Elisabeth Vigee-Lebrun: portraitiste à la reine Marie-Antoinette Automatique traduire
Biographie
Un des grands contributeurs à Peinture française Elisabeth Vigee-Lebrun s’est spécialisée dans le portrait durant les périodes successives de Art rococo et Peinture néoclassique. Classé parmi les meilleurs artistes de portrait du 18ème siècle, elle est devenue – avec le peintre suisse Angelica Kauffmann (1741-1807) – une des artistes les plus réussies de toutes les artistes féminines, étant particulièrement réputée pour ses portraits de femmes, ainsi que pour autoportraits. Le style doux et flatteur qui l’avait rendue si recherchée par les classes dirigeantes européennes est particulièrement manifeste dans les dizaines de portraits qu’elle a peints de la reine Marie-Antoinette, sa plus importante marraine. En plus de son label comme l’un des plus talentueux Artistes rococo, Vigee-Lebrun est aussi associé à Art néoclassique : une description qu’elle partage également avec Kauffmann.
Parmi les œuvres les plus célèbres de Vigee-Lebrun, on peut citer le portrait de Joseph Vernet (1778, musée du Louvre), le portrait de la reine Marie Antoinette (1783, musée national du château de Versailles), le portrait de Hubert Robert (1788, musée du Louvre), le portrait du baron Grigory Strogsnov (1793)., Hermitage, Saint-Pétersbourg), Portrait de la princesse Alexandra Golitsyna et de son fils (1794, musée des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou) et autoportrait au chapeau de paille (c. 1785, Galerie nationale de Londres).
Petite enfance et entraînement
Née Marie-Louise-Elisabeth Vigee à Paris, elle a appris les bases du dessin de son père, le portraitiste pastel Louis Vigee (1715-1767), après quoi elle étudia auprès de Gabriel Doyen, Gabriel Briard, Claude-Joseph Vernet (1714-1789) et Jean-Baptiste Greuze (1725-1805). En outre, elle a visité des musées pour étudier Portraits baroques par de vieux maîtres tels que Rubens (1577-1640), Anthony van Dyck (1599-1641) et Rembrandt (1606-169). Sa précocité est vite devenue évidente dans un style personnel non conventionnel de peinture à l’huile, ce qui la rendit célèbre comme portraitiste à l’âge de 15 ans. Elle devait se consacrer à portrait d’art pour le reste de sa vie, pour laquelle elle était en grande demande de la part de la Haute Société de Paris et de nombreuses autres capitales européennes. Inutile de dire que son atelier était l’un des ateliers les plus fréquentés de France et qu’elle s’appuyait sur plusieurs assistants pour mener à bien ses commandes. Elle l’a produite plus grands portraits après 1776, année de son mariage avec Jean-Baptiste Lebrun, riche peintre et marchand d’art.
Peintre de cour de la reine Marie-Antoinette
Sa grande opportunité vint en 1778 lorsqu’elle fut convoquée à l’énorme château de Versailles peindre un portrait de la reine Marie-Antoinette. Les deux femmes sont devenues amies et, en 1779, à l’âge de 24 ans, Vigee-Lebrun est nommée peintre officielle de la reine. Au cours de la décennie suivante, elle a peint au moins 25 portraits de la reine dans une grande variété de poses et de costumes. Voir, par exemple, Portrait de la reine Marie-Antoinette (1778, Kunsthistorisches Museum, Vienne); ou Marie Antoinette (1788, château de Versailles). C’est en grande partie à cause de la puissante patronne royale de Vigee-Lebrun qu’elle avait la liberté de participer à la compétition dans le monde de la domination masculine. peinture d’art.
En 1782, elle se rendit en Flandre, où elle étudia Peinture flamande, notamment des œuvres de Peter Paul Rubens ainsi que Peintres flamands du Renaissance néerlandaise. En 1783, en raison de sa renommée méritée, elle fut élue à la Académie Française des Beaux-Arts, ce qui lui donnait le droit d’exposer chaque année ses œuvres au Salon du Louvre.
Quitte la France, Tours Europe
En 1789, avec sa fille, elle fuit la Révolution française, laissant derrière elle son mari, Jean-Baptiste Lebrun, dont elle était séparée. Elle a d’abord résidé à Rome (1789-1793), puis à Dresde et Vienne (1793-1733) et à Saint-Pétersbourg (1795-1801), tout en continuant son travail de portraitiste tout en jouant un rôle de premier plan dans la société. En 1802, elle rentre à Paris, puis visite Londres (1803-1835) – où elle peint des portraits de la cour et de Lord Byron – avant de revenir à Paris en 1806 en tant que très éminent portraitiste de l’aristocratie européenne. Quelques mois plus tard, elle se rendit en Suisse où elle peignit le portrait de Mme de Staël. Une femme très cultivée, réputée pour sa beauté et son charme, elle a gagné des patrons distingués partout où elle travaillait et est devenue membre de plusieurs académies d’art à travers l’Europe.
Réputation d’artiste de portrait
Elle a peint près de 900 tableaux d’une grande élégance, dont 200 pièces de peinture de paysage et plus de 600 portraits, dont la grande majorité étaient des images de femmes. Parmi les exemples remarquables, citons ceux de la reine Marie-Antoinette, de la comtesse de Brionne, de la duchesse d’Orléans, du prince de Galles, de Lord Byron, de Lady Hamilton et de madame de Staël. Vigee-Lebrun était l’une des portraitistes les mieux maîtrisées de son époque et sa Portraits rococo sont remarquables pour la fraîcheur, le charme et la sensibilité de leur présentation. Elle se dispensa des accessoires aristocratiques habituels pour révéler ses sujets aussi naturellement que possible. En outre, elle a réalisé plusieurs autoportraits, tels que Autoportrait au chapeau de paille (1782, National Gallery, Londres) et Autoportrait à la ceinture rouge (1790, Uffizi, Florence). En 1835-7, elle publie "Reminiscences of My Life", un ensemble de mémoires en trois volumes sur sa vie et son époque.
On peut voir des peintures d’Elisabeth Vigee-Lebrun dans meilleurs musées d’art à travers le monde.
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