Une autre tentative de comprendre la mystérieuse âme japonaise
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MOSCOU. Le Conservatoire Tchaïkovski accueille le 18ème festival Soul of Japan.
La connaissance de la culture d’une autre nation, le désir d’apprendre de nouvelles choses, de les comprendre et de les accepter est le seul moyen de parvenir à la compréhension mutuelle, au bon voisinage et au désir de vivre en paix. C’était le message principal, l’idée principale, outre les objectifs purement éducatifs, la création en 1999 du festival "Soul of Japan". En 1896, Lafcadio Hearn, écrivain et traducteur irlandais amoureux du Japon, écrivit des notes autobiographiques, Kokoro: indices et échos de la vie intérieure japonaise, qui poussèrent les fondateurs à choisir un nom symbolique pour le festival.
Peu de temps avant sa mort soudaine, Koizumi Yakumo (nom adopté par Hearn durant sa vie au Japon) s’est rendu compte que sa nouvelle patrie demeurait le même mystère qu’au début de sa passion pour elle. La création d’un festival dédié au Japon est une approximation de la vérité, une volonté d’ouvrir de nouveaux horizons, de renforcer la compréhension mutuelle.
La 18ème saison se terminera le 23 décembre. À ce jour, 3 concerts sont passés.
Lors de l’ouverture du festival le 7 septembre dans la salle Rachmaninov, de la musique hogaku classique japonaise était jouée, belle, inhabituelle et difficile à lire. Le public lui a été présenté par les meilleurs interprètes de ce genre, les virtuoses du shamisen (instrument à trois cordes pincées) et du koto (cithare avec dépliants déplacés pour modifier les paramètres). Le 24 septembre, dans la salle Myaskovsky du programme «Écouter la voix du bambou», Kohei Shimizu a pris la parole. Le son de sa flûte shakuhachi, velouté et profond, est capable de transmettre non seulement la beauté de la mélodie jouée, mais aussi les émotions humaines, les «voix» de la nature environnante. Le 3 octobre, “Japanese Rhapsody” a été joué dans la salle Rachmaninov, un mélange harmonieux de mélodies nationales et d’œuvres de Scriabine.
Le concert a été suivi par le talentueux jeune pianiste Yoshio Hamano, qui a étudié dans les meilleurs établissements d’enseignement de Londres, Leipzig et Moscou. Ses mentors étaient Elena Ashkenazi, Dmitry Alekseev et Vadim Sakharov. À venir - nouvelles rencontres avec des musiciens du pays du soleil levant, familiarité avec les traditions nationales et des instruments inhabituels.
Elena Tanakova © Gallerix.ru
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