La chance de revenir sur les écrans du film Oleg Dorman "Interlinear" sur Liliana Lungina Automatique traduire
MOSCOU. Une chance de retourner le film «Interlinear» d’Oleg Dorman sur Liliana Lungina.
Le refus du réalisateur de la récompense bien méritée du TEFI pour le documentaire Interlinear il y a cinq ans était mitigé. La raison de la manifestation était le délit de Dorman contre ceux qui, depuis plus de 10 ans, n’avaient pas trouvé place dans le réseau de radiodiffusion pour les mémoires uniques de Liliana Lungina. Philologue, polyglotte, brillant interlocuteur. Elle a appris le français dans son enfance, étant avec sa mère à Paris. Brilliant German lui a donné Berlin, où, au milieu des années 1920, son père a été envoyé pour un long voyage.
Lungina s’est dite un produit cosmopolite, n’attachant pas d’importance à sa nationalité. La société de l’antisémitisme, le "cas des médecins" sauvage nous a fait réfléchir. Le cinquième point était un obstacle insurmontable à l’obtention d’un emploi lié au français. La connaissance du suédois et d’autres langues scandinaves a été utile. Grâce à elle, les enfants soviétiques ont pu se familiariser avec Carlson, Peppy et d’autres personnages de l’écrivain suédois. Lindgren considérait que ses traductions étaient standard, ce qui lui permettait de transmettre avec précision les caractères de ses personnages timides et touchants. Cette évaluation s’applique également au travail virtuose des œuvres de Böll, Ibsen, Hauptmann, Azhar, Vian. Son livre Les saisons de Moscou a été écrit en français - une mosaïque bizarre et vibrante d’événements, de personnages, d’histoires de personnages publics et de gens ordinaires.
«Interlinear», présenté une seule fois en 2009, a permis à des millions de personnes de connaître un interlocuteur sage, sympathique et incroyablement érudit. Un monologue honnête sur la vie de sa famille et sur un pays qui a connu un grand nombre de tragédies, sur la noblesse spirituelle et la trahison. Sans hystérie, grogne, sincère et calme. Une musique qui recrée l’atmosphère de l’époque a été un des participants à part entière du film. Celle que la petite Liliana a entendue à Berlin et à Paris, des œuvres de compositeurs soviétiques qui sont entrées dans sa vie à l’âge adulte. Pour que «Interlinear» revienne à l’écran, pour son apparition sur les disques, l’utilisation de cette musique doit être légalisée. Pour réunir des fonds, le directeur est obligé de recourir au crowdfunding. La pertinence de cette série documentaire au cours des 7 dernières années n’a fait que croître.
Elena Tanakova © Gallerix.ru
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