal d’Égypte, un réfugié de la guerre de Troie s’approche. Il s’identifie comme Teucer et il décrit la dévastation causée par la guerre, la chute des membres de la famille d’Helen en Grèce et la présomption que son mari, Menelaos, a été perdu en mer. Helen pleure ces révélations dans une série de discussions avec le Chœur (composé de femmes grecques captives), qui lui conseillent de poser ses questions sur le sort de Ménélas à Theonöe, la sœur du roi Theoklymenos, qui fonctionne comme une prophétesse royale avec des pouvoirs de perception omniscients. Alors qu’Hélène est partie consulter Theonöe, Menelaos apparaît devant les portes du palais. Son navire a été détruit dans une tempête, et les seuls survivants sont lui-même, quelques-uns de ses hommes et le fantôme Helen qu’il a ramené de Troie. Il a laissé le fantôme Helen et les autres se réfugier dans une grotte le long de la côte pendant qu’il s’approche du palais pour demander de l’aide. Il est repoussé aux portes par la portière, une vieille femme, qui laisse échapper suffisamment d’informations sur la véritable Hélène pour laisser Ménélas perplexe. À ce stade, Helen et le chœur réapparaissent du palais pour y trouver Ménélas, où le mari et la femme longtemps séparés se reverront. Menelaos ne sait pas s’il faut croire l’histoire d’Helen selon laquelle la femme qu’il a amenée de Troie n’était qu’une copie fantôme, mais l’un de ses propres serviteurs arrive de la grotte pour rapporter que la femme de Ménélas s’était soudainement et étrangement évanouie sous leurs yeux. Ce rapport confirme l’histoire d’Helen et persuade Menelaos, et l’heureux couple est réuni. Helen et Menelaos sont toujours confrontés à un grave problème : le roi Theoklymenos a l’intention d’épouser Helen et tuera quiconque se mettra en travers de son chemin. Helen se rend compte que Theonöe, étant omniscient, doit déjà savoir que Menelaos est là, alors ils la supplient de ne pas révéler sa présence à Theoklymenos. Ensuite, Helen conçoit un plan pour inciter Theoklymenos à les laisser s’échapper. Lorsque le roi revient de sa chasse, elle le salue sous l’aspect traditionnel d’une veuve éplorée. Elle explique qu’elle vient d’apprendre que son mari, Ménélas, a péri en mer, et demande à être autorisé à accomplir les rites funéraires appropriés. Theoklymenos accepte, estimant que cette tournure des événements la rendra enfin agréable à son projet de mariage. Helen profite de son ignorance et de sa crédulité en inventant un rituel élaboré à bord et en le convainquant que c’est ainsi que les Grecs doivent honorer la mort d’une personne perdue en mer. Ménélas lui-même, dans cette ruse, joue le rôle d’un marin grec naufragé qui connaît les rites appropriés et a accepté de les surveiller. Ainsi, Helen incite Theoklymenos à la placer, elle et Menelaos, sur un navire entièrement équipé de tout ce dont ils ont besoin pour s’échapper et rentrer en Grèce. La pièce se termine avec l’un des marins de Theoklymenos, s’étant échappé de la capture du navire par Helen et Menelaos, retournant voir le roi dupé pour expliquer ce qui vient de se passer. Dans une rage, le roi part tuer sa sœur Theonöe, dont il se rend compte qu’elle devait être au courant de la présence de Menelaos, mais le chef du chœur tente de l’en dissuader. Enfin, les demi-dieux grecs Kastor et Polydeukes apparaissent à Theoklymenos dans une apparition céleste et lui ordonnent de renoncer, tout en donnant leur bénédiction à Helen pour son voyage de retour.
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