Les théâtres dramatiques de Vladimir et Penza ont échangé leurs scènes pendant une semaine Automatique traduire

VLADIMIR. Sur la scène du théâtre Vladimir, à partir du 16 mai, des invités de Penza présentent leurs meilleures œuvres. Après une tournée d’une semaine, le théâtre dramatique de Penza est arrivé à Vladimir et, à ce moment-là, ses acteurs se sont rendus à Penza. Les deux théâtres n’ont pas effectué de tournée d’échange de cette envergure depuis plus de vingt ans.

Les théâtres ont eu la possibilité d’organiser un tel événement grâce à l’inclusion de ces tournées dans le plan d’action du programme Culture de la Russie réalisé par le ministère de la Culture de la Fédération de Russie. La première représentation présentée à Vladimir était la tragédie «Dolls», mise en scène basée sur la célèbre pièce «Senior Pygmalion».

Le maître ingénieux a créé une troupe théâtrale d’une qualité irréprochable. Seules les marionnettes dans lesquelles il a respiré la vie en sont devenues les acteurs. Les poupées ne sont pas différentes des autres à l’extérieur et elles ont un caractère humain: elles sont caractérisées par toutes les passions inhérentes aux gens.

Les acteurs de la troupe craignent d’être remplacés par des poupées humanisées. Les "acteurs" nouvellement créés s’ennuient de tournées incessantes et décident que, après avoir renversé leur maître, ils auront la possibilité de vivre de façon autonome. La situation décrite dans la pièce est conditionnelle, mais comporte une profonde implication philosophique.

En plus de la pièce «Dolls», le public de Vladimir assistera à deux autres représentations: «An Ordinary Miracle», avec une histoire bien connue du film réalisé par Mark Zakharov, et «Late Love», inspiré de la pièce d’Ostrovsky.

À cette époque, les acteurs de Vladimir avaient déjà montré à Hanuma, le favori de tous les spectateurs, à Penza. La projection du drame Andrei Bogolyubsky, qui avait longtemps été la marque du théâtre, et devant elle était devant elle. signor public.

Il convient de noter que les deux théâtres portent le nom de Lunacharsky. L’échange de scènes n’a donc pas lieu au hasard: il était plus facile de trouver un langage commun.

Ludmila Trautmane © Gallerix.ru