"Souvenir des choses passées" de Marcel Proust Automatique traduire
«Souvenir des choses passées» est un roman de l’écrivain et critique français Marcel Proust. Également publié sous le titre «À la recherche du temps perdu», il fut publié dans sept installations entre 1913 et 1927, dont plusieurs à titre posthume. Le roman raconte la vie d’un jeune homme sans nom et est fréquemment interprété par les érudits comme vaguement autobiographique. Le narrateur est influencé par un certain nombre de romances qui font avancer l’intrigue et ajoutent de la couleur et de la profondeur à son monde social. Le roman était largement respecté au début du XXe siècle et le reste aujourd’hui, et le style et les thèmes de Proust ont ensuite été imités (et parodiés) par un certain nombre d’écrivains modernistes. Le roman commence alors que le narrateur réfléchit sur ses débuts dans la vie, en commençant par son séjour dans un domaine appelé Combray. Il y est assez malheureux, tirant son seul réconfort de l’amour et de l’affection de sa maman, comme lorsqu’elle l’embrasse avant de se coucher. Au début, Combray reçoit souvent la visite d’un homme nommé M. Swann, mais sa présence diminue après son mariage. Dans un moment formateur, le narrateur est puni en étant envoyé au lit tôt et maman refuse son baiser pour lui souhaiter une bonne nuit. Le père remarque que le garçon est bouleversé et ordonne à maman de dormir à côté de lui pour lui remonter le moral. Ces signaux affectifs contradictoires amènent le narrateur à se retirer socialement et à se tourner vers les livres comme réconfort. Un jour, son ami Bloch lui fait découvrir les œuvres d’un écrivain nommé Bergotte. Le narrateur est amoureux et découvre que la fille de M. Swann est amie avec l’écrivain. Bien que sa famille se soit aliéné Swann depuis son mariage, le narrateur tente de contacter sa fille, mais ne parvient pas à vraiment se connecter. Au bout d’un moment, le narrateur commence à quitter Combray pour passer du temps sur les Champs-Élysées, irrité par sa mauvaise santé. l’empêche d’être plus loin à l’étranger. Il se lie d’amitié avec la fille de M. Swann, Gilberte, et observe une relation tendue entre M. Swann et une femme nommée Odette. Il voit également la communauté les ostraciser à cause de leur relation aberrante. Gilberte emmène le narrateur à ses goûters, où il rencontre enfin Bergotte et entend son point de vue sur la société et la politique.
Ayant obtenu de Gilberte ce qu’il voulait, il la rejette. Le roman saute deux ans dans le futur. Le narrateur se rend à Balbec, où il est frappé par une solitude mélancolique qui fait décliner sa santé. Il finit par accepter la belle ville et se rétablit, même s’il ne se fait pas de nouveaux amis. Un jour, il rencontre un groupe de plusieurs filles et s’éprend d’elles. Lors d’une fête ce soir-là, il rencontre un peintre nommé Elstir qui lui demande de visiter son atelier. Ce faisant, il regarde par la fenêtre et aperçoit l’une des filles du groupe. Il parvient à convaincre Elstir d’organiser un goûter et d’inviter l’une de ses amoureuses, Albertine. Lui et Albertine se rapprochent rapidement, faisant des promenades ensemble où ils discutent de leurs opinions sur les insuffisances de leur société immédiate. Albertine présente le narrateur à deux amies, Gisèle et Andrée, mais devient envieuse lorsqu’il est clairement attiré par Gisèle. Elle écrit une note confessant son amour pour le narrateur et il tombe amoureux d’elle. Cependant, une nuit, il envahit sa chambre d’hôtel et elle appelle à l’aide, terrorisée. La grand-mère du narrateur tombe malade à Paris, obligeant la famille à déménager dans un appartement annexé à l’hôtel de Guermantes. Le narrateur est mystifié par Mme. de Guermantes, et se rend à l’opéra pour se rapprocher d’elle. Elle observe ses fréquentes tentatives pour la rencontrer et devient irritée. Il rend visite à son ami Saint-Loup à Doncières, dans l’espoir de trouver un moyen de se connecter avec Mme. de Guermantes, mais part avant que quoi que ce soit n’arrive pour prendre des nouvelles de sa grand-mère. Peu de temps après, elle a une fièvre intense et est victime d’un accident vasculaire cérébral. Un médecin lui donne un pronostic pessimiste, conseillant au narrateur de ne pas garder espoir. La servante de leur famille, Françoise, s’occupe de grand-mère, qui reçoit la visite de plusieurs de ses amis. Néanmoins, elle s’affaiblit bientôt et meurt. Après la mort de grand-mère, Albertine vient à Paris et courtise à nouveau le narrateur. Je ne suis plus amoureux de Mme. de Guermantes, le narrateur a hâte de cultiver une amitié avec elle.
Guermantes lui demande de venir dîner un vendredi ; il assiste avec Saint-Loup et est méprisé jusqu’à ce que les convives apprennent que les deux sont affiliés. Globalement déçu du dénouement de la fête, et de plus en plus désillusionné sur les fruits de ses constants travaux d’amour, le narrateur part chez M. de Charlus, qui se montre également impoli avec lui. M. de Challus accuse le narrateur de répandre sur son compte une rumeur négative ; il le réfute et ils se réconcilient. Le roman se termine quelques jours plus tard, lorsque le narrateur se rend au domaine des Guermantes et retrouve M. Swann sur son lit de mort. Roman très interpersonnel, «Souvenir des choses passées» concerne une tension constante entre les regards de son narrateur, colorés et déformé par ses objets d’amour et le monde social dans lequel il est intégré. En fin de compte, il apprend à réconcilier ses attentes avec la réalité en élargissant sa compréhension des attitudes et des attentes que les autres personnes forment en Europe au début du 20e siècle.
- Finding the lost time are the Donetsk Foundation Isolation and the Continua Gallery
- Proust’s letters to a neighbor. Unexpected sensation
- Artifacts or the search for harmony with Marcel Proust
- «Ajax» by Sophocles
- «Room» by Emma Donoghue
- «Piranesi» by Susanna Clarke
- «Rhinoceros» by Eugène Ionesco
- «Reading with Patrick» by Michelle Kuo
Vous ne pouvez pas commenter Pourquoi?