"Ode au vent d’ouest" de Percy Bysshe Shelley Automatique traduire
«Ode to the West Wind» est une ode écrite en 1819 par le poète romantique britannique Percy Bysshe Shelley près de Florence, en Italie. Il a été publié pour la première fois un an plus tard en 1820, dans la collection «Prometheus Unbound». Le poème est divisé en cinq sections, chacune abordant le vent d’ouest d’une manière différente. Les trois premières sections décrivent le pouvoir du vent d’amener l’automne sur la terre, le ciel et la mer respectivement. La quatrième section déplore que le poète, depuis son enfance, ait été «enchaîné et «courbé» et ait perdu la liberté qu’il partageait autrefois avec le vent. La cinquième et dernière section invoque le Vent comme une force d’inspiration qui peut insuffler la vie aux paroles du poète et les diffuser à travers le monde. Les dernières lignes du poème prévoient le printemps qui suit l’hiver. Chacune des cinq parties du poème contient cinq strophes : quatre strophes de trois vers et un distique. Ces strophes suivent le schéma de rimes connu sous le nom de «terza rima» (rendu célèbre par son utilisation dans la «Divine Comédie» de Dante). Dans chaque strophe «terza rima», les premier et troisième vers riment, tandis que le deuxième ne rime pas. Le son final de la deuxième ligne devient la rime pour les première et troisième lignes de la strophe suivante. Le couplet final rime avec le deuxième vers de la strophe précédente. Le schéma général de chaque partie du poème est donc : ABA BCB CDC DED EE. «Ode to the West Wind» est écrit en pentamètre iambique. Le poème s’ouvre en évoquant son sujet : «O Wild West Wind». Les deux premières strophes se concentrent sur le rôle du vent en tant que porteur de mort dans le monde naturel, faisant tomber les feuilles comme des « multitudes frappées par la peste » et soufflant des graines sur la terre, où elles reposent « chacun comme un cadavre dans sa tombe ». À la fin de la troisième strophe, le poète note que la «sœur azur du printemps» du vent (le vent d’est) finira par faire fleurir ces graines et que de nouveaux bourgeons reviendront aux arbres. La section conclut en observant que le vent d’Ouest est « destructeur et conservateur » : destructeur parce qu’il apporte l’hiver et la mort, et conservateur parce qu’il plante des graines et crée les conditions pour que le printemps les fasse fructifier. La section II regarde vers le ciel, élargissant notre sens de la puissance du vent.
Les «nuages lâches», eux aussi, «se détachent» par la force du vent, aussi facilement que les feuilles. Le poète envisage le temps féroce et orageux qu’apportera le vent d’ouest. Il dit que le paysage nuageux actuel n’est qu’un léger avant-goût du temps à venir, comme les cheveux volants d’une danseuse possédée (une «Ménade», une figure de la mythologie grecque qui adorait les dieux en entrant dans une frénésie extatique). Dans les deux dernières strophes de la section, le poète nous rappelle à nouveau que le vent est une force mortelle. Son son est un «dirge» (un chant funèbre) et en enveloppant la nuit de nuages sombres, il transformera le ciel en «le dôme d’un vaste sépulcre» (tombe). La troisième section du poème passe du ciel à la mer. D’abord, le poète célèbre le pouvoir du vent de «réveiller» la mer Méditerranée. Il décrit une scène de ruines antiques sur la côte méditerranéenne : «vieux palais et tours/frissonnant dans la journée plus intense de la vague» avant d’élargir à nouveau notre sens de la puissance du vent en déplaçant l’attention de la mer Méditerranée vers l’océan Atlantique. Le vent peut «fendre» l’océan aussi facilement que la mer. L’imagerie des feuillages volants qui commençait le poème revient, mais transformée, comme le poète décrit les «feuillages sans sève» du paysage sous-marin, les «fleurs marines et les bois gluants», perturbés par le vent aussi sûrement que les arbres terrestres..Au début de la section IV, le poète déplore que s’il était l’une des choses qu’il a décrites jusqu’à présent - une feuille, un nuage d’orage ou une vague - il ne ressentirait pas le besoin d’aborder le vent en vers, car il est faire, parce qu’en tant qu’élément naturel du paysage, il « partagerait/L’impulsion de ta force ». Il ajoute que même dans sa propre enfance, il ressemblait plus au Vent qu’il ne l’est maintenant, le «compagnon de tes pérégrinations». Le poète prie le Vent, «soulève-moi comme une vague, une feuille, un nuage!» Adulte, se plaint-il, il est trop accablé par la vie, par le «poids lourd des heures», pour partager naturellement la liberté et la puissance du Vent. Cette ligne peut faire référence à la mort du fils du poète, William, plus tôt dans l’année où le poème a été écrit. La dernière section propose une prière différente au vent.
Maintenant, le poète demande au Vent de « Fais-moi ta lyre ». Il s’imagine comme un instrument de musique, produisant, à l’instar des feuilles, «un son profond et automnal» au gré du vent qui le traverse. Il demande au Vent de laisser son esprit fusionner avec le plus puissant du Vent : «Sois moi, impétueux!» Enfin, le poète imagine le Vent comme un esprit insufflant puissance à sa poésie, propulsant «mes pensées mortes sur l’univers». Il prie pour que son poème «Ode au vent d’ouest», imprégné de ce pouvoir, accélère comme le vent lui-même la destruction de l’ancien monde et le début d’un nouveau : «Si l’hiver arrive, le printemps peut-il être loin derrière?» Les commentateurs ont vu dans «Ode au vent d’ouest» un plaidoyer pour la transformation du poète et du monde, et leur restauration à leur vraie nature perdue. L’un des poèmes les plus célèbres de Shelley,
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