Au "Festival of Festivals" pour des films de grande qualité et inconnus Automatique traduire
ST. PETERSBURG. Au cinéma "Rodina" a terminé le "Festival des Festivals".
Semaine de juin du cinéma de haute qualité - étranger, festival, auteur, qui a passé le dixième écran, mais donc non moins digne - la joie annuelle des cinéphiles de Saint-Pétersbourg depuis 23 ans. Le programme actuel, qui comprenait une sélection multi-genres de films norvégiens, des documentaires de diplômés de l’Institut d’État de la cinématographie de Saint-Pétersbourg et de l’atelier de Razbezhkina et d’Ugarov, ne faisait pas exception.
Dans la catégorie des grands-mètres, les peintures de la section «Cinéma inconnu de Saint-Pétersbourg», la coproduction franco-russe «Un voyage chez ma mère», film scandaleux de Peter Greenaway «Eisenstein à Guanajuato» ont suscité un vif intérêt. Il convient de noter la présence au programme de la dernière bande, créée à la Berlinale de l’année dernière. Le film biographique sur le créateur de «Battleship Potemkin» et «Ivan the Terrible» n’est condamné qu’à une apparence fragmentée lors de festivals nationaux.
S’il arrivait au box-office, ce fait passait inaperçu pour une partie importante de l’auditoire. Ceci est expliqué sans avoir à bien savourer le sujet tout simplement. Avec des faits, des chiffres et des dessins érotiques entre ses mains, Greenway raconte sa version du voyage mexicain d’Eisenstein. L’histoire de sa romance avec un guide local soulève le zèle des fanatiques domestiques de la moralité et affecte la fortune roulante de la photo.
Le film «Un voyage chez ma mère», lauréat du SCENECS International Filmfestival aux Pays-Bas, a également fait l’objet d’une attention bien méritée. L’actrice la plus prometteuse selon le jury du prix national du film César et la propriétaire de la «Palme d’or» du festival de Cannes actuel Adele Exarchopoulos (Adèle Exarchopoulos) ont participé au film franco-russe. La mort de sa mère, présente sous la forme d’une voix off de Margarita Terekhova, a non seulement fait souffrir la perte inattendue, mais a également rapproché ses enfants.
Dans la section «Cinéma inconnu de Saint-Pétersbourg», le public a pu se familiariser avec les films «Poutine» et «Barak» de Valery Ogorodnikov, «Le tambour» de Sergei Ovcharov, «Le mythe de Léonide» de Dmitry Dolinin. La bande vidéo sur le meurtre de Kirov, qui a lancé le volant de la répression stalinienne, a eu la chance, après 15 ans de non existence, de toucher un large public.
Elena Tanakova © Gallerix.ru
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