"L’histoire d’une heure" de Kate Chopin
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Le magazine «Vogue» a publié pour la première fois «L’histoire d’une heure» de l’auteure américaine Kate Chopin en 1894. Il a été publié sous le titre alternatif «Le rêve d’une heure». Certains lecteurs contemporains considèrent l’histoire comme un exemple précoce de fiction flash, un terme utilisé pour les récits en prose très courts. L’histoire illustre la fiction psychologique, dans laquelle l’action de l’intrigue concerne les émotions et les pensées du protagoniste. L’une des œuvres les plus connues et les plus populaires de Chopin, «L’histoire d’une heure» a été adaptée pour le film de 1984 «La joie qui tue». «L’histoire d’une heure» est largement disponible en ligne, car elle est maintenant dans le domaine public. Ce guide fait référence à la version de l’histoire trouvée sur KateChopin.org, un site Web supervisé par la Société internationale Kate Chopin d’érudits et d’éducateurs.
Au milieu des années 1890, dans une ville non divulguée, la sœur de Mme Louise Mallard, Joséphine, raconte prudemment à Louise la mort inattendue de son mari Brently Mallard. Bien que jeune, Louise a des «problèmes cardiaques», et Joséphine ne veut pas que la mauvaise nouvelle nuise à la santé de sa sœur. L’ami de Brently, Richards, travaille au journal local, où un télégraphe faisant état d’une «catastrophe ferroviaire» a été reçu pour la première fois, répertoriant Brently comme victime. Richards confirme la nouvelle de la mort de Brently «par un deuxième télégramme» (paragraphe 2), avant de se précipiter pour annoncer la mauvaise nouvelle à Louise afin qu’elle puisse l’apprendre d’une source amie. Louise ne réagit pas avec l’«incapacité stoïque à accepter sa signification» que le narrateur suggère comme attendue (paragraphe 3) mais éclate immédiatement en sanglots. Louise monte dans sa chambre et insiste pour être seule. Dans sa chambre, Louise est assise devant une fenêtre ouverte, «pressée par un épuisement physique qui […] semblait pénétrer dans son âme» (paragraphe 4). Par la fenêtre, Louise voit les arbres printaniers bourgeonnants et sent la pluie récente. Elle entend un marchand ambulant, des moineaux gazouiller et quelqu’un chanter au loin. Elle remarque le ciel bleu furtivement à travers les nuages de pluie qui se dispersent et s’assoit tranquillement, sanglotant de temps en temps. Alors que Louise observe la scène à travers la fenêtre, elle sent la réalisation de quelque chose «de trop subtil et insaisissable pour être nommé» (paragraphe 9). Sa respiration et son pouls s’accélèrent et Louise résiste à la pensée qui se forme dans son esprit. Elle cède au sentiment et chuchote à plusieurs reprises «libre, libre, libre!» (Paragraphe 11). La peur et le chagrin de Louise se transforment en joie et son cœur bat plus vite. Elle considère qu’elle se sentira de nouveau triste, quand elle voit le corps de son mari, mais pour le moment, Louise est préoccupée par des pensées d’un avenir indépendant et célibataire. Louise se complaît à l’idée qu’elle va désormais «vivre pour elle-même» (paragraphe 14), et pense que même l’amour entre elle et son mari importe moins que «cette possession d’affirmation de soi» (paragraphe 15). De l’autre côté de la porte verrouillée, Joséphine supplie Louise de la laisser entrer dans la pièce. Louise refuse et continue sa rêverie, imaginant une vie longue et libérée de veuve. Finalement, Louise ouvre la porte à Joséphine et descend «comme une déesse de la Victoire» (paragraphe 20). Richards les attend au bas des escaliers. Soudain, Brently entre par la porte d’entrée avec sa valise de voyage et son parapluie ; il était loin de l’accident de train. Brently est choqué par le cri de Joséphine, et Richards essaie mais échoue à cacher Brently à la vue de Louise. Plus tard, les médecins rapportent que Louise «est morte d’une maladie cardiaque – d’une joie qui tue» (paragraphe 23).
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