Hyacinthe Rigaud, portraitiste français
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Biographie
Un de meilleurs artistes de portrait associé à l’époque de Louis XIV, le peintre français Hyacinthe Rigau et Ros Rigaud apporta une contribution remarquable à Peinture française à partir de 1688 et était particulièrement connu pour son portrait d’art représentant des membres de la famille royale française – voir, par exemple, son célèbre portrait d’État de "Louis XIV en robe de sacre" (1701, musée du Louvre, Paris), un des meilleures peintures baroques de la cour française. Le style large et vigoureux de Rigaud et la façon dont il a insisté sur la noblesse de la posture, de l’apparat et de la splendeur de ses modèles ont été à la base de son succès. Il est en effet le créateur d’un genre original, celui du "portrait de faste" qui devait se répandre dans les cours européennes de la première moitié du XVIIIe siècle. Des exemples de son énorme production peuvent être vus dans certains des meilleurs musées d’art en Europe et en Amérique du Nord. Pour plus de détails sur d’autres artistes et maîtres artisans célèbres actifs en France durant sa journée, voir: Artistes baroques français (1600-1700) et Décorateurs Français (c.1640-1792).
Vie et œuvres
Après avoir déménagé à Montpellier à l’âge de 14 ans, Rigaud fut d’abord apprenti chez Paul Pezet, puis chez Henri Verdier et Antoine Ranc, qui l’initia au Peinture baroque du grand maître flamand Anthony Van Dyck. À 18 ans, il se rend à Lyon et arrive à Paris en 1681, où il s’inscrit à l’Académie. En 1682, il remporte le Prix de Rome avec son "Caïn construisant la ville d’Enoch". Cependant, il a abandonné l’idée d’étudier en Italie sur le conseil, dit-on, de la suprémo artistique française Charles Le Brun, afin de se consacrer au portrait. Il travaille avec François de Troy et Nicolas de Largillière et se fait rapidement une réputation dans ce domaine.
En 1684, il fut associé du Académie Française des Beaux-Arts pour sa peinture de la "Crucifixion", bien que sa réputation s’épanouisse réellement quand, en 1688, il peint "Monseigneur", frère de Louis XIV (aujourd’hui disparu), et l’année suivante, son fils, Philippe d’Orléans, futur régent. En 1700, il fut élu membre à part entière avec deux portraits du sculpteur Desjardins (un au Louvre, peint en 1692) et gravit ensuite les échelons de sa carrière universitaire pour finalement devenir directeur de l’Académie française en 1733. La clientèle de les banquiers et les financiers se sont développés rapidement. Le roi lui-même siégeait pour Rigaud: "Portrait de Louis XIV en armure" (1694, musée du Prado) et "Louis XIV en robe de sacre" (1701, Louvre), qui est toujours le tableau le plus célèbre de Rigaud. Parfait emblème de la monarchie française, il a été peint peu de temps après le portrait de Philippe V d’Espagne (1700, maintenant à Versailles), qui a été unanimement admiré. Suite à cela, Rigaud exécuta de brillants portraits officiels du jeune Louis XV en 1717 et de nouveau en 1730 (tous deux à Versailles).
Rigaud a peint plus de 400 tableaux. Sa clientèle se répand rapidement hors de France: voir: "Portrait de l’électeur Auguste III" ) Gemaldegalerie, Dresden) "Portrait du comte Sinzendorf" ) Kunsthistorisches Museum, Vienne). Les graveurs Edelinck et Drevet ont contribué à la diffusion des travaux de Rigaud. Il était souvent tellement surchargé de commandes qu’il utilisait des collaborateurs pour aider dans les parties les moins importantes de ses immenses portraits. Le "Portrait de Bossuet" ) Persienne) a été peint avec l’aide de Sevin de La Penaye; Joseph Parrocel a mis au fond de la bataille le "Portrait du duc de Bourgogne" (1704, Versailles).
Rigaud est plus heureux avec des portraits éblouissants et somptueux sur les riches milieux qui étaient sa spécialité: voir, par exemple, "le maréchal Charles-Auguste de Matignon" (1708, musée de Karlsruhe, Allemagne); "Président Hébert" ) Galerie nationale d’art, Washington DC) "Cardinal Dubois" (1723, Cleveland Museum); et "Cardinal Fleury" (Musée de Budapest). Ses toiles visent à la splendeur décorative et à la magnificence picturale, comme dans le portrait du "marquis de Dangeau" (1702, château de Versailles), où la sitter est montrée dans son costume théâtral du Grand Maître de l’Ordre de Saint-Lazare, et dans la portrait comiquement sur-orné de "Gaspard de Gueidan jouant de la cornemuse" (1735, musée d’Aix-en-Provence).
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