Sarah Cecilia Harrison, artiste portraitiste irlandaise:
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Sarah Cecilia Harrison
Portraitiste irlandais: Biographie, Portraits.
Biographie
Né en Comté de Down Dans une famille prospère, elle déménagea avec sa famille à Londres en 1873 à la mort de son père. De 1878 à 1885, elle étudie à la Slade School of Fine Art auprès d’Alphonse Legros. Son intérêt pour le réalisme et son dessin précis va avoir un effet profond et durable sur son travail. Pour approfondir sa formation, elle a étudié les tableaux de maîtres anciens à Londres et sur le continent. Quatre ans plus tard, en 1889, elle s’installa à Dublin pour commencer une carrière dans portrait d’art, se soumettant pour la première fois à l’exposition annuelle du Académie royale hibernienne.
Par la suite, jusqu’en 1933, elle collabore régulièrement avec l’ORS, soumettant un total de 60 tableaux, principalement des portraits. Elle a également montré au Académie royale à Londres. En 1890, elle séjourne en France où elle réalise de nombreuses études en plein air sur les enfants et les paysages à Etaples et en Bretagne. Un grand admirateur de John Butler Yeats Cecilia Harrison, le père de WB Yeats, est elle-même devenue progressivement l’un des plus célèbres artistes de portrait en Irlande.
Première femme à siéger au conseil municipal de Dublin
En plus de sa pratique de la peinture, la belle Harrison aux yeux verts de six pieds deux pouces était activement impliquée dans la politique – son frère Henry, un fervent défenseur de Charles Stewart Parnell, était député de Tipperary – et un ardent défenseur de la réforme sociale. Dublin. En 1912, elle fut élue première conseillère municipale de la Dublin Corporation, poste qu’elle occupa jusqu’en 1915.
Relation avec Sir Hugh Percy Lane
Depuis le début des années 1900, elle s’est aussi impliquée dans la campagne de Hugh Lane (1875-1915) pour établir une galerie permanente de art moderne à Dublin. Après la mort tragique de Lane sur le SS Lusitania en 1915, Celia Harrison déclara qu’ils avaient été fiancés et que Lane avait eu l’intention de le rendre public après son retour d’Amérique.
Quoi qu’il en soit, son portrait de Hugh Lane, peint en 1914 sur bois avec des coups de pinceau serrés et un aspect émaillé, est l’une de ses meilleures œuvres. Harrison continua à peindre pendant plus de 25 ans, exposant régulièrement à Dublin et à Belfast, où elle fut nommée académicienne honoraire du Académie royale des beaux-arts d’Ulster. Elle ne s’est jamais mariée.
Des collections
En tant qu’artiste, elle était une réaliste consommatrice, respectueuse du dessin précis et des coups de pinceau précis. Il y en a deux autoportraits dans la Hugh Lane Gallery, y compris une charmante première étude sur les huiles; une autre d’elle dans sa jeunesse, à la National Gallery of Ireland; et une étude d’elle-même en 1920 à la craie rouge sur papier, dans le Collection nationale d’autoportraits d’Irlande à l’Université de Limerick. On trouve d’autres exemples de ses œuvres dans les trois galeries, OPW, la Scottish National Portrait Gallery d’Édimbourg et Musée d’Ulster Belfast, pour ne citer que quelques collections.
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