Henri Fantin-Latour:
portraitiste français, peintre de fleurs
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Biographie
Le peintre français Henri Fantin-Latour était surtout connu pour ses nature morte peinture de fleurs, suivi de près par son portrait d’art présentant typiquement des portraits de groupe d’artistes français contemporains. Ce dernier inclus Peintres impressionnistes comme Manet (1832-1883), Renoir (1841-1919), Frédéric Bazille (1841-1870) et Claude Monet (1840-1926). En dépit de son association avec l’avant-garde parisienne, le style de peinture de Fantin-Latour était davantage tourné vers art académique du Salon plutôt que de nouveaux mouvements comme Impressionnisme ou même Le réalisme. En effet, ses huiles ont été exécutées dans le genre de détail précis et poli privilégié par l’Académie. Le sien plus grands portraits comprennent Hommage à Delacroix (1864, Musée d’Orsay) et Un atelier aux Batignolles (1870, Musée d’Orsay). En plus de son La peinture, il a excellé à lithographie et d’autres types de gravure.
Jeunesse
Né Ignace Henri Jean Théodore Fantin-Latour à Grenoble, dans le sud-est de la France, il a suivi des cours de dessin de son père, un portraitiste bien connu. En 1850, il entre à l’école de dessin où il étudie avec le professeur Lecoq de Boisbaudran (1802-1897). En 1854, il entra dans la Ecole des Beaux-Arts et – comme la plupart des peintres en herbe de l’époque – passait beaucoup de temps à copier les peintures de Maîtres Anciens dans le Persienne. Il a également exposé son travail au Salon français officiel, mais en 1863, il a également montré son travail à la «alternative» Salon des Refusés (1863), aux côtés d’autres artistes progressistes comme Gustave Courbet (1819-1877), Paul Cezanne (1839-1906), Camille Pissarro (1830-1903), Johan Jongkind (1819-1891) et James Whistler (1834-1903).
Natures mortes: peinture de fleurs
Bien qu’il ait peint de nombreux types de tableaux, y compris des sujets de personnages romantiques, des groupes de portraits et des natures mortes, ainsi que des images de fantaisie inspirées par la musique, il s’agissait de ses natures mortes classiques – influencées par le grand Jean Chardin (1699-1779), le maître d’Utrecht Jan Davidsz de Heem (1606-84), et les artistes d’Amsterdam Willem Kalf (1619-93) et Rachel Ruysch (1664-1750) – cela lui valut un succès commercial. À partir des années 1860, il se rend régulièrement en Angleterre, où ses natures mortes sont accueillies avec enthousiasme, grâce notamment aux recommandations de James Whistler et de John Everett Millais, et le soutien financier de son mécène principal Edwin Edwards. En effet, ses pièces de fleurs se vendaient si bien qu’il était presque impossible de les acheter en France de son vivant. Les exemples incluent Fleurs et fruits (1865, Musée d’Orsay) et Fleurs et fruits (1866, Musée d’art de Tolède).
Fait intéressant, la nature morte est restée le moins important de tous les genres de peinture, selon le responsable Hiérarchie des genres, établi par l’Académie. En le choisissant, Fantin-Latour contestait-il délibérément le fonctionnaire esthétique de l’établissement français?
Portraiture: Portraits de groupe
Fantin-Latour s’est fait de nombreux amis et connaissances parmi les avant-gardes artistiques et littéraires, y compris des peintres tels que l’académicien classique JAD Ingres, le romantique Eugene Delacroix, l’artiste paysagiste Barbizon Camille Corot, le réaliste Gustave Courbet, et le influent «impressionniste» Edouard Manet. La plupart de ses amis sont apparus dans ses portraits de groupe – composés dans un style similaire aux portraits de guilde du XVIIe siècle par Frans Hals (1582-1666) et Rembrandt (1606-1669) – dont les plus célèbres sont: Hommage à Delacroix (1864); Un atelier aux Batignolles (1870); et à la table (1872).
Ses portraits et ses natures mortes ont été soigneusement composés et montrent des traces de symbolisme ainsi que des objets d’admiration – tels que des objets japonais reflétant son appréciation de Le japonisme et styles similaires.
En 1875, à l’âge de 39 ans, Henri Fantin-Latour épouse Victoria Dubourg (1840-1926), une artiste peintre de fleurs, après laquelle il passe chaque été dans son domaine familial en Normandie.
Lithographie
Une grande partie de sa carrière ultérieure a été consacrée à la lithographie. Dans le salon de 1876, par exemple, il expose L’Anniversaire, commémorant le compositeur romantique français Hector Berlioz (1803-1869), à la suite de quoi ses lithographies sont présentées à intervalles réguliers. Ses empreintes imaginatives illustrant la musique de Richard Wagner, Berlioz et d’autres compositeurs sont particulièrement caractéristiques. En plus il a fait la illustration pour les biographies d’Adolphe Jullien de Wagner (1886) et Berlioz (1888). Il mourut fin août 1904 en Normandie.
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Des portraits et des peintures de fleurs d’Henri Fantin-Latour sont visibles dans certains des meilleurs musées d’art dans le monde entier, notamment le célèbre Musée d’Orsay à Paris..
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