La nouvelle étape de l’électrothéâtre Stanislavsky s’est ouverte avec le spectacle "Colonel Bird" Automatique traduire
MOSCOU. Le 24 novembre, l’Électrothéâtre Stanislavsky a accueilli les premiers spectateurs lors de sa nouvelle étape, située dans le bâtiment de Biélorusskaïa. Auparavant, cette pièce était un atelier d’une usine de fabrication de machines électriques. À présent, l’ancien bâtiment de production a acquis une étape de transformation bien équipée, conçue pour permettre aux jeunes réalisateurs expérimentaux de présenter des performances expérimentales.
La première représentation présentée au public était l’œuvre du réalisateur Roman Drobot. Le jeune metteur en scène a choisi la pièce du dramaturge bulgare Hristo Boychev «Colonel-Bird» pour la mise en scène. L’auteur a écrit cette histoire particulière, à l’origine du conflit militaire qui a éclaté en Yougoslavie en 1997.
La pièce a été immédiatement traduite dans de nombreuses langues, elle a été mise en scène à plusieurs stades du monde. Le colonel Bird doit sa popularité à l’extrême pertinence de l’épreuve, qui est particulièrement évidente dans le contexte des événements tragiques qui se déroulent aujourd’hui. Chacun des réalisateurs qui ont parlé de cette pièce a souligné dans la production un sujet qui le préoccupait.
Pour certains, la solitude est devenue ce sujet, pour d’autres, c’est une guerre qui a produit des fous. Dans l’interprétation de Roman Drobot, les murs du bâtiment deviennent les murs d’un monastère abandonné où vivent tous les patients oubliés de l’hôpital psychiatrique. Dans la folie de la guerre, personne n’en a besoin.
Leur vie est bouleversée par l’apparition accidentelle d’un avion de l’ONU larguant par erreur un conteneur dans un monastère où l’uniforme militaire est emballé. Pour les militaires russes, qui font partie des patients, qui ont perdu la raison après le décès de la famille, cet accident est devenu une chance de retourner dans le monde extérieur. L’unité de maintien de la paix qu’il a créée décide de se rendre à Strasbourg. La finale de la pièce est ouverte - même le réalisateur ne sait pas si l’équipe atteindra le but.
Ludmila Trautmane © Gallerix.ru
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