Lady Godiva John Collier (1850-1934)
John Collier – Lady Godiva
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Peintre: John Collier
Emplacement: Herbert Art Gallery, Coventry.
L’année de création est 1898, huile sur toile. Situé à la Herbert Art Gallery & Museum, Coventry, Royaume-Uni. L’artiste appartient au mouvement préraphaélite qui émerge dans la peinture anglaise à partir des années 1850 et qui cherche à s’éloigner d’un académisme aveugle, idéalisant l’image et limité dans le choix des sujets. À l’époque, cela signifiait aller à l’encontre de l’Académie royale des arts, d’où les grandes critiques.
Description de Lady Godiva de John Collier
L’année de création est 1898, huile sur toile. Situé à la Herbert Art Gallery & Museum, Coventry, Royaume-Uni.
L’artiste appartient au mouvement préraphaélite qui émerge dans la peinture anglaise à partir des années 1850 et qui cherche à s’éloigner d’un académisme aveugle, idéalisant l’image et limité dans le choix des sujets. À l’époque, cela signifiait aller à l’encontre de l’Académie royale des arts, d’où les grandes critiques. L’une des principales caractéristiques de ce nouveau courant est le désir de peindre des personnes d’après nature.
Le tableau dépeint un moment de l’histoire légendaire qui s’est déroulé à Coventry au milieu du 11e siècle. On pense que les habitants ont tellement souffert des taxes exorbitantes que Lady Godiva est allée voir son mari, le riche comte de Leofric, pour plaider en leur faveur. Ivre, l’homme a accepté à la condition impossible qu’elle traverse la ville nue. Cependant, la noble dame a placé les besoins de la société au-dessus de sa fierté et de son honneur. Les gens l’aimaient tellement qu’un certain jour, ils ne sont pas sortis dans les rues, fermant toutes les fenêtres et les portes. Ainsi, sans être remarquée par personne et couverte seulement de ses cheveux, la jeune fille traversa la ville. Cependant, toute cette histoire est très probablement une belle fiction.
Dans son tableau, Collier, contrairement à la plupart des auteurs, a représenté la belle Godiva aux cheveux roux, embarrassée et effrayée par cette course folle. Malgré son acte, elle est gracieuse et innocente. La nudité et la fragilité de sa silhouette contrastent avec le harnais richement orné et les muscles du cheval, qui sont particulièrement bien dessinés sur le cou puissant. Le peintre a représenté de nombreux autres détails sur la toile avec une précision étonnante. À l’arrière-plan, la maçonnerie irrégulière et la colonne grattée semblent vraiment anciennes. Le spectateur peut voir chaque maillon de la chaîne en or et les armoiries sur les rênes, le magnifique motif de pourpre et de jaune verdâtre sur la selle, l’ornementation végétale de la tresse et les lions royaux anglais dorés sur la couverture du cheval. On notera également la splendide palette de couleurs qui vous transporte dans le temps et la composition qui vous fait ressentir le lent mouvement du cavalier.
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COMMENTAIRES: 5 Ответы
История о прекрасной жене правителя Ковентри графа Леофрика, вступившейся за изнывающих под тяжким бременем налогов жителей графства – одна из популярнейших в британском фольклоре. Впервые она появляется в конце XII века в сочинении Роджера Вендровера.
Согласно легенде, Леофрик обещал снизить налоги, если его жена проедет обнаженной на лошади по улицам Ковентри. Граф был уверен, что Годива не пойдет на это, но она решилась, хотя и схитрила немного, попросив жителей в назначенный день закрыть ставни и не выглядывать на улицу.
Леофрик сдержал слово и снизил налоги.
Джон Кольер изобразил на этой картине самый эффектный эпизод, когда обнаженная всадница проезжает по пустынным улицам города.
Текст о картине позаимствован у NADYNROM, её полный рассказ о жизни и творчестве Джона Кольера – здесь:
http://www.liveinternet.ru/community/2281209/post106219252/
spasibo bolshoe
странный муж
Осип МАНДЕЛЬШТАМ
С миром державным я был лишь ребячески связан,
Устриц боялся и на гвардейцев глядел исподлобья, –
И ни крупицей души я ему не обязан,
Как я ни мучал себя по чужому подобью.
С важностью глупой, насупившись, в митре бобровой,
Я не стоял под египетским портиком банка,
И над лимонной Невою под хруст сторублевый
Мне никогда, никогда не плясала цыганка.
Чуя грядущие казни, от рева событий мятежных
Я убежал к нереидам на Черное море,
И от красавиц тогдашних, от тех европеянок нежных
Сколько я принял смущенья, надсады и горя!
Так отчего ж до сих пор этот город довлеет
Мыслям и чувствам моим по старинному праву?
Он от пожаров еще и морозов наглее,
Самолюбивый, проклятый, пустой, моложавый.
Не потому ль, что я видел на детской картинке
Леди Годиву с распущенной рыжею гривой,
Я повторяю еще про себя под сурдинку:
“Леди Годива, прощай! Я не помню, Годива... ”
这张也太糊了
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L'image a quelque chose de ça: gens, femme, porter, temple, dieu, traditionnel, voile, sculpture, culte, spiritualité, homme, ancien, robe.
C'est peut-être peinture d’une femme en robe rouge assise sur une chaise rouge à côté d’un cheval blanc avec une bride rouge sur sa tête.