Exposition de photos de Yuri Klimov "Je connais la ville - sera!" Automatique traduire

Une vue de la ville sous plusieurs angles. Les constructeurs de gratte-ciel et les gratte-ciel eux-mêmes. Les ombres du grand passé et la compréhension de l’avenir. Gallery Gallery présente une exposition de photos personnelle de Yuri Klimov - une personne romantique qui sait comment fonctionne la ville, qui l’a construite et qui est confiante que notre ville le sera!

«Je suis intéressé par la ville. Il est à la fois multiforme et inépuisable. La ville change constamment, grandit, mais reste toujours elle-même. Les gens le construisent, les gens y vivent. Certaines personnes savent à quoi ressemble la ville de l’intérieur. D’autres ne voient que les façades. Et j’essaie de saisir les moments où une personne et une ville se touchent. ”

Le personnage principal des œuvres de Yuri Klimov est la ville. Le héros est inhabituel, multi-facettes et multi-couches. Il exige de l’auteur à la fois un examen minutieux - en profondeur et la capacité de garder l’équilibre. Après tout, c’est le seul moyen de marcher le long de la ligne de démarcation qui sépare la tristesse de la sentimentalité, de l’architecture du dessin, de la beauté des structures techniques du simple renforcement.

La ville de Yuri Klimov n’est pas du tout une «fourmilière humaine» et non une mégapole, bien qu’elle supprime les tuyaux d’une centrale thermique, d’une flèche représentant une pompe à béton, et de gratte-ciels de la ville de Moscou. Mais les tubes verticaux - rimes avec espace en titane, gratte-ciel - disparaissent dans les nuages ​​et la pompe à béton ressemble davantage à un «coup de fouet» moderniste.

Avec des accents graphiques, l’auteur donne le rythme à sa composition presque musicale. La souche de pigeon fait écho au grincement du gramophone du passé déjà lointain. Les espoirs des chatons sans abri nourrissent l’arôme du capelan frit sur un brûleur à gaz. Les bâtisseurs de travailleurs épuisés et fatigués se transforment en danseurs et en acteurs nécessitant des applaudissements. Et les citadins - ils vivent juste: ils vont à l’épicerie, se dépêchent, courent devant. Mais c’est grâce à eux que Youri Klimov clôt le cercle éternel de la vie de la ville. Son et notre ville, construits non par nous, mais prêts à accepter tous ceux qui aiment cette ville, qui l’entend et le ressent.