Des personnages espagnols ont été montrés par des acteurs sur la scène du théâtre dramatique de Novgorod Automatique traduire
VELIKIY NOVGOROD. Le théâtre régional de théâtre le 15 mars au soir présentera aux spectateurs de Novgorod une belle légende espagnole, une histoire romantique d’amour humain. Le metteur en scène principal du théâtre théâtral académique de Novgorod, Sergueï Grishanin, a mis en scène la pièce «En attendant la septième lune», dont la pièce de théâtre est celle du même nom du dramaturge espagnol Alekhsandro Cason.
Le théâtre s’est déjà tourné vers le travail d’Alejsandro Cason. En 2009, la production de la pièce basée sur sa pièce «The Savage» a eu lieu. Pour le public de Novgorod, cette performance est connue sous le nom de «Taming of the Savage». Sergey Grishanin a décidé que la pièce pour laquelle il avait dirigé la production était tellement saturée de couleur espagnole que sa mise en scène deviendrait une tâche très difficile.
Pour aider à la réalisation, il a invité le réalisateur Ivan Kulyas, qui vit à Valence, à Novgorod. Ivan Kulyas est né en Ukraine, mais depuis que l’Espagne est aussi son pays d’origine, les acteurs de théâtre ont pris conscience, grâce à son travail, des traditions et de la vie des habitants espagnols. C’était un travail difficile, car les passions espagnoles sur la scène du théâtre de Novgorod n’ont pas encore fait rage. Il est possible que la première expérience d’acteur soit le début d’une nouvelle étape de sa carrière d’acteur.
La performance est comme un rêve avec une réalité vivante. L’histoire qui y est racontée est à la fois triste et empreinte de sensations vitales. Dans la maison où vivent les héros de la pièce, le malheur est arrivé. Quatre années se sont écoulées, mais comme auparavant, il n’ya pas de rire ni de mots chaleureux. Les gens ont longtemps oublié comment exprimer leur amour et leur tendresse. Ici, personne ne vit une vie réelle, seul le souvenir du malheur qui s’est passé est réel.
Seule la mystérieuse et mystérieuse Wanderer qui est apparue a eu la possibilité de rendre l’amour à cette maison, elle seule savait le prix de la vie.
Ludmila Trautmane © Gallerix.ru
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