Cinéma. Sens perdu. Automatique traduire

Cinéma, musique, littérature. Trois mots qui composent le vaste concept de créativité. Depuis l’antiquité, les hommes ont été attirés par la créativité, d’abord les poètes et les bardes ont composé des poèmes et des chansons, puis ils se sont associés à la musique, quelque chose d’inédit est né, et ce n’est qu’ensuite que tout s’est réuni dans le cinéma mondial.

Aujourd’hui, je veux parler du cinéma.

Souvenons-nous des films de l’URSS. Ils contenaient toute la puissance de ce pouvoir. Ces œuvres, encore en noir et blanc à l’époque, étaient porteuses d’un sens énorme, si nécessaire pendant la guerre, à l’époque turbulente de la perestroïka, qui a toujours aidé les gens à ne pas oublier qui ils sont et quel est le sens de la vie. L’URSS a appris aux gens à aller jusqu’au bout, à ne jamais abandonner. À être un gagnant.

Les premiers films russes. L’idée «de la victoire», qui était en fait l’idée principale pendant l’URSS, s’est un peu perdue. Mais les films continuaient à plaire, bien sûr, pas comme avant, mais les gens ne remarquaient pas la différence, ils vivaient et changeaient, et avec eux le cinéma changeait.

Voyons ce qu’il en est aujourd’hui. La révolution sexuelle est loin derrière nous et il est temps de passer à autre chose, mais nous nous sommes arrêtés. Nous piétinons, nous imitons l’Europe, non pas l’Europe, mais l’Amérique. Avec leur humour bête, avec leurs parodies, qui ont toujours été le genre principal du cinéma pour les Américains. La quantité de pornographie est étonnante. Nous n’évoluons pas. Nous dégénérons, de plus en plus chaque jour.