Exposition de photos d’Igor Zhgilev "Images non aléatoires du pays du soleil levant" Automatique traduire

Le 16 février à 16h00 au Musée des Beaux-Arts de Kalouga (rue Lénine, 103), inaugure l’exposition de l’auteur d’Igor Zhgilev "Images non aléatoires du pays du soleil levant."

Igor Zhgilev est né et vit à Moscou. Il est avocat de formation, artiste sur appel, voyageur dans l’âme et romantique. Enfant, il se passionna pour la photographie, prenant ainsi cette passion de son père, qui était caméraman de longue date au Studio central des films documentaires et au Studio central des films populaires et éducatifs. En outre, son père était photographe et caméraman pendant la Grande Guerre patriotique.

Des photos du maître de la photo russe ont été publiées dans des publications populaires japonaises et australiennes. L’un d’entre eux a fait la couverture d’un magazine publicitaire publié à l’occasion de l’ouverture du festival de danse Yosokoi Soran (Sapporo, Japon) avec un tirage de 4 millions d’exemplaires. Le Musée de la photographie de Tokyo expose son travail. Igor Zhgilev est devenu à plusieurs reprises le lauréat du concours organisé par la société Fuji Film.

Zhgilev a plus de vingt expositions personnelles en Russie: à Moscou et à Nijni Novgorod, au Japon: dans les villes de Sapporo, Asahikawa, Otaru, Aomori, Akita, Sendai, Niigata et autres. Les expositions de photos d’auteurs en Australie ont été très réussies.

L’exposition présente des photographies réalisées entre 2002 et 2007 au Japon, où l’auteur vivait à cette époque. Ils reflètent les aspects les plus divers de la culture et des traditions nationales de ce pays extrêmement distinctif, où chaque île est comme un État dans un État. L’exposition met l’accent sur les gens. Japonais de tous âges - des petits enfants aux centenaires qui rayonnent de bonheur, de joie et d’amour de la vie. Hommes et femmes. Des gens de différentes professions - du cordonnier au prêtre. Dans les portraits, les événements, les scènes de tous les jours et de genre, un kaléidoscope diversifié de personnalités japonaises colorées apparaît. À propos, un portrait de genre est l’un des genres les plus difficiles de la photographie. Il combine des éléments de la photographie d’art tels que les émotions authentiques, la sincérité des sentiments et le réalisme.

Et aussi au Japon, nature étonnante. Des paysages impressionnants avec des cascades incroyablement belles, de magnifiques lacs aux yeux bleus… et, bien sûr, le célèbre sakura et des érables japonais inhabituels. Pour les amateurs de photographie, c’est un vrai cadeau.

Et pour les professionnels, l’exposition est intéressante avec des photographies expérimentales prises en multi-exposition et en zoom. La chose la plus précieuse est peut-être que les images ont été prises de manière analogue par un appareil photo utilisant des films noir et blanc et couleur, ainsi que des diapositives.

"Émotions! Les émotions sont ce que la photographie doit évoquer. Le spectateur ne doit pas lui rester indifférent. La photographie est un microfilm sur le destin, la vie, le travail et le bonheur. Mon inspiration a toujours été et reste le photographe français Robert Doisneau. Son travail ne m’a jamais laissé indifférent. Ils sont remplis de vie et d’émotions. Mes partenaires sont l’ombre, la pluie, la neige et, bien sûr, les gens. Avec leur aide, j’essaie de créer une ambiance et de transmettre les émotions du monde. Mon expérience professionnelle suggère que la photographie est un art multiplié par une énorme quantité de travail et des coûts exorbitants. Parfois, une œuvre doit être créée plus d’un mois, plusieurs fois en capturant le même plan», explique l’auteur.

L’exposition se déroulera du 16 février au 31 mars 2017 dans les locaux du centre d’information et d’éducation et d’exposition et d’exposition du KIIA (103, rue Lénine).

Le musée est ouvert de 10h à 18h, le samedi de 11h à 19h. Le lundi est le jour de congé.

Téléphone de contact - 8 (4842) 56-38-20, 56-28-30.