"Allégorie de la caverne" de Platon Automatique traduire
La «République» de Platon prend la forme d’une série de dialogues entre le narrateur à la première personne (Socrate, le professeur de Platon) et diverses personnalités de la vie réelle. «L’Allégorie de la Caverne», peut-être la section la plus connue de «La République», se déroule comme une conversation entre Socrate et le frère de Platon, Glaucon. Dans cette section, Socrate tente d’illustrer un point sur la façon dont on peut acquérir la connaissance et la sagesse et «percevoir […] la forme essentielle de la bonté» (paragraphe 31, ligne 10), via une parabole.
Il demande à Glaucon d’imaginer un ensemble de prisonniers piégés dans une grotte depuis leur naissance, plongés dans l’obscurité totale et enchaînés de sorte qu’ils ne puissent ni bouger leur corps ni même leur tête pour regarder ailleurs que le mur devant eux, de sorte que ce mur est la seule chose qu’ils connaissent de la vie. Ensuite, il demande à Glaucon d’imaginer un feu allumé derrière eux, avec une sorte de scène de marionnettes devant le feu, afin que d’autres personnes puissent projeter des figures d’ombre sur le mur devant les prisonniers, recréant les formes des personnes et des animaux et objets de l’extérieur de la grotte-prison sous forme d’ombre. Rhétoriquement, il demande si les prisonniers ne prendraient pas alors ces ombres comme les seuls vrais objets qui existent, puisqu’ils ne pourraient pas comprendre qu’elles n’étaient que de simples ombres d’objets. Les ombres seraient la seule chose qu’ils savaient, et ainsi seraient plus réels que les vrais objets, qu’ils n’avaient jamais vus. Glaucon convient qu’ils doivent penser de cette façon. Socrate demande alors ce qui se passerait si l’un de ces prisonniers était libéré et obligé de se tourner, enfin, vers la lumière. Il serait nécessairement «trop ébloui pour distinguer les objets dont il avait l’habitude de voir les ombres» (paragraphe 15, ligne 5), et croirait que les ombres qu’il a vues toute sa vie sont plus réelles que les objets et les figures eux-mêmes.. Il trouverait également la vue du feu lui-même douloureuse et se détournerait instinctivement, retournant vers l’obscurité familière. Socrate pousse alors cette liberté un peu plus loin, amenant hypothétiquement le prisonnier à l’extérieur de la grotte en plein jour, ce qui serait encore plus déroutant. Au lieu de cela, suggère-t-il, il serait préférable d’habituer le prisonnier lentement, par degrés, regarder d’abord «les ombres, puis les images des hommes et des choses qui se reflètent dans l’eau, et plus tard les choses elles-mêmes» (paragraphe 21, ligne 3). Enfin, il pourrait regarder le soleil et arriver aux conclusions que le soleil est la principale source de lumière dans le monde et affecte les saisons, et d’autres extrapolations scientifiques. Socrate conclut la parabole en imaginant le prisonnier rentrant dans la grotte : s’il le faisait, «ses yeux seraient remplis de ténèbres» (paragraphe 29, ligne 3), et les autres prisonniers ne le croiraient pas, le croiraient aveugle, et essaierait même de le tuer s’il essayait de les libérer. Le reste de «L’Allégorie de la Caverne» consiste en l’explication par Socrate de la parabole précédente, alors qu’il était encore en conversation avec Glaucon. L’obscurité de la grotte est comme des stimuli visuels, le feu comme le soleil, et le monde extérieur dans l’allégorie correspond à «l’ascension de l’âme dans la région de l’intelligible» (paragraphe 31, ligne 5). Voilà donc le «monde de la connaissance», et à l’intérieur de ce monde, «la dernière chose à apercevoir et à grand-peine, c’est la Forme essentielle du Bien», qui correspond à la sagesse nécessaire pour gouverner (paragraphe 31, ligne 9). Il poursuit en disant que l’individu éclairé aura alors horreur de l’ignorance et sera incapable d’expliquer la justice qu’il a vue par sa sagesse à ceux qui n’ont jamais vu la vraie justice, mais seulement son ombre. Il explique ensuite que tout comme tous les prisonniers ont des yeux qui peuvent voir la lumière du monde extérieur, tout le monde a la capacité d’acquérir de la sagesse ; il s’agit simplement d’orienter son regard dans la bonne direction, et d’y venir progressivement, par degrés. Socrate se tourne ensuite vers la question des gouvernants, disant qu’un bon gouvernant ne peut ni ignorer la «forme de la bonté», ni rester uniquement dans l’état éclairé, séparé du reste de l’humanité non éclairée, mais a au contraire un responsabilité de partager ces connaissances et de tenter d’éclairer leurs concitoyens, car «la loi ne se préoccupe pas de rendre une classe particulière heureuse, mais d’assurer le bien-être de l’ensemble de la communauté» (paragraphe 47, ligne 1). Socrate termine la parabole avec l’idée que les bons gouvernants doivent non seulement être sages mais aussi trouver l’acte de gouverner (descendre du plan de l’illumination) comme quelque chose d’un fardeau, puisque «l’accès au pouvoir ne doit pas être limité aux hommes qui sont amoureux d’elle» (paragraphe 53, ligne 10). disant qu’un bon dirigeant ne peut ni ignorer la «forme de la bonté», ni rester uniquement dans l’état éclairé, séparé du reste de l’humanité non éclairée, mais a plutôt la responsabilité de partager cette connaissance et de tenter d’éclairer leurs concitoyens, car «la loi ne se préoccupe pas de rendre une classe particulière heureuse, mais d’assurer le bien-être de l’ensemble de la communauté» (paragraphe 47, ligne 1). Socrate termine la parabole avec l’idée que les bons gouvernants doivent non seulement être sages mais aussi trouver l’acte de gouverner (descendre du plan de l’illumination) comme quelque chose d’un fardeau, puisque «l’accès au pouvoir ne doit pas être limité aux hommes qui sont amoureux d’elle» (paragraphe 53, ligne 10). disant qu’un bon dirigeant ne peut ni ignorer la «forme de la bonté», ni rester uniquement dans l’état éclairé, séparé du reste de l’humanité non éclairée, mais a plutôt la responsabilité de partager cette connaissance et de tenter d’éclairer leurs concitoyens, car «la loi ne se préoccupe pas de rendre une classe particulière heureuse, mais d’assurer le bien-être de l’ensemble de la communauté» (paragraphe 47, ligne 1). Socrate termine la parabole avec l’idée que les bons gouvernants doivent non seulement être sages mais aussi trouver l’acte de gouverner (descendre du plan de l’illumination) comme quelque chose d’un fardeau, puisque «l’accès au pouvoir ne doit pas être limité aux hommes qui sont amoureux d’elle» (paragraphe 53, ligne 10). divorcée du reste de l’humanité non éclairée, mais a plutôt la responsabilité de partager cette connaissance et de tenter d’éclairer ses concitoyens, car «la loi ne se soucie pas de rendre une classe particulièrement heureuse, mais d’assurer le bien-être de la communauté en tant que communauté». ensemble» (paragraphe 47, ligne 1). Socrate termine la parabole avec l’idée que les bons gouvernants doivent non seulement être sages mais aussi trouver l’acte de gouverner (descendre du plan de l’illumination) comme quelque chose d’un fardeau, puisque «l’accès au pouvoir ne doit pas être limité aux hommes qui sont amoureux d’elle» (paragraphe 53, ligne 10). divorcée du reste de l’humanité non éclairée, mais a plutôt la responsabilité de partager cette connaissance et de tenter d’éclairer ses concitoyens, car «la loi ne se soucie pas de rendre une classe particulièrement heureuse, mais d’assurer le bien-être de la communauté en tant que communauté». ensemble» (paragraphe 47, ligne 1). Socrate termine la parabole avec l’idée que les bons gouvernants doivent non seulement être sages mais aussi trouver l’acte de gouverner (descendre du plan de l’illumination) comme quelque chose d’un fardeau, puisque «l’accès au pouvoir ne doit pas être limité aux hommes qui sont amoureux d’elle» (paragraphe 53, ligne 10). ligne 1). 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