Haywain Triptych, Hieronymus Bosch: Analyse Automatique traduire
Le triptyque Haywain (1516) Musée du Prado, Madrid. Par Jérôme Bosch.
Considéré comme l’un des plus grandes peintures de la Renaissance nordique.
La description
Nom: Le triptyque Haywain (1516)
Artiste: Jérôme Bosch (1450-1516)
Moyen: huile peinture sur panneau
Genre: moraliste art religieux
Mouvement: Art Renaissance Néerlandais
Emplacement: Musée du Prado, Madrid
Pour une explication d’autres huiles et fresques célèbres,
s’il te plait regarde: Tableaux célèbres analysés (1250-1800).
Contexte
Un des plus grands artistes de la Renaissance nordique Jérôme Bosch tire son nom de la ville de Bois-le-Duc, lieu où il a vécu, travaillé et décédé. Suffisamment riche pour ne vendre aucune de ses photos, il est célèbre pour ses peintures religieuses plein de malheur cauchemardesque Art biblique, dont beaucoup ont été acquis par le très dévoué roi Philippe II d’Espagne (1527-1598). Principalement triptyque et peint à grande échelle avec une grande quantité de détails minutieux, son œuvre la plus connue est The Ship of Fools (1490-1500, Louvre); Le jardin des délices (1500-05, Prado); La tentation de saint Antoine (1500; Musée d’art portugais, Lisbonne); Le jugement dernier (années 1500, Alte Pinakothek, Munich); et le Haywain. L’iconographie de ses images continue de dérouter les savants et a été une source d’inspiration non négligeable pour Artistes surréalistes, y compris Salvador Dali (1904-1989). Pour plus d’informations, voir: Peinture flamande (1400-1800) et plus tard Peinture hollandaise (1600-1700 environ).
Parmi les exemples les plus célèbres de Art chrétien du début du 16ème siècle, emballé avec symbolisme et le sens allégorique, le triptyque Haywain se concentre sur le sujet du péché et de ses conséquences. L’œuvre faisait partie d’une série de six peintures achetées par Philippe II d’Espagne en 1570. Elle fut ensuite divisée en trois peintures: le panneau central fut vendu à Isabelle II d’Espagne (1830-1904) en 1848 et transféré à Aranjuez; le panneau de droite a été rendu à El Escorial, dans la ville de San Lorenzo de El Escorial; et le panneau de gauche a été transféré au musée du Prado à Madrid. Ce n’est qu’en 1914 que les trois éléments de la triptyque enfin rappelé au Prado. (Il y en a une copie dans l’escorial).
Comme il était normal à l’époque, l’extérieur du triptyque Haywain était également peint, mais en couleur plutôt que grisaille (monochrome gris). Connu sous le nom de panneau Le chemin de la vie, il présente une version du tableau de Bosch The Wayfarer (1500, musée Boijmans Van Beuningen de Rotterdam). Autour de lui se trouve une série de peintures miniatures, notamment celle d’un pendu ainsi que le vol d’un autre colporteur.. Les érudits interprètent le voyageur comme représentant un homme qui suit sa route en dépit d’une foule de tentations différentes.
Lorsqu’il est ouvert, le triptyque Haywain présente un récit similaire au précédent chef-d’œuvre de Bosch, Le jardin des délices terrestres.
Le panneau de gauche représente plusieurs scènes du livre de la Genèse de l’Ancien Testament: telles que le fait de chasser des anges rebelles du Ciel; comment Dieu a créé Eve à partir de la côte d’Adam; le serpent (un serpent effrayant avec une tête d’homme) offrant à Adam et Eve une pomme dans le jardin du paradis; et l’expulsion de Gabriel d’Adam et Eve par Gabriel.
Le panneau central représente un grand wagon à foin (foin wain) entouré d’une masse grouillante de gens qui tentent de s’en procurer du foin. Certains rois et évêques suivent également la charrette à foin, tandis que d’autres amateurs de plaisir commettent une série de péchés (gourmandise, folie, lubricité, avarice, tromperie). Au pied de la scène, un gros moine se saoule tandis que d’autres religieuses et moines remplissent activement un sac de foin. Sans se rendre compte de la foule qui gambade, le Christ regarde la scène de la débauche de haut dans le ciel. Le wagon et les pécheurs qui l’accompagnent progressent inexorablement dans le panneau suivant qui montre la damnation.
Selon une interprétation contemporaine du tableau de Bosch réalisé par Ambrosio de Morales (1513-1591), le triptyque de Haywain symbolise la trivialité et le caractère éphémère des plaisirs terrestres et l’acquisition futile de biens matériels. (Comparez plus tard néerlandais peinture de vanité.) En fait, Bosch essaie de montrer comment la recherche de biens matériels et du plaisir physique (saisir le foin) mène finalement à la damnation éternelle. (Un proverbe flamand dit: "Le monde est comme un char à foin et tout le monde prend ce qu’il peut".)
Le panneau de droite représente l’enfer de Bosch (ou peut-être le monde au Jour du Jugement), un monde enflammé rempli de bêtes hideuses, torturant et déchirant les humains, les dévorant vivants et les suspendant aux toits au milieu de la fumée et des flammes.. [Remarque: voir des créatures similaires dans la dernière peinture Mad Meg (Dulle Griet) (1562) de Pieter Bruegel l’Ancien (1525-69).] À cet égard, notons que Bosch a été témoin du terrible incendie de 1463 qui a détruit une grande partie de la prospère ville néerlandaise de Brabant, qui pourrait expliquer les images de feu contenues dans nombre de ses peintures. Un autre aspect curieux de ce panneau concerne l’étrange tour en construction. Quel est son but? At-il atteint le ciel pour une raison quelconque?
Explication d’autres peintures sur panneau de la Renaissance du Nord
Pour l’analyse d’œuvres d’autres célébrés Artistes de la Renaissance nordique, voir ci-dessous:
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