"Les Bacchantes" d’Euripide Automatique traduire
«Les Bacchantes» est une ancienne tragédie athénienne d’Euripide. On pense généralement que la pièce a été mise en scène (avec «Iphigénie à Aulis» et une autre pièce) en 405 avant notre ère par le fils du poète après la mort de son père en 407-6 et qu’elle a remporté le premier prix. La production a eu lieu à Athènes à la City Dionysia, un festival en l’honneur de Dionysos.
Située à Thèbes, la pièce dépeint Dionysos (également connu sous le nom de Bacchus) retournant dans la ville de sa mère déguisé en mortel pour instituer son culte et punir les membres de la famille qui ont nié sa divinité. Le conflit central entre Dionysos et le souverain de sa maison ancestrale maternelle explore les thèmes de la dualité, de la rétribution divine et de l’inscrutabilité des dieux et de la vie humaine. Le titre fait référence aux femmes qui suivent Dionysos et sont appelées à la fois bacchantes et ménades. Ce guide d’étude fait référence à l’édition 2005 de Penguin Classics traduite par John Davie. Davie traduit le verset grec en prose anglaise, les références aux lignes dans ce guide sont donc approximatives. De plus, les textes anciens qui ont survécu jusqu’aux temps modernes n’incluent pas de directions scéniques. Les mouvements des personnages sur scène et hors scène sont des reconstructions basées sur l’analyse des pièces et sur ce que l’on sait de la production scénique dans l’Athènes classique. La pièce commence par un monologue de Dionysos dans lequel il explique qu’il est venu d’Asie à Thèbes, déguisé en prêtre mortel de Dionysos de Lydie, pour instituer ses rites et punir la ville parce que ses tantes et son neveu Penthée, le dirigeant par intérim de la ville, ont renié sa divinité. Dionysos a rendu les femmes folles et s’est retirée de la ville dans les montagnes. La nouvelle de ces événements incite Penthée à retourner à Thèbes. Son grand-père Cadmus et Tirésias, un voyant aveugle, ont embrassé le culte dionysiaque et exhortent Penthée à changer de cap et à accepter le dieu, mais il refuse, insistant sur le fait qu’il capturera et punira à la fois les femmes et l’homme de Lydie que Penthée tient pour responsables de leurs actes transgressifs. Leur débat se termine avec Tirésias avertissant Penthée du danger de dépasser les limites mortelles et de partir avec Cadmus pour adorer Dionysos. Après que le chœur, composé de bacchants qui ont suivi Dionysos à Thèbes depuis l’est, chante un chant de louange, un soldat méfiant conduit le dieu déguisé, qui a été capturé. Le soldat rapporte que les Bacchants ont été spontanément libérés de leurs liens. Lorsque Penthée le menace, Dionysos l’avertit de respecter le dieu, mais Penthée ordonne à ses soldats de le conduire dans le palais. Le Chœur demande à Thèbes pourquoi ils ont rejeté Dionysos, décrit sa naissance divine et demande à Zeus de détruire la ville. Dionysos les appelle de l’intérieur du palais, et ils le pressent d’y mettre le feu. Dionysos sort du palais, suivi de Penthée, et ordonne au roi d’écouter le messager qui vient d’arriver, ayant vu les ménades dans les montagnes attaquer les hommes dans les villages. Le messager exhorte Penthée à honorer Dionysos, mais le souverain est plus déterminé que jamais à le détruire. Dionysos change de tactique, demandant à Penthée s’il aimerait espionner les femmes dans les montagnes. La curiosité de Penthée est immédiatement exacerbée et Dionysos lui ordonne de se déguiser en ménade. Bien qu’initialement résistant, Penthée accepte finalement. Dionysos l’aide avec son costume, puis conduit Penthée dans les montagnes. Après que le chœur ait chanté une chanson de fête anticipant la punition de Penthée, un messager arrive pour annoncer que Penthée est mort. Dionysos le conduisit aux ménades puis les appela à détruire Penthée. Menées par Agaue, la mère de Penthée, les ménades le déchirent. Agaue lui a arraché la tête elle-même et l’a portée comme trophée, croyant qu’il s’agissait de la tête d’un puma. La chanson de célébration du chœur se termine par leur reconnaissance que la lamentation suivra. Toujours dans sa folie provoquée par Dionysos, Agaue entre en tenant la tête de Penthée et invite le Chœur à se régaler de son butin. Dégoûté, le Chœur lui ordonne de montrer son butin aux citoyens de Thèbes. Agaue appelle Pentheus et Cadmus pour célébrer avec elle, et Cadmus arrive avec les restes de Pentheus. Il regrette que sa folie soit un refuge contre le chagrin qu’elle éprouvera lorsqu’elle se dissipera. Lentement, il la ramène à la raison, expliquant la folie que Dionysos a infligée à elle et à ses sœurs pour punir leur incrédulité. Père et fille pleurent leur changement de fortune. Dionysos apparaît au-dessus de la scène, informant Cadmus de la transformation et de l’errance qui l’attendent. Cadmus s’oppose à la dureté de sa punition, mais Dionysos est impassible puisque Zeus permet aux dieux de punir les mortels. Cadmus et Agaue chantent un adieu douloureux alors qu’elle se prépare à l’exil. Le chœur conclut la pièce en observant que les dieux font passer des événements inattendus. Cadmus et Agaue chantent un adieu douloureux alors qu’elle se prépare à l’exil. Le chœur conclut la pièce en observant que les dieux font passer des événements inattendus. Cadmus et Agaue chantent un adieu douloureux alors qu’elle se prépare à l’exil. Le chœur conclut la pièce en observant que les dieux font passer des événements inattendus.
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