Exposition d’Alexander Katsalap "Mon territoire et métropole". Peinture, sculpture Automatique traduire
с 26 Августа
по 3 ОктябряКалужский музей изобразительных искусств
ул. Ленина, 103
Калуга
Alexander appartient au type d’artistes qui se concentrent sur leurs propres recherches, en dehors du désir d’être vu «à la vue» typique des dernières décennies. Cela ne veut pas dire qu’il ne s’intéresse pas aux nouvelles tendances, communique souvent avec des collègues, assiste à des expositions d’art ancien moderne et traditionnel, participe à des discussions et à des projections.
Cependant, cela n’affecte pas superficiellement son travail. Artiste mature à la fois par âge et par nature, il «passe» tout à travers ses propres idées sur ce qui est important, ce qui est momentané, transitoire, et en ce sens il est indépendant et non soumis à des influences étrangères. En bons termes avec l’un des non-conformistes les plus éminents et les plus anciens, VNNemukhin, Alexander a écouté ses conseils, mais les a pris de manière critique. Travaillant de "manières différentes", essayant toujours sur le critère du "maquillé" pour eux, il est également éloigné, à la fois d’un enthousiasme complet pour les techniques purement picturales et plastiques, qui remplit notre pratique d’exposition de tout le déjà marre" virtuosité» de l’abstraction, et de l’intrigue «loufoque littéraire» ou du sens conceptuel. Il est véridique, souvent franc dans la défense de son droit,"son territoire", son attitude : le monde matériel, durable, avec parfois des réminiscences mystiques de symboles et d’allusions, mais le sien, à l’abri de l’agitation et des guirlandes de la vie quotidienne. Et les signes de cette force - pierres, édifices, clôtures, animaux éternels, signes - révèlent parfois leur ambiguïté en dehors des intentions que l’auteur y met.
Tout au-delà du "territoire", la vie derrière la clôture qu’il a érigée contre les empiétements d’un "extraterrestre agressif" est à la fois étrange et merveilleux. Et à la manière de l’artiste, sa "méticulosité" ou "fantaisie" combine souvent à la fois les techniques du "primitivisme", du "naïf", et de la polysémie conceptuelle sans vouloir tromper le spectateur, qui reconnaît encore où "ils veulent montrer leur éducation". Les œuvres d’Alexandre sont traditionnelles et modernes, ressemblent à quelque chose, mais absolument à elles, différentes de tout le reste. Et c’est, me semble-t-il, la principale qualité d’une véritable créativité.
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