Anniversaire de l’éminent musicien et homme Emil Gilels Automatique traduire
MOSCOU. Dans la grande salle du conservatoire Tchaïkovski, une série de célébrations en l’honneur du 100e anniversaire d’Emil Gilels s’est achevée.
Le critique et enseignant Grigory Mikhailovich Kogan a comparé le discours pianistique d’Emil Gilels à une avalanche, ce qui ne vaut rien pour décorer avec des arcs de nuances fractionnaires. Alors il a contré les commentaires sur le manque de nuances dans les interprétations du célèbre pianiste. Gilels lui-même tout au long de sa vie ne s’est pas obstiné dans le cadre qui lui a été imposé, a réfuté l’opinion actuelle à son sujet. Il pourrait répondre à ceux qui reprochent le manque de nuances avec le martelant "Moonlight" de Debussy, les exquises pièces de théâtre de Rameau (Jean-Philippe Rameau) ou les paroles perçantes des pièces de théâtre du bien-aimé Grieg. Un jeune garçon de 16 ans sans sourire remporta le premier concours de interprètes de 1933, confondant tout d’abord le public avec sa retenue, puis la forçant à applaudir debout et à essuyer les larmes de joie de la rencontre avec ce talent.
Mais pour essayer de qualifier Hillels de communiste orthodoxe, il suffit de rappeler sa décence et son dévouement à la mémoire de Berta Mikhailovna Reingbald. C’est elle qui l’a préparé au premier concours, une victoire pour lui, lui a ouvert la voie vers les sommets que méritait son talent. Même après être parti pour Moscou, ayant déjà le statut d’étudiant du légendaire Neuhaus, il n’a pas perdu le contact avec son professeur bien-aimé. La fin de sa vie a été terrible. Après avoir évacué, après son retour d’évacuation, un appartement occupé par un responsable du NKVD, elle n’est plus en mesure de trouver du travail au conservatoire. Incapable de résister à l’intimidation morale, se suicide en 1944. Pendant plusieurs décennies, le nom d’un enseignant talentueux a été oublié. Mais Gilels n’a pas touché à cette perte de conscience, il n’a pas cessé de parler d’elle et l’a appelée le principal mentor musical de sa vie, le seul enseignant. Emil Grigoryevich a insisté pour que son nom ne soit pas éteint sur l’affiche du concert consacré au 30e anniversaire de son départ tragique.
Lors du concert anniversaire organisé le 12 décembre au Conservatoire de Moscou, les œuvres des compositeurs préférés Emil Grigorievich - Grieg, Beethoven, Mozart, incluses dans son vaste répertoire, ont été entendues. Le petit fils de Gilels - Cyril a assisté au concert. Accompagné par l’orchestre symphonique des jeunes de Kalouga sous la direction d’Alexei Tkachenko, les pianistes Alexander Gindin, Boris Bloch et Basinia Shulman se sont produits.
Elena Tanakova © Gallerix.ru
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