« Catherine, surnommée Birdy » de Karen Cushman
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Le roman pour jeunes adultes de l’auteure américaine Karen Cushman, Catherine, Called Birdy, explore la vie d’une jeune femme dans l’Angleterre du XIIIe siècle. Publié en 1994, le livre a remporté le Newbery Award l’année suivante. Il est actuellement adapté au cinéma par l’actrice, scénariste et réalisatrice Lena Dunham. Cette œuvre de fiction historique détaillée plonge le lecteur dans l’univers très différent de l’Angleterre médiévale, où la religion est au cœur des activités quotidiennes et des célébrations saisonnières, et où les rôles de genre, de classe et de communauté sont strictement imposés.
Le livre suit sa narratrice Catherine, surnommée Birdy, tandis qu’elle écrit dans son journal tout au long de l’année qui suit ses 14 ans, à partir de septembre 1290. Fait inhabituel pour une jeune femme de l’époque, Birdy apprit à lire et à écrire, et son frère Edward l’encouragea à tenir un journal de sa vie. Il est convaincu que cet effort l’aidera à mûrir et à tempérer son impulsivité. La plupart des entrées sont introduites par une note en italique indiquant le jour du saint célébré, avec parfois des commentaires éditoriaux de Birdy exprimant son approbation ou son mépris pour le saint honoré. Ce principe d’organisation façonne le quotidien de tous les personnages du livre, qu’ils soient membres de la haute société du manoir ou villageois et domestiques de la classe inférieure. Birdy vit au manoir de Stone Bridge. Son père Rollo est le chevalier de la ville. Dans la hiérarchie de l’Angleterre médiévale, cela signifie que Birdy appartient à la classe terrienne ; elle est riche, mais pas au point de ne pas avoir à travailler. Elle vit dans un manoir, et non dans un château, ce qui la place parmi les plus basses classes de la noblesse. Elle est destinée, comme d’autres femmes de sa classe à cette époque, à devenir une Lady et à être mariée, idéalement à un riche prétendant. Elle rechigne à cet arrangement, maudissant son sort et s’opposant aux tentatives de son père de la marier à une multitude de « crétins » et autres prétendants inadaptés, à ses yeux. Birdy, comme les oiseaux qu’elle garde et aime si dévouéement, aspire à s’évader de sa cage. Son plus grand ennemi dans cette saga incessante pour lui trouver un mari digne de ce nom est de loin Barbe-Hum, un homme d’un certain âge, au physique rude, dont le titre et la richesse en font un candidat attrayant pour ses parents, mais pas du tout pour Birdy. Birdy préfère la compagnie de Perkin, le bouc, qu’elle considère comme la personne la plus intelligente qu’elle connaisse. Malgré un handicap physique apparent, Perkin est doué avec les animaux et rêve de devenir érudit ; Il est un contrepoids tolérant aux fantaisies et aux accès de colère de Birdy. Birdy est également amoureuse de son bel oncle George, de retour des croisades. Il la fait rougir par sa beauté et son charme, et il représente la liberté de mouvement et l’expérience de l’aventure auxquelles elle aspire. Cependant, l’oncle George s’intéresse bientôt à la meilleure amie de Birdy, Aelis, et ils annoncent rapidement leur désir de se marier. Cependant, dans le monde médiéval des rôles interdits et du besoin d’alliances politiques, cette union ne se concrétise pas. Aelis épouse un duc de sept ans, tandis que George finit par épouser Ethelfritha, une femme d’âge mûr, libre et enjouée, qui, malheureusement, présente également des signes de maladie mentale. Birdy se sent responsable de ces deux incidents car, dans un accès de jalousie, elle tente de maudire George et Aelis pour leurs sentiments amoureux. Finalement, tous les personnages plient leurs volontés et leurs désirs aux réalités de leurs rôles à cette époque de l’histoire :Le jeune mari d’Aelis meurt et elle est fiancée à Robert, le frère que Birdy aimait le moins. Malgré son amour, prétendument éternel, pour Oncle George, Aelis accepte cet arrangement et semble même heureuse, forçant Birdy à reconsidérer la personnalité de son frère. Oncle George, quant à lui, prend soin de sa femme Ethelfritha, lui témoignant une grande tendresse. Même Birdy commence peu à peu à accepter le sort qui l’attend. Après avoir été fiancée à Barbe-Poilue, elle jure de ne jamais se soumettre à ce mariage, déconcertant son père à chaque instant. Cependant, lors d’une visite à la foire de Bartlemas, Birdy finit par acheter un ours savant condamné à un combat à mort. En sauvant l’ours, elle utilise l’argent que Barbe-Poilue lui a offert comme cadeau de mariage, donnant ainsi implicitement son consentement au mariage. Bien qu’elle tente d’abord d’accepter cela, la perspective d’épouser Barbe-Shaggy finit par la submerger. Elle s’enfuit alors chez Ethelfritha et George. George étant en déplacement professionnel, Birdy et Ethelfritha tentent d’élaborer un plan pour libérer Birdy de son engagement. Il devient vite évident que les idées d’Ethelfritha sont farfelues et que sa maladie la conduit à des pensées irrationnelles. Au retour de George, Birdy a réévalué ses choix et décide de rentrer chez elle sans trop se battre. Elle se réconforte à l’idée que, quel que soit son mari, elle restera elle-même. De retour au manoir, Birdy apprend que Barbe-Shaggy a été tué lors d’une bagarre dans un bar et qu’elle sera donc fiancée à son fils, Stephen. Cela ne semble pas la gêner, ayant une meilleure opinion des manières et de l’intelligence du fils et attendant avec impatience le jour de son mariage. En toile de fond, le récit laisse entrevoir de profondes transformations en Angleterre et au-delà : l’expulsion du peuple juif d’Angleterre a été ordonnée par le roi Édouard Ier, dit Édouard Longshanks ; les croisades se poursuivent en Terre sainte de Jérusalem, sans succès ; et la reine Éléonore meurt. De plus, la mère de Birdy traverse une grossesse et un accouchement difficiles, tandis que Birdy s’interroge sur la nature des identités changeantes. À la fin du livre, l’auteur écrit que « l’Angleterre de 1290 est un pays étranger » et que « nos conceptions de l’identité individuelle, des accomplissements et des droits individuels, de l’effort et de la réussite individuels n’existaient pas ». Le parcours de Birdy est aussi différent de celui d’un adolescent de 13 ou 14 ans du XXIe siècle que de celui d’une jeune femme venue d’un monde lointain et étranger. Pourtant, sa résistance à son destin est perçue comme une caractéristique quasi universelle des adolescents en pleine maturité.Il prend progressivement soin de sa femme Ethelfritha, lui témoignant une grande tendresse. Même Birdy commence peu à peu à accepter le sort qui l’attend. Après avoir été fiancée à Barbe-Poilue, elle jure de ne jamais se soumettre à ce mariage, déconcertant son père à chaque instant. Cependant, lors d’une visite à la foire de Bartlemas, Birdy finit par acheter un ours savant condamné à un combat à mort. En sauvant l’ours, elle utilise l’argent que Barbe-Poilue lui a offert comme cadeau de mariage, donnant ainsi implicitement son consentement au mariage. Bien qu’elle tente d’abord d’accepter cela, la perspective d’un mariage avec Barbe-Poilue la submerge finalement et elle s’enfuit chez Ethelfritha et George. George étant en déplacement professionnel, Birdy et Ethelfritha tentent d’élaborer un plan pour libérer Birdy de son engagement. Il devient rapidement évident que les idées d’Ethelfritha sont farfelues et que sa maladie la conduit à des pensées irrationnelles. Au retour de George, Birdy a réévalué ses choix et décide de rentrer chez elle sans trop se battre. Elle se réconforte à l’idée que, quel que soit son mari, elle restera elle-même. De retour au manoir, Birdy apprend que Barbe-Hum a été tué lors d’une bagarre dans un bar ; elle sera donc fiancée à son fils, Stephen. Cela ne semble pas la gêner, ayant une meilleure opinion des manières et de l’intelligence du fils et attendant avec impatience le jour de son mariage. En toile de fond, l’histoire laisse entrevoir de profondes transformations en Angleterre et au-delà : l’expulsion du peuple juif d’Angleterre a été ordonnée par le roi Édouard Ier, dit Édouard Longshanks ; les croisades se poursuivent en Terre sainte de Jérusalem, sans succès ; et la reine Éléonore meurt. De plus, la mère de Birdy traverse une grossesse et un accouchement difficiles, tandis que Birdy s’interroge sur la nature des identités changeantes. À la fin du livre, l’auteur écrit que «l’Angleterre de 1290 est un pays étranger» et que «nos conceptions de l’identité individuelle, des accomplissements et des droits individuels, de l’effort et de la réussite individuels n’existaient pas». Le parcours de Birdy est aussi différent de celui d’une adolescente de 13 ou 14 ans du XXIe siècle que de celui d’une jeune femme venue d’un monde lointain et étranger. Pourtant, sa résistance à son destin est perçue comme une caractéristique quasi universelle des adolescents en pleine maturité.Il prend progressivement soin de sa femme Ethelfritha, lui témoignant une grande tendresse. Même Birdy commence peu à peu à accepter le sort qui l’attend. Après avoir été fiancée à Barbe-Poilue, elle jure de ne jamais se soumettre à ce mariage, déconcertant son père à chaque instant. Cependant, lors d’une visite à la foire de Bartlemas, Birdy finit par acheter un ours savant condamné à un combat à mort. En sauvant l’ours, elle utilise l’argent que Barbe-Poilue lui a offert comme cadeau de mariage, donnant ainsi implicitement son consentement au mariage. Bien qu’elle tente d’abord d’accepter cela, la perspective d’un mariage avec Barbe-Poilue la submerge finalement et elle s’enfuit chez Ethelfritha et George. George étant en déplacement professionnel, Birdy et Ethelfritha tentent d’élaborer un plan pour libérer Birdy de son engagement. Il devient rapidement évident que les idées d’Ethelfritha sont farfelues et que sa maladie la conduit à des pensées irrationnelles. Au retour de George, Birdy a réévalué ses choix et décide de rentrer chez elle sans trop se battre. Elle se réconforte à l’idée que, quel que soit son mari, elle restera elle-même. De retour au manoir, Birdy apprend que Barbe-Hum a été tué lors d’une bagarre dans un bar ; elle sera donc fiancée à son fils, Stephen. Cela ne semble pas la gêner, ayant une meilleure opinion des manières et de l’intelligence du fils et attendant avec impatience le jour de son mariage. En toile de fond, l’histoire laisse entrevoir de profondes transformations en Angleterre et au-delà : l’expulsion du peuple juif d’Angleterre a été ordonnée par le roi Édouard Ier, dit Édouard Longshanks ; les croisades se poursuivent en Terre sainte de Jérusalem, sans succès ; et la reine Éléonore meurt. De plus, la mère de Birdy traverse une grossesse et un accouchement difficiles, tandis que Birdy s’interroge sur la nature des identités changeantes. À la fin du livre, l’auteur écrit que «l’Angleterre de 1290 est un pays étranger» et que «nos conceptions de l’identité individuelle, des accomplissements et des droits individuels, de l’effort et de la réussite individuels n’existaient pas». Le parcours de Birdy est aussi différent de celui d’une adolescente de 13 ou 14 ans du XXIe siècle que de celui d’une jeune femme venue d’un monde lointain et étranger. Pourtant, sa résistance à son destin est perçue comme une caractéristique quasi universelle des adolescents en pleine maturité.Elle s’enfuit donc chez Ethelfritha et George. George étant en déplacement professionnel, Birdy et Ethelfritha tentent d’élaborer un plan pour libérer Birdy de son engagement. Il devient rapidement évident que les idées d’Ethelfritha sont farfelues et que sa maladie la conduit à des pensées irrationnelles. Au retour de George, Birdy a réévalué ses choix et décide de rentrer chez elle sans trop se battre. Elle se réconforte à l’idée que, quel que soit son mari, elle restera elle-même. De retour au manoir, Birdy apprend que Barbe-Hum a été tué lors d’une bagarre dans un bar et qu’elle sera donc fiancée à son fils, Stephen. Cela ne semble pas la gêner, ayant une meilleure opinion des manières et de l’intelligence du fils et attendant avec impatience le jour de son mariage. En toile de fond de l’histoire, des indices laissent présager de grandes transformations en cours en Angleterre et au-delà : l’expulsion du peuple juif d’Angleterre a été ordonnée par le roi Édouard Ier, dit Édouard Longshanks ; Les croisades se poursuivent en Terre sainte de Jérusalem, sans succès ; et la reine Éléonore meurt. De plus, la mère de Birdy traverse une grossesse et un accouchement difficiles, tandis que Birdy s’interroge sur la nature des identités changeantes des individus. À la fin du livre, l’auteur écrit que « l’Angleterre de 1290 est un pays étranger » et que « nos conceptions de l’identité individuelle, des accomplissements et des droits individuels, de l’effort et de la réussite individuels n’existaient pas ». Le parcours de Birdy est aussi différent de celui d’une adolescente de 13 ou 14 ans du XXIe siècle que de celui d’une jeune femme venue d’un monde lointain et étranger. Pourtant, sa résistance à son destin est perçue comme une caractéristique quasi universelle des adolescents en pleine maturité.Elle s’enfuit donc chez Ethelfritha et George. George étant en déplacement professionnel, Birdy et Ethelfritha tentent d’élaborer un plan pour libérer Birdy de son engagement. Il devient rapidement évident que les idées d’Ethelfritha sont farfelues et que sa maladie la conduit à des pensées irrationnelles. Au retour de George, Birdy a réévalué ses choix et décide de rentrer chez elle sans trop se battre. Elle se réconforte à l’idée que, quel que soit son mari, elle restera elle-même. De retour au manoir, Birdy apprend que Barbe-Hum a été tué lors d’une bagarre dans un bar et qu’elle sera donc fiancée à son fils, Stephen. Cela ne semble pas la gêner, ayant une meilleure opinion des manières et de l’intelligence du fils et attendant avec impatience le jour de son mariage. En toile de fond de l’histoire, des indices laissent présager de grandes transformations en cours en Angleterre et au-delà : l’expulsion du peuple juif d’Angleterre a été ordonnée par le roi Édouard Ier, dit Édouard Longshanks ; Les croisades se poursuivent en Terre sainte de Jérusalem, sans succès ; et la reine Éléonore meurt. De plus, la mère de Birdy traverse une grossesse et un accouchement difficiles, tandis que Birdy s’interroge sur la nature des identités changeantes des individus. À la fin du livre, l’auteur écrit que « l’Angleterre de 1290 est un pays étranger » et que « nos conceptions de l’identité individuelle, des accomplissements et des droits individuels, de l’effort et de la réussite individuels n’existaient pas ». Le parcours de Birdy est aussi différent de celui d’une adolescente de 13 ou 14 ans du XXIe siècle que de celui d’une jeune femme venue d’un monde lointain et étranger. Pourtant, sa résistance à son destin est perçue comme une caractéristique quasi universelle des adolescents en pleine maturité.L’auteur écrit que «l’Angleterre de 1290 est un pays étranger» et que «nos conceptions de l’identité individuelle, des accomplissements et des droits individuels, ainsi que de l’effort et de la réussite individuels n’existaient pas». Le parcours de Birdy est aussi différent de celui d’une adolescente de 13 ou 14 ans du XXIe siècle que de celui d’une jeune femme venue d’un monde lointain et étranger. Pourtant, sa résistance à son destin est perçue comme une caractéristique quasi universelle des adolescents en pleine maturité.L’auteur écrit que «l’Angleterre de 1290 est un pays étranger» et que «nos conceptions de l’identité individuelle, des accomplissements et des droits individuels, ainsi que de l’effort et de la réussite individuels n’existaient pas». Le parcours de Birdy est aussi différent de celui d’une adolescente de 13 ou 14 ans du XXIe siècle que de celui d’une jeune femme venue d’un monde lointain et étranger. Pourtant, sa résistance à son destin est perçue comme une caractéristique quasi universelle des adolescents en pleine maturité.
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